Le livreA. Quantin, 1883 - Bibliography |
From inside the book
Results 1-5 of 51
Page 11
... s'il en est , et qui a perdu tant et de si nobles esprits ! M. Rogier dès lors , et il est permis de lui en faire le reproche , n'envisagea plus l'art comme la seule raison d'être , le but unique et suprême de son existence . Il perdit ...
... s'il en est , et qui a perdu tant et de si nobles esprits ! M. Rogier dès lors , et il est permis de lui en faire le reproche , n'envisagea plus l'art comme la seule raison d'être , le but unique et suprême de son existence . Il perdit ...
Page 13
... s'il en fut . Son temps , qu'il partage noblement entre le travail de l'artiste et les affections de famille , ne reste jamais sans emploi . Ses loisirs sont ceux d'un collectionneur sagace et d'un amateur de précieux bibelots . Ses ...
... s'il en fut . Son temps , qu'il partage noblement entre le travail de l'artiste et les affections de famille , ne reste jamais sans emploi . Ses loisirs sont ceux d'un collectionneur sagace et d'un amateur de précieux bibelots . Ses ...
Page 30
... s'il avait été moins déclamateur , aurait réformé le théâtre anglais que Shakespeare « a fait naître et a gâté . » Il ajoute : « Mais ce Gilles Shakespeare , avec toute sa barbarie et son ridicule , a , comme Lopez de Vega 30 LE LIVRE.
... s'il avait été moins déclamateur , aurait réformé le théâtre anglais que Shakespeare « a fait naître et a gâté . » Il ajoute : « Mais ce Gilles Shakespeare , avec toute sa barbarie et son ridicule , a , comme Lopez de Vega 30 LE LIVRE.
Page 33
... s'il en était de même en Allemagne ou plutôt si , à l'époque où se produisit le conteur , son étrangeté avait été appréciée avec autant de sympathie par ses compatriotes . Je vois bien autour d'Hoffmann un petit groupe d'amis qui le sui ...
... s'il en était de même en Allemagne ou plutôt si , à l'époque où se produisit le conteur , son étrangeté avait été appréciée avec autant de sympathie par ses compatriotes . Je vois bien autour d'Hoffmann un petit groupe d'amis qui le sui ...
Page 35
... s'il ne voulait pas me donner à entendre que lui seul avait qualité pour saisir l'ordre mystérieux de ce désordre intellectuel ; aujourd'hui que l'ami est mort sous le coup d'une maladie qui n'est pas sans rapports avec celle d'Hoffmann ...
... s'il ne voulait pas me donner à entendre que lui seul avait qualité pour saisir l'ordre mystérieux de ce désordre intellectuel ; aujourd'hui que l'ami est mort sous le coup d'une maladie qui n'est pas sans rapports avec celle d'Hoffmann ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
abonnés almanachs amour année artistes autographe avant la lettre Balzac beau belle BIBLIOGRAPHIE bibliophiles bibliothécaire bibliothèque broché c'était caricature Chambolle-Duru chanson choléra chose cœur collection comte Contes curieux d'Alfred de Musset d'Olivier de Magny Daumier dernier dessins Didot Dorvo écrivains édition Elzeviers Étranger union postale Euvres exemplaire femme française François Ier Gérard de Nerval gravures Gustave Doré Gutenberg Henri Henri Heine Hollande homme illustrés imprimé in-folio j'ai jour journaux l'art l'auteur l'édition l'imprimerie L'Union libraire littéraire LIVRAISON Louis Louis XIV maison Mame manuscrit manuscrits Marie Stuart maroq Mayence monde monsieur mort Napoléon Napoléon Ier notice Octave UZANNE œuvres Olivier de Magny originale ouvrages papier vélin Pick de l'Isère pièces planches poésie poète Poliphile portrait première publications publié Pünsch Quantin reliure RENSEIGNEMENTS ET MISCELLANÉES reste Rogier roman Rousseau RUE SAINT-BENOIT satirique sera seul texte tion titre Tourguéneff trouve typographique Uzanne vente vignettes volumes voyage xvIIe siècle xylographiques
Popular passages
Page 42 - Homme, libre penseur ! te crois-tu seul pensant Dans ce monde où la vie éclate en toute chose? Des forces que tu tiens ta liberté dispose, Mais de tous tes conseils l'univers est absent. Respecte dans la bête un esprit agissant: Chaque fleur est une âme à la Nature éclose; ' Un mystère d'amour dans le métal repose ; « Tout est sensible ! » Et tout sur ton être est puissant.
Page 295 - nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi; et vous, qui ne « sauriez être son organe auprès des états généraux, vous qui n'avez ici ni place, « ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 140 - J'en boirais moins que ne fait un moineau. Je tirerai pourtant de mon cerveau Plus aisément, s'il le faut, un rondeau, Que je n'avale un plein verre d'eau claire A la fontaine. De ces rondeaux un livre tout nouveau A bien des gens n'a pas eu l'heur de plaire; Mais quant à moi, j'en trouve tout fort beau, Papier, dorure, images, caractère, Hormis les vers, qu'il fallait laisser faire A La Fontaine.
Page 95 - Je ne demande pas à Dieu de rien changer aux événements, mais de me changer relativement aux choses ; de me laisser le pouvoir de créer autour de moi un univers qui m'appartienne, de diriger mon rêve éternel au lieu de le subir. Alors, il est vrai, je serais Dieu.
Page 296 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 14 - Une bibliothèque nationale de musique est formée dans le conservatoire ; elle est composée d'une collection complète des partitions et ouvrages traitant de cet art , des instruments antiques ou étrangers , et de ceux à nos usages qui peuvent par leur perfection servir de modèles.
Page 4 - Notre ministre de l'Intérieur est chargé de l'exécution du présent décret. Signé : NAPOLÉON.
Page 42 - Respecte dans la bête un esprit agissant : Chaque fleur est une âme à la Nature éclose ; Un mystère d'amour dans le métal repose ; « Tout est sensible! » Et tout sur ton être est puissant. Crains, dans le mur aveugle, un regard qui t'épie : A la matière même un verbe est attaché... Ne la fais pas servir à quelque usage impie! Souvent dans l'être obscur habite un Dieu caché ; Et, comme un œil naissant couvert par ses paupières, Un pur esprit s'accroît sous l'écorce des pierres!
Page 40 - J'ai fait les premiers vers par enthousiasme de jeunesse, les seconds par amour, les derniers par désespoir.
Page 94 - Ma chambre est à l'extrémité d'un corridor habité d'un côté par les fous, et de l'autre par les domestiques de la maison. Elle a seule le privilège d'une fenêtre, percée du côté de la cour, plantée d'arbres, qui sert de promenoir pendant la journée. Mes regards s'arrêtent avec plaisir sur un noyer touffu et sur deux mûriers de la Chine. Au-dessus, l'on aperçoit vaguement une rue assez fréquentée, à travers des treillages peints en vert.