Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 23-24Paulin, 1836 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 2
... heures , de l'exécution du présent décret . » ( Post - scriptum du discours de Poultier . J'étais inscrit le vingt- cinquième , pour prononcer cette opinion à la tribune ; le bureau prévaricateur à subversé la liste des orateurs ; il a ...
... heures , de l'exécution du présent décret . » ( Post - scriptum du discours de Poultier . J'étais inscrit le vingt- cinquième , pour prononcer cette opinion à la tribune ; le bureau prévaricateur à subversé la liste des orateurs ; il a ...
Page 7
... heures de la journée , je n'en donne que deux au sommeil et une seule à la table , à la toilette et aux soins ... heure de récréation . Cependant il m'a fallu trouver le temps de travailler quelques discours pour la tribune de la Conven ...
... heures de la journée , je n'en donne que deux au sommeil et une seule à la table , à la toilette et aux soins ... heure de récréation . Cependant il m'a fallu trouver le temps de travailler quelques discours pour la tribune de la Conven ...
Page 12
... heures après midi . J'étais mandé pour paraître séance tenante ; mais je vous prie d'avoir égard que votre décret ne m'a été remis qu'à six heures . Le président à Chaumette . Il appartient à un magistrat du peuple de donner de ...
... heures après midi . J'étais mandé pour paraître séance tenante ; mais je vous prie d'avoir égard que votre décret ne m'a été remis qu'à six heures . Le président à Chaumette . Il appartient à un magistrat du peuple de donner de ...
Page 16
... heures à entendre d'affligeans débats ou d'absurdes dénonciations . > Je n'examinerai pas s'il importe à la nation que les agens qu'elle a choisis soient maintenus , lorsqu'ils le méritent , dans la confiance sans laquelle ils ne ...
... heures à entendre d'affligeans débats ou d'absurdes dénonciations . > Je n'examinerai pas s'il importe à la nation que les agens qu'elle a choisis soient maintenus , lorsqu'ils le méritent , dans la confiance sans laquelle ils ne ...
Page 25
... heures du matin jusqu'à quatre heures du soir , dans la salle de la Société des Amis de la Liberté et de l'É- galité , aux Jacobins , pour se concerter entre eux sur les moyens de conserver les droits imprescriptibles des hommes et l ...
... heures du matin jusqu'à quatre heures du soir , dans la salle de la Société des Amis de la Liberté et de l'É- galité , aux Jacobins , pour se concerter entre eux sur les moyens de conserver les droits imprescriptibles des hommes et l ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
administrateurs agens années de gêne armées arrêté assemblées primaires assignats aura avez bannissement Barbaroux bataillon Brissot Buzot cent chargé Choudieu ci-devant citoyens comité de sûreté commissaires commune condamné conseil exécutif conseil-général constitution Convention nationale corps législatif coupable Couthon crime déclare décret délibération demande dénonce départemens département députés despotes détention discussion Dubois-Crancé Dumourier émigrés enfans ennemis envoyé Finistère Gensonné guerre j'ai Jacobins Jacques Roux janvier journal jugement justice l'assemblée l'exécution l'ordre du jour Lanjuinais Lepelletier liberté lois Louis Capet Louis XVI mande Marat membres ment mesures mille hommes millions ministre mort municipalité murmures nation nissement paix passe à l'ordre patrie patriotes peine pétition peuple porter pouvoir présent président projet prononcer propose proposition public publique question rapport réclusion représentans républicains révolution RHÔNE-ET-LOIRE Robespierre Roland s'il salle Santerre séance sections sera puni seront seul société sûreté générale sursis surveillance Tallien Thuriot tion toyens tribunal tribune tyran voix voté
Popular passages
Page 108 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 107 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 347 - Dieu, qui doit marcher avant tout, de rester toujours unis entre eux, soumis et obéissans à leur mère, et reconnaisses de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux et en mémoire de moi. Je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. > Je recommande à mon fils , s'il avait le malheur de devenir roi, de songer qu'il se doit tout entier au bonheur de ses concitoyens , qu'il doit oublier toute haine et tout ressentiment , et nommément tout ce qui a rapport aux malheurs et...
Page 149 - II s'agit de la tragédie que vous devez donner aux nations ; il s'agit de faire tomber sous la hache des lois la tête d'un tyran (On murmure.) , et non de misérables comédies.
Page 270 - La Convention nationale déclare nul l'acte de Louis Capet, apporté à la barre par ses conseils, qualifié d'appel à la nation du jugement contre lui rendu par la Convention ; défend à qui que ce soit d'y donner aucune suite , à peine d'être poursuivi et puni comme coupable d'attentat contre la sûreté générale de la république.
Page 347 - ... faire respecter et faire le bien qui est dans son cœur qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire, et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
Page 109 - Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa constitution. Une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures.
Page 108 - Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n'est pas assurée.
Page 106 - Ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché. — Nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 24 - attentat contre la république, sera puni de mort. » — Article 2 e ( du 6 octobre 1791 . « Toute conspi« ration et complot, tendant à troubler l'état par une « guerre civile, en armant les citoyens les uns contre « les autres, ou contre l'exercice de l'autorité légitime,