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tages qui doivent résulter pour l'Autriche des communs efforts de l'union.

La Prusse et la Russie reconnaissent volontiers que le plus ou le moins de réussite des vues bienfaisantes de l'union dépendra des déterminations de l'Autriche; et si, par cette raison, elles souhaitent vivement que l'empereur François Ier se déclare en leur faveur, elles sont aussi parfaitement disposées à aller au-devant des désirs de S. M. I. et R. A., dans les stipulations particulières qui motiveront son accession à la susdite convention.

Mais l'importance de la crise actuelle exige que les déterminations définitives de l'Autriche soient enfin connues, et S. M. le roi de Prusse s'attend, en conséquence, à une déclaration décisive et péremptoire du parti que S. M. I. et R. A. jugera convenable de prendre.

M. de Talleyrand répondit de Varsovie, le 19 avril, à l'invitation autrichienne. Il déclara que Bonaparte acceptait la médiation de l'empereur d'Autriche, mais qu'il appréhendait << que la puissance qui s'est fait un système de fonder son élévation et sa grandeur sur la discorde du continent, ne s'efforçât à faire naître, par le moyen du congrès proposé, de nouvelles causes d'exaspération et de nouveaux prétextes de discorde. »

M. Canning, secrétaire d'État des affaires étrangères de la Grande-Bretagne, répondit, le 15 avril 1807, au prince de Stahremberg, ministre d'Autriche à Londres, que le roi prendra part à un congrès pour la pacification, aussitôt qu'il aura reçu le consentement de toutes les parties intéressées; qu'en conséquence, on communiquera la proposition de l'Autriche aux puissances avec lesquelles le roi était principalement lié 1.

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Labanoff Rostowski s'y présenta, de la part du général Bennigsen, pour négocier un armistice. Il tomba bientôt d'accord avec le maréchal Berthier, et conclut, le 21 juin, un armistice entre les armées française et russe, dans lequel l'armée prussienne ne fut pas comprise. On ignore les motifs qui furent cause que les deux alliés separèrent leurs intérêts dans un moment si important.

Il y aura armistice, dit l'art. 1er, entre les armées française et russe, afin de pouvoir, dans l'intervalle, négocier, conclure et signer une paix qui mette fin à l'effusion de sang si contraire à l'humanité.

Si l'une des deux parties contractantes voulait rompre l'armistice, elle sera obligée d'en donner avis au quartier général de l'autre armée, et les hostilités ne pourront recommencer qu'un mois après cette notification. Art. 2.

Les armées française et prussienne concluront un armistice séparé; pendant les quatre à cinq jours qui seront nécessaires pour cette conclusion, l'armée française ne commettra aucune hostilité contre l'armée prussienne. Art. 3.

Les articles suivants fixent la ligne de démarcation entre les deux armées, l'échange des prisonniers, la nomination des plénipotentiaires pour traiter de la paix, etc.2.

Le quartier général de l'empereur de Russie était alors à Tauroggen; le maréchal Duroc y porta, le 23, l'armistice ratifié par Bonaparte, et Alexandre le ratifia à son tour.

Ainsi il existait une trève entre la France et la Russie, tandis qu'entre la France et la Prusse il n'y avait qu'une simple suspension d'armes de quatre à cinq jours. Dans cet état de choses, la Prusse n'avait d'autre parti à prendre que d'accepter les conditions que le vainqueur lui offrait. Le 24 juin, le feld-maréchal comte de Kalkreuth arriva à Tilsit, et le lendemain l'armistice fut conclu aux conditions suivantes :

Armistice de Tilsit, du 25 juin 1807. — La partie de l'armée prussienne qui se trouve à Stralsund, ne prendra part, en aucun cas, à des hostilités quelconques. Art. 2.

Les choses resteront dans l'état où elles se

Voy. ces pièces dans Annual Register, 1807, State Papers, p. 710, 712, 724; et, en allemand, dans Pol. Journal, 1807, vol. II, p. 662; Voss, Zeiten, vol. XI,

p. 234. Celle que nous avons insérée dans notre texte ne se trouve pas dans ces recueils.

