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nent presque sans effort et sont très considérables, la rémunération du travail et celle du capital gardent un niveau fort élevé. L'argent y est cher ainsi que les salaires. Dans la Grande-Bretagne, au contraire, où pour s'enrichir il faut que les industriels opèrent sur d'immenses quantités, le profit étant minime sur chaque fraction, le capital ne prélève qu'un intérêt médiocre. Les consolidés ne donnent pas aujourd'hui 3 pour 100; on place les bons de l'échiquier à moins de 2 pour 100, et l'escompte des bonnes valeurs se fait à peu près au même taux. Il n'y a que le travail qui se paye cher dans le Royaume-Uni, où il est aussi une richesse. L'abondance qu'amènent les trésors accumulés par l'industrie fait que le capital y est moins demandé que le travail.

L'harmonie de ces diverses fonctions dans l'ordre social ne peut résulter que de la liberté. C'est la liberté qui a fait grandir l'industrie et qui a donné des ailes au commerce. La liberté seule peut régler, à la satisfaction de tout le monde, l'intérêt de l'argent. Le capital ne saurait avoir d'autre maître que lui-même; et l'on n'évitera sa tyrannie qu'en ne cherchant pas à le réduire en esclavage. L'équilibre procède ici des rapports qui s'établissent naturellement entre les hommes et non des lois qu'ils pourraient être tentés de décréter. LEON FAUCHER.

BIBLIOGRAPHIE.

A tract against the high rate of usury, etc.—(Traité contre le taux élevé de l'usure), par sir Thomas Colepeper. Londres, 4623, in-4.

Interest of money mistaken, etc. — (L'intérêt de l'argent mal entendu, ou Traité prouvant que la baisse de l'intérêt est l'effet et non la cause de la richesse de la nation). Londres, 1668, in-4.

Ce traité est écrit contre l'ouvrage de Child, qui avait soutenu l'opinion opposée.

Brief observations concerning trade and the interest of money. (Courtes observations relatives au commerce et à l'intérêt de l'argent), par J. C. (Child). Londres, 1668, in-4.

L'usure expliquée et condamnée par les Écritures saintes et par la tradition, par le P. Thorentier. Paris, Jean de Bray, 1673, in-12.

Traité de la pratique des billets et du prêt d'argent entre les négociants, par un docteur en theologie. 4684. Traité du négoce et de l'usure, par le P. Thomassin. Paris, 1697, in-8.

L'usure, l'intérêt et le profit qu'on tire du prét, ou l'ancienne doctrine opposée aux nouvelles opinions, par J. Arthur de la Gibonays. Paris, Delaulne, 1710, in-12. Traité des prêts de commerce, par un docteur de la Faculté de théologie de Paris. 1736.

Traité des prêts de commerce, ou de l'intérêt légitime et illégitime de l'argent, par l'abbé Etienne Mignot. Paris. Knapen, 1738, 1759, 1767, 4 vol. in-12.

Dissertation sur la légitimité des intérêts d'argent qui ont cours dans le commerce, par J.-B. Gastumeau. La Haye, 4750, in-12.

An essay on the governing causes of the natural rate of interest. (Essai sur les causes qui déterminent le taux naturel de l'intérêt), par Joseph Massie. Londres, 4750. in-8.

Discours pour et contre la réduction de l'intérêt de l'argent, par l'abbé J.-P. de Gua de Malves. 1737.

Dialogue entre Bail et Pontas. Dissertation théologique sur l'usure.

Dissertation théologique sur l'usage du prêt du commerce et sur les trois contrats, contre l'auteur du Dialogue entre Bail et Pontas, avec l'examen de la Lettre

d'un négociant sur le prét, par Pierre Lecoq. Rouen, Laur. Dumesnil, 1767, in-12.

