Du polythéisme romain: considéré dans ses rapports avec la philosophie grecque et la religion chrétienne, Volume 2Béchet aîné, 1833 - Philosophy, Ancient |
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... premier principe , mais il ne voulait accorder à aucun être une existence individuelle et séparée , différente de cette unité . Ce qu'il appelait l'intelligence primitive était une émanation du premier principe , mais cette émanation ne ...
... premier principe , mais il ne voulait accorder à aucun être une existence individuelle et séparée , différente de cette unité . Ce qu'il appelait l'intelligence primitive était une émanation du premier principe , mais cette émanation ne ...
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... premier principe de toutes choses et en tâchant de le concevoir aussi abstrait qu'il leur fut possible . La cause de ... premier être , le premier principe . On sent assez , sans que nous l'indiquions , ( 1 ) Ennead . III . 8. 8-9 . ( 2 ) ...
... premier principe de toutes choses et en tâchant de le concevoir aussi abstrait qu'il leur fut possible . La cause de ... premier être , le premier principe . On sent assez , sans que nous l'indiquions , ( 1 ) Ennead . III . 8. 8-9 . ( 2 ) ...
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... premier principe . La même personnification gratuite se retrouve au commencement et à la fin de la philosophie grecque ; mais elle n'en est pas moins une erreur pour avoir vieilli de huit siècles . Aussi Plotin , pour arriver à son ré ...
... premier principe . La même personnification gratuite se retrouve au commencement et à la fin de la philosophie grecque ; mais elle n'en est pas moins une erreur pour avoir vieilli de huit siècles . Aussi Plotin , pour arriver à son ré ...
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... premier principe une notion abstraite , à laquelle il ne peut donner une existence apparente , qu'en dénaturant successivement chacune des ex- pressions qu'il emploie , le poursuit dans sa définition ultérieure de ce premier être ...
... premier principe une notion abstraite , à laquelle il ne peut donner une existence apparente , qu'en dénaturant successivement chacune des ex- pressions qu'il emploie , le poursuit dans sa définition ultérieure de ce premier être ...
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... premier principe donne aux êtres émanés de lui toutes ces qualités sans les avoir . Il est éternel , car , s'il avait commencé , la cause qui l'aurait produit aurait existé avant lui . Cette cause aurait été le premier principe . Il est ...
... premier principe donne aux êtres émanés de lui toutes ces qualités sans les avoir . Il est éternel , car , s'il avait commencé , la cause qui l'aurait produit aurait existé avant lui . Cette cause aurait été le premier principe . Il est ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 104 - Toute communication est rompue entre le passé, le présent et l'avenir : aucune voix ne se prolonge des races qui ne sont plus aux races vivantes, et la voix des races vivantes doit s'abîmer un jour dans le même silence éternel.
Page 129 - Il veut pouvoir compter sur sa croyance; il faut qu'il la retrouve aujourd'hui ce qu'elle était hier, et qu'elle ne lui semble pas, à chaque instant, prête à s'évanouir et à lui échapper comme un nuage. Il faut, de plus, qu'il la voie appuyée du suffrage de ceux avec lesquels il est en rapport d'intérêt, d'habitude et d'affection : destiné qu'il est à exister avec ses semblables, et à communiquer avec eux, il ne jouit de son propre sentiment que lorsqu'il le rattache au sentiment universel.
Page 130 - ... d'affection : destiné qu'il est à exister avec ses semblables et à communiquer avec eux, il ne jouit de son propre sentiment que lorsqu'il le rattache au sentiment universel. Il n'aime pas à nourrir des opinions que personne ne partage ; il aspire, pour sa pensée comme pour sa conduite, à l'approbation des autres, et la sanction du dehors est nécessaire à sa satisfaction intérieure.
Page 237 - L'absence presque totale de notions sur la nature de l'âme et sur l'immortalité aurait blessé ces mêmes esprits , préparés par le platonisme à se livrer à des espérances et à se lancer dans des hypothèses sur l'existence future de l'homme. Le caractère du Dieu des Juifs, représenté comme despotique, ombrageux et jaloux , n'aurait pu s'accorder avec les conceptions plus douces ou plus abstraites des sages de la Grèce.
Page 234 - ... détruire et hors d'état de rien rétablir; oserons-nous dire qu'à cette époque, la pitié céleste ne soit pas venue au secours du monde ; qu'un éclair n'ait pas sillonné la nue pour montrer la route à notre race égarée ; qu'une main divine ne l'ait pas aidée à franchir la barrière contre laquelle elle se brisait ? Toutserait ensuite rentré dans l'ordre.
Page 89 - L'incrédulité n'a aucun avantage , ni pour la liberté politique, ni pour les droits de l'espèce humaine ; au contraire, elle peut frapper de mort les institutions abusives, mais plus infailliblement encore elle doit mettre obstacle à la renaissance de toutes celles qui préserveraient des abus.
Page 92 - La liberté ne peut s'établir, ne peut se conserver que par le désintéressement, et toute morale étrangère au sentiment religieux ne saurait se fonder que sur le calcul. Pour défendre la liberté, on doit savoir immoler sa vie, et qu'y at-il de plus que la vie, pour qui ne voit au delà que le néant? Aussi, quand le despotisme se rencontre avec l'absence du sentiment religieux, l'espèce humaine se prosterne dans la poudre partout où la force se déploie.
Page 44 - Regumque matres barbarorum, et Purpurei metuunt tyranni ; Injurioso ne pede proruas Stantem columnam : neu populus frequens Ad arma cessantes, ad arma Concitet, imperiumque frangat Te semper anteit saeva Necessitas, Clavos trabales et cuneos manu Gestans ahena ; nec severas Uncus abest, liquidumque plumbum.
Page 91 - Nous l'affirmons donc hautement : l'époque où les idées religieuses disparaissent de l'âme des hommes est toujours voisine de la perte de la liberté ; des peuples religieux ont pu être esclaves; aucun peuple incrédule n'a pu être libre.
Page 131 - ... original que cette remarque sur la persistance du sentiment religieux au cœur de l'homme, et cette propriété qu'il a de se fortifier, à un moment donné, de ce qui semblait le devoir détruire : « Le scepticisme désarme l'incrédule comme l'homme religieux. Quand la tendance de l'esprit humain est à l'incrédulité, c'est l'incrédulité que le scepticisme favorise ; mais quand cette tendance est à la religion, il prête à la religion des armes contre le raisonnement... Du temps de Garnéade,...