Souvenirs de duc de Vicence, Volume 2Levavasseur, 1837 |
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affreux ajouta-t-il armées avaient Bade Bonaparte Bourbons Bourmont brave c'était cabinet Carnot Caulain Caulaincourt cause chambre cher duc choses circonstances cœur congrès de Vienne continua le duc cris déclaration demande devant dévouement dis-je dit-il Dresde duc d'Enghien duc de Vicence Essonne état Ettenheim eût Fontainebleau force Fouché française garanties général Leval gens gloire gouvernement guerre heures impériale intérêts j'ai j'avais J'étais jours l'abdication l'armée l'Autriche l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur de Russie l'Empereur Napoléon l'empire l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe laisser Louis XVIII main Majesté malheur Malmaison maréchal Marmont ment mesure militaire mille hommes ministre des relations monsieur n'avait Napo Napoléon Bonaparte nation nationale noble paix passer pays Pays-Bas pensée pereur peuple politique position pouvait prince Prusse puissances alliées question Ratisbonne repos reste reur Rhin Russie sais sentiment serait seul Sire soldats souf souverain Talleyrand tion traité trône troupes trouve Tuileries Vandamme vivement Waterloo yeux
Popular passages
Page 319 - Strasbourg ne conservait que sa citadelle pour appuyer cette grande et importante cité, qui, dans ce moment, n'est qu'un vaste camp retranché, une place d'armes dans laquelle se formera et se concentrera toujours une armée, qui, vu sa position à l'extrême frontière, portera, dès l'ouverture d'une campagne, le théâtre de la guerre sur le territoire étranger, la sûreté de la France serait loin d'être menacée. » Les défilés et les positions des Vosges et du Jura, les forteresses de...
Page 341 - Par la première mesure les Puissances alliées conserveraient une égalité parfaite dans leurs rapports avec la France, et cet état serait tenu de payer une contribution pécuniaire, destinée à subvenir aux frais occasionnés par la guerre actuelle, et à mettre en même temps les états limitrophes en mesure de pouvoir garantir par de nouvelles fortifications leur propre sécurité, et conséquemment celle de l'Europe, contre l'immense et menaçante ligne de places fortes , que la France présente...
Page 329 - Mai 1814, 1 <i ainsi que les stipulations arrêtées et signées au Congrès de Vienne dans le but de compléter les dispositions de ce Traité, de les garantir contre toute atteinte, et particulièrement contre les desseins de Napoléon Bonaparte.
Page 337 - Ces stipulations en effejt ô*nt eu pour but de reconstruire les États respectifs sur une échelle propre à rétablir un juste équilibre en Europe. En portant atteinte à l'intégrité de la France , il faudrait revenir sur toutes les stipulations de Vienne ; procéder à de nouvelles stipulations territoriales; combiner un nouveau système d'équilibre.
Page 290 - SM montra pour conclure la paix avec le gouvernement français, tandis qu'il était encore en guerre avec plusieurs autres puissances; le renouvellement de l'ancien traité de commerce, qui est entièrement à l'avantage de la France; les bons offices de la Russie pour amener une réconciliation entre la République et la Porte ottomane, sont...
Page 315 - L'attitude offensive de la France se fonde sur des positions offensives qu'elle a trouve moyen de se ménager depuis le règne de Louis XIV, par l'établissement de grandes places d'armes et de forteresses placées à des postes assez avancés , pour empêcher la formation et le déploiement d'armées qui n'auraient d'autre but que la défense de leur propre territoire; л В.
Page 330 - Exposé comparatif de l'état financier, militaire, politique et moral de la France et des principales puissances de l'Europe...
Page 314 - ... des traités, sur la position réelle des choses en France, sur la nécessité de rendre le calme à cette partie du continent par des garanties '. qu'elle devra aux puissances, et qu'elle est en droit de lui demander à son tour.
Page 279 - ... pareilles violences se répéter encore. Le gouvernement français ne pouvait s'empêcher de répondre à cet office de SM l'empereur, ou bien ne pouvait, comme il l'a fait, y répondre que d'une manière illusoire, sans manquer à la Russie, à l'empire germanique et à lui-même , et sans compromettre cette bonne intelligence qu'il assure désirer, mais dont les heureux effets n'ont pas été jusqu'à présent apercus par la Russie.
Page 333 - Bignon s'appliquait à prouver que , même après les sacrifices de la paix de Paris , la France serait l'état le plus puissant, l'état prépondérant sous tous les rapports. J'en suis intimement persuadé; il aura encore raison, même après la cession de l'Alsace , de la Lorraine et de la Flandre. Je pourrais ; dans cette réminiscence de provinces arrachées, y ajouter l'Artois, la Franche-Comté, si telle était ma conviction. La guerre , pour me servir du langage des...