Nouvelles lettres à un ami sur les prêts usuraires du Delevaque, 1769, in-12. commerce, par l'abbé de la Porte. Amsterdam et Paris,

Principes théologiques, économiques et civils sur l'usure, par l'abbé de la Porte. Paris, Delavaque, 176972, 4 vol. in-12.

Traité de l'usure, servant de réponse à une lettre sur ce sujet, publiée en 1770 sous le nom de Prost de Rayer, et au traité anonyme sur le même sujet, par Etienne Souchet. Cologne, 1769, et Paris, Bertin, 1776, in-12.

Légitimité de l'usure légale, où l'on prouve son ulilité, par J. Faiguet de Villenenve. Amsterdam, Marc Michel Rey, 1770, in-12.

Remarques sur le Traité de l'usure et des intérêts (de l'abbé de La Forest, 1769), avec l'analyse des Réflexions sur le prêt du commerce (1771), pour servir de supplément à la Dissertation théologique sur l'usure, par Pierre Lecoq. Amsterdam, La Compagnie, 1775, in-12.

Moyens d'extirper l'usure, ou projet d'établissement d'une caisse de prét public sur tous les biens des hommes, par un avocat au parlement (H. Prévost de SaintLucien). 1776-1778, in-12.

C'est à l'effet produit par ce livre que l'on attribue l'établissement du mont-de-piété.

Théorie de l'intérêt de l'argent tirée des principes du droit naturel, de la théologie et de la politique contre l'abus de l'imputation d'usure, par J.-L Gouttes. Paris, Barral l'aîné, 1780, in-12.

Le défenseur de l'usure confondu, ou réfutation de la théorie de l'intérêt de l'argent, par l'abbé de la Porte. (Avec un recueil d'ordonnances contre l'usure par Maultrot). Paris, Morin, 1782, in-12.

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Observations sur le prêt à intérêt dans le commerce, par l'abbé Prigent. Paris, Berton, 1783, in-12.

Le défenseur de l'usure derechef confondu par l'aue teur des Principes sur l'usure, réfutation de la théorie de l'intérêt de l'argent, par l'abbé de la Porte. Paris, Morin, 1786, in-12.

le dernier défenseur de Calvin sur le même sujet; ou Les nouveaux patrons de l'usure réfutés, y compris vrage dédié aux états généraux, par l'abbé Rougane. Paris, Ve Hérissant, 4789, in-12.

Mémoire sur le prêt à intérêt, par J. Turgot, 4789.

V. les OEuvres de Turgot dans la Collect. des Princ. Econ., de Guillaumin, et l'article TURGOT. Considérations sur le prêt à intérêt, par M. *** (le baron Ambroise Rendu), jurisconsulte. Paris, Éberhart, 1806, in-8.

Mémoire couronné par l'Académie du Gard sur cette question: Déterminer le principe de l'intérêt de l'argent, et ses rapports avec la morale, par J.-D. Meyer. Amsterdam, Immezel, 1808, in-8.

Éclaircissement sur le prêt, l'usure et le trafic de l'argent, par l'abbé Remi Pothier. Reims, 4809. Consideration on the rate of interest, etc. — - (Consi dérations sur le taux de l'intérêt, par E.-B. Sugden. Londres, 1817, in-8.

Report by and evidence taken before the select commettee of the house of commons on the usury law. Rapport du comité de la chambre des communes sur les lois sur l'usure). Londres, 1818, in-fol.

Dissertation sur le prêt du commerce, par le card. C.-G. de la Luzerne. Dijon, Douiller, 1823, 3 vol. in-8.

Dissertation sur le contrat de rente, suivie de quelques observations sur deux décisions en matière d'usure données à Paris, par S. E. le cardinal Caprara. (Pagès, 1816). Lyon, 1823.

Réflexions sur le discours du rapporteur de la commission de la réduction de l'intérêt, par P. Pelegrin. Paris, Delaunay, Egron, 1824, in-8.