* MARTENS, Recueil, tom. XI, p. 432.

trouvent actuellement dans les places de Colberg, Graudentz et Pillau, ainsi que dans les forteresses de la Silésie qui se trouvent encore entre les mains des Prussiens. Art. 3 et 4.

La partie de l'armée prussienne qui se trouve dans la Pomeranie suédoise, ainsi que celle qui est en Silésie, s'abstiendra de tout recrutement et se tiendra tranquille dans les places. Art. 51.

Il est remarquable qu'aucun article ne fixe un intervalle entre la dénonciation de l'armistice et la reprise des hostilités.

Le 25 juin eut lieu la fameuse entrevue, sur un radeau du Niémen, entre Alexandre et Bonaparte; le roi de Prusse assista à une seconde entrevue qui eut lieu le lendemain, et dès lors Alexandre et Frédéric-Guillaume prirent leur quartier général à Tilsit. Pendant que Bonaparte les traitait comme ses convives, les ministres négociaient la paix, savoir: de la part de Bonaparte, M. de Talleyrand; de la part

Russie, le prince Kurakin, ministre des affaires étrangères sous Paul Ier, qui n'avait pas siégé dans le cabinet pendant que la Russie faisait la guerre à la France, et le prince Labanoff Rostowski. Les négociateurs prussiens furent le feld-maréchal comte de Kalkreuth, et le comte Auguste de Goltz qui avait été ministre de sa cour à Saint-Pétersbourg.

Quoique tous les plénipotentiaires fussent réunis dans la même ville, et que Bonaparte n'en eût nommé qu'un seul pour négocier avec la Russie et la Prusse, cependant on traita de la paix avec ces deux alliés, comme de deux affaires entièrement distinctes. Un voile impénétrable aux yeux des profanes ayant été jeté sur cet événement, nous sommes dispensé de nous y arrêter; néanmoins, avant de donner les sommaires des traités qui furent conclus, il nous sera permis de tâcher de découvrir les motifs qui peuvent avoir produit un si grand changement dans la politique de l'empereur Alexandre, et avoir détaché ce monarque de l'alliance avec la Grande-Bretagne, quoique, dans les circonstances d'alors, cette liaison parût si conforme aux intérêts de ses peuples.

Motifs qui portent la Russie à se réconcilier avec la France. Une correspondance diplomatique

I MARTENS, Rec., tom. XI, p. 435.

HIST. DES TR. DE PAIX. T. III.

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que le ministère anglais a publiée, en 1808, pour sa justification, indique deux causes qui peuvent avoir excité le mécontentement de ce monarque contre son ancien allié. La première était l'imprudence que commit le gouvernement anglais en lui refusant des subsides.

Aussitôt qu'on reçut à Londres la nouvelle de la malheureuse bataille de Jéna, lord Howick, secrétaire d'État des affaires étrangères, recommanda à sir Charles Stuart, ministre de la Grande-Bretagne à Saint-Pétersbourg, de faire à la cour de Russie les plus pressantes instances pour qu'en cas que l'armée russe destinée à marcher au secours de la Prusse ne fût pas mobile, il fût donné des ordres de la mettre sans retard en mouvement. Dans une seconde dépêche, du 4 novembre, lord Howick exprime ses regrets de ce que la guerre entre la Prusse et la France avait commencé à une époque où l'on travaillait à obtenir la coopération et l'assistance des puissances qui, peut-être, auraient été portées à se liguer contre l'ennemi commun. Cette observation est extrêmement juste; mais ne doit-on pas être étonné qu'elle ait été faite si tard par le ministre d'une grande puissance, ou qu'il n'ait pas dépendu de lui de prévenir l'événement qu'il plaint? Quoi qu'il en soit, il charge, dans la même dépêche, sir Charles Stuart d'assurer l'empereur que le roi d'Angleterre est fermement résolu de s'opposer avec force à toutes prétentions qui seraient préjudiciables à l'honneur de sa couronne et contraires à l'intérêt général de l'Europe; et que, le danger ayant augmenté, ce monarque redoublera d'efforts pour le bien de la cause commune.

