La Minerve française, Volume 4Bureau de la Minerve Française, 1818 - France |
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... déclaration de principes telle que pouvaient la désirer les hommes les plus franchement libéraux , telle que la demanderaient à peine les écrivains les plus indépendans . O prodige ! cette déclaration est in- sérée avec empressement par ...
... déclaration de principes telle que pouvaient la désirer les hommes les plus franchement libéraux , telle que la demanderaient à peine les écrivains les plus indépendans . O prodige ! cette déclaration est in- sérée avec empressement par ...
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... déclarations ne servent de masque à des liai- sons illégitimes , et ne soient un piége tendu à la crédulité publique . J'accorde que ce soit là une erreur ; car il me répugne de juger les intentions ; je veux bien croire à leur soudaine ...
... déclarations ne servent de masque à des liai- sons illégitimes , et ne soient un piége tendu à la crédulité publique . J'accorde que ce soit là une erreur ; car il me répugne de juger les intentions ; je veux bien croire à leur soudaine ...
Page 63
... déclaration des juges comme une déclaration d'indépendance ; à la considérer comme une garantie de justice , comme un gage de sécurité pour tous les citoyens , quels que soient leur rang dans la société et les opinions qu'ils professent ...
... déclaration des juges comme une déclaration d'indépendance ; à la considérer comme une garantie de justice , comme un gage de sécurité pour tous les citoyens , quels que soient leur rang dans la société et les opinions qu'ils professent ...
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... déclaration , que le Journal de Paris n'avait point inséré le post - scriptum qui la ter- mine . Aujourd'hui le Journal de Paris , avec la politesse ordinaire des écrivains ministériels , prétend que j'ai avancé un fait faux , et il me ...
... déclaration , que le Journal de Paris n'avait point inséré le post - scriptum qui la ter- mine . Aujourd'hui le Journal de Paris , avec la politesse ordinaire des écrivains ministériels , prétend que j'ai avancé un fait faux , et il me ...
Page 101
... déclaration qu'on ne saurait révoquer en doute car il y a des choses dont on ne se vante que lorsqu'on est forcé à les avouer . C'est donc le ministère qui rend cet hommage à la Mi- nerve . J'espère que l'explication que j'ai donnée ...
... déclaration qu'on ne saurait révoquer en doute car il y a des choses dont on ne se vante que lorsqu'on est forcé à les avouer . C'est donc le ministère qui rend cet hommage à la Mi- nerve . J'espère que l'explication que j'ai donnée ...
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Common terms and phrases
agens Aignan aîné amis avaient Bélisaire Benjamin Constant Boissy-d'Anglas calomnie Camille Jordan Canuel capit cent chambre des députés CHAMP D'ASILE charte chef choses citoyens conseil conseil d'état conspiration constitutionnelle coups d'état demi-solde départemens département dire doit doute Dupont de l'Eure écrivains électeurs électoral enfans ennemis esprit événemens faction fils force garanties garde nationale général général Canuel gloire gouvernement hommes institutions intérêts j'ai jour journaux jugement justice l'auteur l'autorité l'esprit l'état l'opinion législation lettre liberté loi des élections lois long-temps Lyon maire majorité Malesherbes malheur Mauguin ment Messieurs militaire MINERVE FRANÇAISE ministériels ministres monarchie monarque nation nationale négociant noble nommé officier passé patrie patriotisme pensée pétitions peuple PLACE DE L'ODÉON police politique pouvoir préfet premier prince principes public publique Puymaurin qu'un réclamer révolution Rhône rien royale s'est Sainneville Samuel Romilly Sarthe sentimens serait seul système talent Ternaux teur tion toyens tribunaux trône ultra-royalistes vérité voilà
Popular passages
Page 50 - Pauvres mortels, tant de haine vous lasse ! Vous ne goûtez qu'un pénible sommeil. D'un globe étroit divisez mieux l'espace ; Chacun de vous aura place au soleil. Tous attelés au char de la puissance, Du vrai bonheur vous quittez le chemin. Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main.
Page 524 - Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection.
Page 50 - Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main. " Des potentats, dans vos cités en flammes, Osent du bout de leur sceptre insolent Marquer, compter et recompter les âmes, Que leur adjuge un triomphe sanglant. Faibles troupeaux, vous passez sans défense D'un joug pesant sous un joug inhumain. Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main.
Page 288 - La minute du jugement sera signée au plus tard dans les vingt-quatre heures par les juges qui l'auront rendu. Les greffiers qui délivreront expédition d'un jugement avant qu'il ait été signé seront poursuivis comme faussaires.
Page 49 - J'AI vu la paix descendre sur la terre, ' Semant de l'or, des fleurs et des épis. L'air était calme , et du Dieu de la guerre Elle étouffait les foudres assoupis.
Page 149 - J'ai vu aussi cette tour de Constance (continue M- Êoissy-d'Anglas en s'adressant à ses enfans); elle n« peut que vous inspirer un double intérêt, puisque la bisaïeule de votre mère , y ayant été renfermée étant grosse , comme accusée d'avoir été au prêche , y donna le jour à une fille de laquelle vous descendez. J'avoue que je n'ai rien vu d'aussi propre à inspirer de longs souvenirs; c'était vers i768, cinq ou six ans avant le fait rapporté par M.
Page 264 - qu'en un clin d'œil tout fut » dispersé (c'est M. de Chabrol lui-même qui » l'atteste) ; dans moins de vingt-quatre heures » tout était rentré dans l'ordre, sans que la force » armée eût été obligée de tirer un seul coup de
Page 107 - La puissance législative s'exerce collectivement par le roi, la Chambre des Pairs et la Chambre des Députés des départemens.
Page 264 - II ne sera prononcé aucune peine, pour le fait de sédition, contre ceux qui , ayant fait partie de ces bandes sans y exercer...
Page 149 - Je les vois encore à cette apparition subite tomber toutes à la fois à ses pieds, les inonder de pleurs, essayer des paroles , ne trouver que des sanglots ; puis , enhardies par nos consolations , nous raconter toutes ensemble leurs communes douleurs. Hélas , tout leur crime était d'avoir été élevées dans la même religion que Henri IV.