Histoire de France, Volume 2Hachette, 1868 - France |
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... pays où « la male fortune l'avait laissée , et la bonne l'avait prise par la main . » Ap- puyée sur la poupe de la galère qui l'emportait , les yeux attachés au rivage et pleins de larmes , elle demeura , dit Brantôme , cinq heures ...
... pays où « la male fortune l'avait laissée , et la bonne l'avait prise par la main . » Ap- puyée sur la poupe de la galère qui l'emportait , les yeux attachés au rivage et pleins de larmes , elle demeura , dit Brantôme , cinq heures ...
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... pays , un pendu étonnant plus que cent tués . » Et dans cette pensée , il multipliait les pen- daisons . On pouvoit connoître par où j'avois passé , car par les arbres , sur les chemins , on trouvoit les enseignes . » Ces cruautés le ...
... pays , un pendu étonnant plus que cent tués . » Et dans cette pensée , il multipliait les pen- daisons . On pouvoit connoître par où j'avois passé , car par les arbres , sur les chemins , on trouvoit les enseignes . » Ces cruautés le ...
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... Pays - Bas . › - Paix de Lonjumeau ( 1568 ) . Condé reçut quelque temps après 9000 lansquenets ou reîtres allemands . Dès le premier jour , ces étrangers réclamèrent leur solde . Toute l'armée huguenote , chefs et soldats , se cotisa ...
... Pays - Bas . › - Paix de Lonjumeau ( 1568 ) . Condé reçut quelque temps après 9000 lansquenets ou reîtres allemands . Dès le premier jour , ces étrangers réclamèrent leur solde . Toute l'armée huguenote , chefs et soldats , se cotisa ...
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... Pays - Bas , ré- pandait l'argent dans le peuple pour exciter des troubles . Quand la cour vint à Paris , avec son nouveau cortége de gentilshommes huguenots et de ministres protestants , une sourde colère gronda dans la ville . Un ...
... Pays - Bas , ré- pandait l'argent dans le peuple pour exciter des troubles . Quand la cour vint à Paris , avec son nouveau cortége de gentilshommes huguenots et de ministres protestants , une sourde colère gronda dans la ville . Un ...
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... Pays - Bas ( 1581- 1583 ) . — Il eût fallu saisir ces turbulents esprits de quelque grande pensée , les pousser à une sérieuse entreprise , re- prendre enfin le projet de Coligny , et faire la guerre étran- gère pour n'avoir point la ...
... Pays - Bas ( 1581- 1583 ) . — Il eût fallu saisir ces turbulents esprits de quelque grande pensée , les pousser à une sérieuse entreprise , re- prendre enfin le projet de Coligny , et faire la guerre étran- gère pour n'avoir point la ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais août armée Autrichiens avaient bataille blessés Blücher Bonaparte Bourbon C'était canon cardinal Catherine de Médicis catholique Charles château chef civile clergé Colbert commença comte Condé conseil constitution coup cour d'Orléans déclara défense députés donner duc d'Orléans duc de Guise ennemis Espagnols États finances flotte forces française François Ier garde général gouvernement guerre Guise Henri Henri III Henri IV Hollande hommes huguenots jour l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laissa liberté Ligue livres Lorraine Louis XIV Louvois main maison maréchal mars Mayenne Mazarin menacé ment militaire millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale noblesse paix parlement passer pays Pays-Bas peuple politique porte premier prince protestants provinces Prusse Prussiens réformes reine rent reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Simon Savoie seul siècle soldats sorte tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Vauban Versailles victoire Voltaire voulait
Popular passages
Page 423 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement , et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche qu'on éclatera à la première occasion , et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses *. » Ces belles choses furent malheureusement mêlées à d'af1.
Page 190 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 255 - Fendent les flots tremblants sous un si noble poids. Louis, les animant du feu de son courage, Se plaint de sa grandeur qui l'attache au rivage.
Page 461 - Nous avons entendu , monsieur, les intentions qu'on a suggérées au roi ; mais vous qui ne sauriez être son organe auprès de l'assemblée nationale, vous qui n'avez ici ni place ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.... Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple, et qu'on ne nous en arrachera que par la puissance des baïonnettes...
Page 644 - France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui. « Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page 422 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné , et qui achèvera de se briser au premier choc.
Page 407 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 228 - Je connais, disait-il, la force des troupes impériales, les généraux qui les commandent, le pays où je suis ; je prends tout sur moi, et je me charge des événements.
Page 183 - Franche-Comté en dot, en épousant l'infante, alors nous pourrions aspirer à la succession d'Espagne, quelque renonciation qu'on fit faire à l'infante ; et ce ne serait pas une attente fort éloignée, puisqu'il n'ya que la vie du prince son frère qui l'en pût exclure. » Ce prince était alors Balthasar, qui mourut en 1649«.
Page 306 - Un style rapide, concis, nerveux, des expressions pittoresques, un usage tout nouveau de la langue, mais qui n'en blesse pas les règles, frappèrent le public ; et les allusions qu'on y trouvait en foule achevèrent le succès.