Le cabinet de Pétersbourg exprima le vœu de pouvoir faire, sous la garantie du gouvernement britannique, un emprunt de 6 millions de livres sterling, portant intérêt à cinc pour cent, remboursable dans vingt années. Le besoin pressant de fonds pour agir avec l'énergie que les circonstances exigeaient, engagea le baron de Budberg à demander que, sur le produit de cet emprunt, il lui fût avancé un million de livres sterling. Le gouvernement anglais se refusa à l'une et l'autre proposition. Il est bon de placer ici un extrait de la réponse que lord Howick adressa, le 13 janvier 1807, au marquis de Douglas, successeur de sir Charles Stuart; elle contraste avec les assurances données dans la dépêche du 4 novembre précédent.

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« Il est impossible, dit ce ministre, que le gouvernement de S. M. cautionne une si grande somme de six millions, dont les intérêts combinés avec un fonds d'amortissement analogue, exigeraient, dans le cas où la somme finirait par tomber à la charge de la Grande-Bretagne, une imposition annuelle de 500,000 liv. sterl. Les exemples des emprunts autrichiens sont trop récents pour qu'on puisse douter qu'un emprunt garanti de cette manière ne doive être regardé comme un subside, et le parlement ne l'envisagerait pas autrement, si l'affaire lui était communiquée.

<< On peut dire, il est vrai, que les ressources de la Russie sont plus grandes que celles de l'Autriche, et qu'à cause de l'exactitude avec laquelle elle a payé d'anciens emprunts, son crédit est mieux affermi. Mais il faut distinguer entre un emprunt négocié par des individus et celui que négocie un gouvernement. La garantie proposée placerait dans la dernière catégorie celui dont il est question. Dans le premier cas, l'espoir de faire à l'avenir des emprunts par la même voie, dépend de la bonne foi avec laquelle on a rempli de premiers engagements. Mais, lorsque l'emprunt est fait par une puissance, il est à craindre que, dans le cas où l'amitié entre les deux gouvernements cesse, et plus encore s'il survenait une rupture entre eux, le désir de faire du mal à l'ennemi ne soit plus fort que le sentiment de ce que prescrit la loyauté. »

Le ministre propose ensuite un moyen d'inspirer aux prêteurs de la sécurité sans compromettre le gouvernement anglais ; c'est d'abolir les droits que les marchandises anglaises payaient à leur entrée en Russie, et de les faire percevoir, pour compte des prêteurs, lors de la sortie de ces mêmes marchandises des ports anglais. Après quoi, il ajoute : « Vous donnerez de nouveau les assurances les plus positives du désir sincère de S. M. de soutenir de toutes ses forces un allié, avec l'intérêt duquel celui de S. M. est entièrement lié en temps de guerre et de paix. Mais on ne saurait supposer qu'un empire aussi vaste et aussi puissant que la Russie ne puisse trouver en lui-même des moyens suffisants pour sa défense. Si l'on avouait qu'on n'en a pas les forces, il resterait peu d'espoir de succès dans une guerre dont tout le fardeau retomberait alors sur l'Angleterre. La Russie

étant attaquée dans ses propres frontières, et étant devenue partie principale dans la guerre, S. M. sera prête à faire tout ce que, dans cette situation, on est en droit d'attendre d'elle et tout ce qu'exige l'intérêt commun. Comme l'Angleterre doit prévoir qu'à cause des succès, et surtout à cause de la haine invétérée du gouvernement français, la lutte peut devenir fort longue, il est du devoir de S. M. de ménager autant que possible les ressources que lui offre l'attachement éprouvé de son peuple. »