Du taux de l'intérêt et de l'argent, et de sa réduction, par A.-J.-E. Baconnière-Salverte. Paris, Delaunay,, 1824, in-8.

Exposé d'un moyen simple de réduire le taux de

l'intérêt des fonds publics en France, par André D. Laf- | importants que possédaient les familles Corsini et fon de Ladébat. Paris, Amyot, 1825, in-8.

Dissertation sur le prêt à intérét..., exposé des cir

Médicis; et il avait fini par se fixer entièrement constances qui autorisent à percevoir un interét, par philanthrope éclairé, un réformateur dévoué des dans ce pays. C'était un esprit bienveillant, un

l'abbé E. Pagès. Paris et Lyon, Rusand, 4826, in-8.

abus que la philosophie découvrait alors à chaque pas dans l'ordre social, un homme aussi distin

Traité de l'usure dans les transactions civiles et commerciales, par F.-X.-P. Garnier. Paris, 1826, in-12. De l'usure considérée dans ses rapports avec l'Econo-gué par ses connaissances positives que par l'emmie politique, la morale publique et la législation, ou de la nécessité d'abroger la loi du 3 septembre 1807, et de modifier l'article 1907 du Code civil, par Ch. Lucas. Paris, Ballimore, 4829, br. in-8.

Défense de l'usure, par Jérémie Bentham. Traduit de l'anglais par Saint-Amand Bazard. Paris, Renouard, 4827, in-8.

Cette traduction, ainsi que l'introduction de Bazard, ont été reproduites dans la Collect, des Princ. Econ, de Guillaumin. (V. l'art. BENTHAM.) Discussion sur l'usure..., où l'on démontre que l'usure modérée n'est contraire ni à l'Écriture sainte, ni au droit naturel, etc., par l'abbé Mastrolini. Traduit de Pitalien sur la 4e édit, par M. C., chanoine d'Annecy, etc., suivi du recueil des décisions du saint-siège sur l'usure. Lyon, Guyot, 4834, in-8.

Enquête faite par le parlement anglais en 1838 et en 4841 sur les effets produits par les lois sur l'usure.

Des monts-de-piété et des banques de prêt sur nantissement, par M. A. Blaise. Paris, Pagnerre, 1843, 4 vol. in-8.

Observations on the usury laws, by J.-B. Byle, Serjeant at law. 1845.

Gratuité du crédit. Discussion entre MM. Bastiat et Proudhon. Paris, Guillaumin, 4850, 4 vol. in-16.

Des obstacles au crédit, considérations soumises à la commission de l'assemblée législative, qui examine la proposition de M. de Saint-Priest sur l'usure, par J. Beauvais, negociant. Paris, Guillaumin, 1850, br. in-8. Manuel pour les débats sur l'usure, le crédit foncier et la finance, etc. Résumé des travaux des plus grands penseurs appliqués à la France par un système immédiatement praticable, par Albert Polonius. Paris, Garnier frères, 4850, 4 vol. in-8 à 2 colonnes.

Question de l'usure, par M. F. de Saint-Priest. Rapport fait au nom de la commission chargée d'eraminer la proposition de M. Félix de Saint-Priest our le délit d'usure, par M. Paillet.

Voir au Moniteur les discours prononcés contre la proposition par MM. Aubry (des Vosges), SainteBeuve, Lherbette et Léon Faucher; en faveur de la proposition par MM. Paillet, Saint-Priest et Corsan. D'autres auteurs ont aussi traité incidemment la question du prêt à intérêt. On peut consulter notam

ment:

PLUTARQUE, Il ne faut pas emprunter à usure; SAUMAISE, ses quatre Traités sur l'usure, en latin; DUMOULIN, Des usures; — - VOODT, De Panore; - SCACCIA. Questions; MONTESQUIEU, Esprit des Lois, Défense de l'Esprit des Lois;- D. HUME, Essai sur l'intérêt de l'argent (Collect. des Princ. Econ.);-POTHIER, Du prét, du contrat de vente; M. FREMERY, Études sur le droit commercial; THIERIET, Dissertation sur le prêt à intérêt (Collection Duvergier).

