Histoire de mon temps: 2e série, présidence décennale, Second Empire, Volume 1Amyot, 1864 |
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Page 29
... juge qu'elle - même , » et que , « en ce qui concer- nait les nécessités politiques et les moyens les plus prompts et les plus directs d'arriver au but , la France seule avait le droit de décider ce qu'il con- venait de faire . » M. de ...
... juge qu'elle - même , » et que , « en ce qui concer- nait les nécessités politiques et les moyens les plus prompts et les plus directs d'arriver au but , la France seule avait le droit de décider ce qu'il con- venait de faire . » M. de ...
Page 30
... juge que lui - même des nécessités de la politique et des moyens les plus propres à atteindre son but , il ne saurait cependant , sans méconnaître les notions les plus positives du droit des gens 30 [ 1852 HISTOIRE DE MON TEMPS .
... juge que lui - même des nécessités de la politique et des moyens les plus propres à atteindre son but , il ne saurait cependant , sans méconnaître les notions les plus positives du droit des gens 30 [ 1852 HISTOIRE DE MON TEMPS .
Page 100
... jugé utile qu'une réduction d'un peu plus de 9 millions de francs 1 . M. de Chasseloup - Laubat déclarait que la com- mission avait la conscience d'être restée au - dessous des réductions qu'elle aurait pu demander . Elle avait chargé ...
... jugé utile qu'une réduction d'un peu plus de 9 millions de francs 1 . M. de Chasseloup - Laubat déclarait que la com- mission avait la conscience d'être restée au - dessous des réductions qu'elle aurait pu demander . Elle avait chargé ...
Page 214
... juges de paix et juger même , dans certains cas , les diffé- rends se produisant entre les fabricants et les chefs d ... juge de paix du canton , assisté de tous les maires . Un second projet relatif à la déclaration du jury : 214 [ 1853 ...
... juges de paix et juger même , dans certains cas , les diffé- rends se produisant entre les fabricants et les chefs d ... juge de paix du canton , assisté de tous les maires . Un second projet relatif à la déclaration du jury : 214 [ 1853 ...
Page 231
... jugé indispensable de faire entrer nos troupes dans les Principautés danubiennes , afin de montrer à la Porte où peut la conduire son opiniâtreté . Toutefois , même à présent , notre intention n'est point de commencer la guerre ; par l ...
... jugé indispensable de faire entrer nos troupes dans les Principautés danubiennes , afin de montrer à la Porte où peut la conduire son opiniâtreté . Toutefois , même à présent , notre intention n'est point de commencer la guerre ; par l ...
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Common terms and phrases
allait amiraux anglais armées avaient batteries Bosquet budget c'était cabinet Canrobert chef de l'État choses circonstances commandement comte de Nesselrode conseil d'État Constantinople Constitution corps de l'État Corps législatif côté coup d'État d'ailleurs d'Orient débarquement décembre déclara décret dépêche devait diplomatique division dotation Drouyn de l'Huys Dundas escadres Eugénie de Montijo flotte force française général Canrobert général Yusuf gouvernement guerre Hamilton Seymour hommes impériale l'Alma l'Angleterre l'armée l'Autriche l'empereur Nicolas l'Empire ottoman l'Europe lord John Russell lord Raglan Louis-Napoléon Bonaparte maréchal de Saint-Arnaud ment militaire ministre modifications Montijo Morny n'avait Napoléon Ier Napoléon III nement note de Vienne nouvelle officielle officiers pensée peuple politique Porte position pouvait première présentait président décennal prince Menchikoff Prince-Président puissances question République reste révolution Russie s'était Saint-Pétersbourg second empire Sénat sénateurs sénatus-consulte serait seulement sion sir Hamilton Seymour situation souverain suffrage Sultan tion trône troupes Turcs Turquie tzar vait Varna vote
Popular passages
Page 380 - Un corps législatif discutant et votant les lois, nommé par le suffrage universel, sans scrutin de liste qui fausse l'élection ; 5« Une seconde Assemblée, formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques.
Page 128 - Je veux conquérir à la religion, à la morale, à l'aisance, cette partie encore si nombreuse de la population qui, au milieu d'un pays de foi et de croyance, connaît à peine les préceptes du Christ ; qui , au sein de la terre la plus fertile du monde, peut à peine jouir des produits de première nécessité.
Page 383 - Néanmoins sera soumise au suffrage universel toute modification aux bases fondamentales de la Constitution, telles qu'elles ont été posées dans la proclamation du 2 décembre et adoptées par le peuple français.
Page 381 - Les ministres, les membres du Sénat, du Corps législatif et du conseil d'État, les officiers de terre et de mer, les magistrats et les fonctionnaires publics prêtent le serment ainsi conçu : Je jure obéissance à la Constitution et fidélité au Président.
Page 128 - ... tranquille. La gloire se lègue bien à titre d'héritage, mais non la guerre. Est-ce que les princes qui s'honoraient justement d'être les petits-fils de Louis XIV ont recommencé ses luttes? La guerre ne se fait pas par plaisir, elle se fait par nécessité; et à ces époques de transition où partout, à côté de tant d'éléments de prospérité, germent tant de causes de mort, on peut dire avec vérité : malheur à celui qui le premier, donnerait en Europe, le signal d'une collision...
Page 392 - Louis-Napoléon Bonaparte fixe les titres et la condition des autres membres de sa famille. — L'empereur a pleine autorité sur tous les membres de sa famille; il règle leurs devoirs et leurs obligations par des statuts qui ont force de loi. ART. 7. — La Constitution du 14 janvier 1852 est maintenue dans toutes celles de ses dispositions qui ne sont pas contraires au présent sénatus-consulte ; il ne pourra y être apporté de modifications que dans les formes et par les moyens qu'elle a prévus....
Page 380 - Le Roi est le chef suprême de l'État ; il commande les forces de terre et de mer, déclare la guerre, fait les traités de paix, d'alliance et de commerce, nomme à tous les emplois d'administration publique, et fait les règlements et ordonnances nécessaires pour l'exécution des lois, sans pouvoir jamais ni suspendre les lois elles-mêmes, ni dispenser de leur exécution.
Page 393 - Le Peuple français veut le rétablissement de la dignité impériale dans la personne de Louis-Napoléon Bonaparte avec hérédité dans sa descendance directe légitime ou adoptive et lui donne le droit de régler l'ordre de succession au trône dans la famille Bonaparte, ainsi qu'il est prévu par le Sénatus- Consul te du 7 novembre 1852.
Page 376 - La Chambre n'est plus composée que d'environ deux cent soixante membres. C'est là une première garantie du calme des délibérations, car trop souvent on a vu dans les assemblées la mobilité et l'ardeur des passions croître en raison du nombre.
Page 379 - LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE, Considérant que le Peuple français a été appelé à se prononcer sur la résolution suivante : « Le peuple veut le maintien de l'autorité de Louis-Napoléon « Bonaparte, et lui donne les pouvoirs nécessaires pour faire «ne « Constitution d'après les bases établies dans sa proclamation « du 2 décembre ; » Considérant que les bases proposées à l'acceptation du Peuple étaient : « 1° Un Chef responsable nommé pour dix ans ;