On ne saurait douter de l'impression que cette déclaration du cabinet anglais a faite sur l'âme de l'empereur Alexandre. Son mécontentement dut augmenter par la manière dont ce même cabinet accueillit une autre demande

qu'il lui avait adressée. Ce monarque pensait, sans doute, qu'il ne suffisait pas de protester des intentions qu'on avait de faire des efforts extraordinaires pour combattre l'ennemi commun; il désirait une explication plus claire et plus positive sur ce que la Grande-Bretagne se proposait de faire. Une diversion puissante dans le nord de l'Europe, en Hollande ou sur les côtes de France, lui paraissait le meilleur moyen pour obliger l'ennemi à diviser ses forces. Voici mot à mot la réponse donnée par lord Howick au baron de Nicolaï; il la communiqua au marquis de Douglas par une dépêche du 4 décembre 1806: « Je n'ai pu répondre qu'en termes généraux, en disant que, dans ce moment, il ne pouvait être question de quelque opération militaire particulière; qu'ici comme à Saint-Pétersbourg, on pensait devoir résister par des efforts réunis, au danger croissant, et montrer de toutes parts dans l'intérêt de la cause commune, une confiance pleine et entière. »

Toutes les lettres du ministre d'Angleterre à Saint-Pétersbourg qu'il adressa à lord Howick, furent remplies des plaintes formées par le cabinet russe contre l'inaction de l'Angleterre, pendant que toutes les forces de Bonaparte étaient dirigées contre la Russie. Le 20 février 1807, le secrétaire d'État répond «< que S. M. emploiera, dans toute occasion favorable qui se présentera, toutes ses forces pour faire du mal à l'ennemi sur tel point qui se présentera avantageux pour cela. »

Si le gouvernement anglais accueillit froidement la proposition d'une diversion en faveur

de la Russie, il montra d'autant plus de zèle pour obtenir de cette puissance la conclusion d'un nouveau traité de commerce, ou du moins la prolongation pour deux ans de celui de 1797, qui était sur le point d'expirer. Le cabinet de Pétersbourg crut devoir profiter de l'intérêt que lord Howick mettait à obtenir cette faveur, pour la faire dépendre de la promesse d'une diversion tentée par la Grande-Bretagne; mais le ministre anglais trouva un tel langage déplacé et fait pour troubler la bonne intelligence qui régnait entre les deux gouvernements. Cependant il parle, dans la même dépêche qui est du 10 mars 1807, de l'approche de la saison qui permettra à l'Angleterre de coopérer aux entreprises militaires; toutefois il prévient que les forces que cette puissance peut employer à une opération continentale sont nécessairement bornées.

A cette époque, lord Hutchinson, qui se trouvait à Mémel, communiqua au gouvernement anglais le plan d'une diversion conçu par la Prusse, et que le général Zastrow avoit proposé à cet officier anglais. Les troupes britanniques et suédoises devaient forcer le maréchal Mortier à lever le blocus de Stralsund, assiéger Stettin, et, par un mouvement sur la rive gauche de l'Oder, menacer les communications sur les derrières de l'armée française. Le marquis de Douglas dit dans une dépêche du 19 mars : « Je ne remplirais pas mon devoir si je n'observais que si, ce printemps, les troupes britanniques. n'entreprennent rien, il est plus que probable

que les réflexions que je viens de communiquer agiront dans toute leur force sur les sentiments de l'empereur. Si ce cas arrivait, je n'ai pas besoin d'indiquer quel serait le résultat probable. Je sais que l'Angleterre peut se mettre à couvert; mais je suis persuadé que le gouvernement de S. M. a trop le sentiment de l'honneur national et du bonheur futur de l'Europe, pour compromettre, dans des vues partielles, la perspective d'un bien général permanent. »

Enfin, le cabinet de Londres se décida à faire la diversion à laquelle l'empereur Alexandre ne cessait de l'exhorter. Il conclut, le 17 juin 1807, avec le roi de Suède, une convention par laquelle il promit de lui envoyer un corps auxiliaire de 20,000 hommes. La première moitié de ces troupes arriva en effet, mais ce fut lorsque la paix de Tilsit avait rendu impossible la diversion convenue; ces troupes furent alors transportées en Séelande.