INTERVENTION. Voyez RÉGLEMENTATION.

INTIERI (BARTHOLOMEO), mort à Naples, en 1757, à l'age de quatre-vingts ans. Originaire de Florence.

Le nom de B. Intieri ne se rencontre pas dans les biographies; mais il se trouve très honorablement mélé à l'histoire philosophico-économique du dix-huitième siècle, en Italie, et bien qu'il n'ait rien écrit, il mérite d'être cité à divers titres.

Barthélemy Intieri était venu dans le royaume de Naples pour y diriger l'administration des biens

ploi libéral qu'il faisait de sa fortune. C'est à lui que la science est redevable de la création de la première chaire d'économie politique, et de l'impul sion donnée à l'étude des questions économiques, par Genovesi, le père de cette pleiade d'économistes italiens, au milieu desquels brillèrent ensuite Alexandre Verri et César Beccaria. Intieri, profitant d'un mouvement réformiste qui se manifestait à Naples contre les vieilles études scolastiques et en faveur des idées nouvelles, fonda i l'université de cette ville, à ses frais et avec l'autorisation du gouvernement, une chaire de Com merce et de mécanique. Par cette formule on entendait alors l'ensemble des questions générales philosophiques ou, comme nous dirions aujour d'hui, économiques, que font naître la production et la distribution des richesses.

Intieri mit à cette fondation, à laquelle il consacra une rente de 300 scudi ou ducats (soit 12 à 1300 francs), ces trois conditions: premièrement que les leçons se feraient en italien; secondement que l'abbé Genovesi serait le premier professeur appelé à occuper la chaire; troisièmement qu'après la mort de ce savant aucun religieux ne pourrait lui succéder. A cette époque tout l'enseignement se faisait en latin, et ne pouvait se propager que dans un rayon très restreint. D'autre part, l'abbé Genovesi s'était attiré de nombreux désagréments par ses hardiesses philosophiques, qui font aujourd'hui partie de ce que nous appelons le sens commun. On comprend toute la partie du service rendu par l'abbé Intieri.

C'est de cette chaire que Genovesi fit l'ouverture le 5 novembre 1754, et ce furent ces leçons qu'ily professa aux applaudissements d'un public nombreux et ravi d'entendre développer ces questions nouvelles, dans une langue pour ainsi dire nouvelle aussi, qu'il publia dix ans après sous le titre de Leçons d'économie civile, et qui eurent un si grand retentissement en Italie. (Voy. GENOVESI.)

Intieri fut au nombre des hommes de savoir et de bon sens que fréquenta le jeune abbé Galiani; et d'après quelques indices historiques, c'est à lui et à un de ses amis, le marquis Rinuccini, qu'il faudrait en partie attribuer le Traité sur la monnaie: Della moneta. En effet, dit M. Mac Culloch', cet ouvrage est écrit en un style grave et philosophique qui ne concorde pas avec cette vivacité qu'on retrouve dans les Dialogues sur le commerce des grains. Ce qui donnerait à penser que cette opinion ne manque pas de vraisemblance, c'est que Galiani n'avait que vingt ans, et que éë n'est guère à cet âge qu'on pouvait avoir médite sur ce sujet, il y a un siècle, surtout lorsque la question était peu connue. Il est vrai, d'autre part, que Galiani avait déja traduit le Traité de Locke.

L'abbé Intieri avait aussi inventé une machine

1 Litterature of political economy

a étuver le blé, et ce fut Galiani qui tint la plume
pour faire connaître cette découverte dans un
écrit intitulé: Della perfetta conservazione del
grano, discorso di Bartholomeo Intieri, 1754,
in-4. C'est sans doute cette circonstance qui a
fait prendre (dans la France littéraire) le nom
de B. Intieri pour un pseudonyme de Galiani,
auteur des Dialogues sur le commerce des blés.
(Voy. GALIANI.)
JPH G.