Paix de Tilsit, du 7 juillet 1807.- La paix fut signée à Tilsit entre la Russie et la France, le 7 juillet 1807, aux conditions suivantes.

Les hostilités cesseront immédiatement dans tous les points où la nouvelle de la signature du traité sera officiellement parvenue. Les hautes parties contractantes la feront porter sans délai par des courriers extraordinaires à leurs généraux et commandants respectifs. Art. 2.

L'art. 4 doit être placé ici en entier : « S. M. l'empereur Napoléon, par égard pour S. M. l'empereur de toutes les Russies, et voulant donner une preuve du désir sincère qu'il a d'u

1 Nous ne pouvons nous séparer de cette correspondance diplomatique vraiment extraordinaire, et par la publication de laquelle lord Howick n'a pas érigé un monument à sa gloire; nous ne pouvons nous en séparer sans parler d'un autre objet dont il y est question, et qui est étranger à l'histoire dont nous donnons le précis dans ce chapitre. Ce serait trahir la vérité que de ne pas relever les principes faux et injustes, toutes les fois que quelque gouvernement ose les professer. Voici le fait : Des croisières anglaises avaient enlevé des bâtiments russes sortis des ports de France. Le chargé d'affaires de Russie ayant porté plainte contre cet acte de violence, lord Howick soutint que, d'après le droit des gens universel, tout commerce entre les sujets des puissances belligérantes est interdit par le fait seul de la guerre, et la propriété des individus qui font un tel commerce, confiscable, à moins qu'ils n'aient été expressément autorisés à ce commerce par leur propre souverain. Cette règle, dit le ministre, a

été jusqu'à présent appliquée par le gouvernement britannique à ses sujets et à ceux de ses alliés, et l'on supposait que la Russie agirait de même. Comme on ne savait pas si les sujets russes avaient obtenu une pareille licence, les croisières anglaises ont pu arrêter des bâtiments russes venant des ports ennemis. » Nous avons examiné ailleurs (au chap. XXI) les droits des puissances belligérantes à l'égard du commerce des neutres; et nous n'avons rien pu découvrir dans la nature des choses qui puisse établir un pareil droit. S'il était fondé, il s'ensuivrait qu'une puissance étrangère serait juge de la conduite des sujets d'une puissance neutre, ou, en d'autres termes, qu'elle serait l'exécutrice des règlements de police établis par celle-ci. On est surpris de voir qu'au lieu de se récrier contre une telle prétention, la Russie ait consenti à donner, dans le cas dont il s'agissait, la déclaration officielle qu'elle n'avait pas interrompu le commerce de ses sujets avec la France. Voy. ci-dessus, p. 17.

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Lisu autrement.

Te- f retabir à vilu ät Inntzig dans son #dependance et voic, in termes : « La ville te lamp over un territort de deux heues de I autour de SOL encenne, sera retablie Gate sol mäependance sous in protection de SI ieval at Prusse et de S. L. je rad de Saxe, = forvernet par ies lois qui le regissaient a l'éde queat elæresa de se pouverner elle-même, » etabil, des routes minaires dans les *surans : « Pour is communications EDE E SOVRUMe de Saxe et le duche de Varje ta, de Šaxe aura le libre usage d'une nice mutare a teves its possessions de S. I DE Pusse Ladite route, le nombre as reps ou pourtout y passer a la fois, et I i elme, seront determines par une sa sterile, faite entre Leersdites sous à mediation de la France. »

IL

T i que statue løn. 8: «S. M. le roi #bros #S. Y le roi de Saxe, ni la ville

Jazz de parton, empecher par aucune Gud inima, mentra ver par l'établissement d'auzum verze trat ca impot, de quelque nature qu'à russe ere, le novigation de la Vistule. »

Tan is convena qu'une partie de ariele Trusse acientale sera reunie à or Lusie. C'est la province qu'on Kooli e asuciement de Bialystock, renfer man, aur une surface de 206 milles carrés géoZa quus un population de 183,300 àmes'.

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