INVENTAIRE. Voyez COMPTABILITÉ.
INVENTIONS. Voyez BREVETs d'invention.
INVREA (F.).

Discorsi sulla pubblica richezza ossia sopra di quanto la constituisce sulla di lei origine, aumento e ripartizione. (Discours sur la richesse publique..., sa constitution, son origine, son augmentation et sa répartition). Gênes (Genova), Fezzando, 1846, 1 vol. in-12 de 310 pages.

Contient quinze discours, et parle, en outre des sujets indiqués dans le titre, des terrains incultes, du luxe, de la libre concurrence, des machines, du progrès.

ISNARD (ACHILLE-NICOLAS), né à Paris, fut ingénieur des ponts et chaussées, et membre du tribunat. Il mourut en 1802 ou 1803.

Traité des richesses. Londres (Lausanne, Grasset), 4784, in-8. (Anonyme.),

« Adversaire des Economistes; un peu déclamateur comme eux. Quelques détails attachants sur certains points de l'économie politique des anciens, notamment sur leurs impôts. »> (BL.) Considérations théoriques sur les caisses d'amortissement de la dette publique. Paris, Duprat, an IX (1804), in-8.

ISORÉ (JACQUES), conventionnel, né à Cauvigny (Oise) en 1758, mort à la fin de 1839. Fils de cultivateur, il a cultivé lui-même et s'est surtout appliqué à rechercher le point de vue économique de la culture.

Traité sur la grande culture des terres. Senlis et Paris, 1802, 2 vol. in-8.

IVERNOIS (sir FRANCIS D'), publiciste, né à Genève en 1758. Il fut d'abord avocat, se mêla aux luttes des partis, fut exilé en 1782 pour revenir en 1789. L'occupation de la Suisse par la France le contraignit plus tard à s'expatrier de nouveau. Il alla en Angleterre, où il resta jusqu'en 1815, époque à laquelle son pays le chargea de le reorésenter à Londres. Il fut bientôt rappelé, et devint membre du conseil d'État. Il mourut à Genève le 17 mars 1842. Il avait été naturalisé Anglais et nommé chevalier, en récompense, dit-on, des pamphlets qu'il a écrits contre la France.

État des finances et des ressources de la république française au 1er janvier 1796. Londres, 1796, in-8.

Tableau historique et politique des pertes que la révolution et la guerre ont causées au peuple français dans sa population, son agriculture, ses colonies, ses manufactures et son commerce. Londres, 1799, in-8.

«Il est fàcheux que ce livre, imprimé à Londres, ait le caractère d'un pamphlet commandé contre le gouvernement de la nation française; mais à part le sentiment qui l'a dicté, nos compatriotes y trouveront plus d'un grave sujet de reflexions et d'enseigne(BL.)

ment. >>>

Les recettes extérieures. Londres, 1805, in-8. Des effets du blocus continental sur la richesse, les finances, etc., de l'Angleterre. Londres, 1811, in-8.

Napoléon administrateur et financier, pour faire suite au tableau historique et politique des pertes, etc. Rechembach, 4812, in-8; 2e edit., Genève, Paschoud, iu-s.

Matériaux pour aider à la recherche des effets passés, présents et futurs du morcellement de la propriété foncière en France. Genève et Paris, Paschoud, 4826, in-8.

Lettre (à M. W. Horton) sur l'accroissement de la

population dans les iles Britanniques. Genève, 1830,

br. in-8.

Sur la mortalité proportionnelle des peuples, considérée comme mesure de leur aisance et de leur civili

sation. Genève, 1833, in-8; Paris, Cherbuliez.

Francis d'lvernois a publié, en outre, plusieurs ouvrages d'histoire, et un grand nombre de pamphlets politiques.

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