Les quatre concordats, suivis de considérations sur le gouvernement de l'église en général, et sur l'église de France en particulier, depuis 1515, Volume 2Chez F. Béchet, 1818 - Church and state |
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... n'était pas faite depuis que le roi et les parlemens ne cessaient de se refuser mutuellement le droit d'imposer , depuis que constituante que celle qui après avoir donné à la France la première constitution qu'elle ait eue , est devenue ...
... n'était pas faite depuis que le roi et les parlemens ne cessaient de se refuser mutuellement le droit d'imposer , depuis que constituante que celle qui après avoir donné à la France la première constitution qu'elle ait eue , est devenue ...
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... n'était plus question de rançon , mais de la vie même . Dans le fait , ce prélat , avec une offre qui , dans tout autre temps , aurait fait reculer de sur- prise , tressaillir de joie , et graver en lettres d'or le nom du clergé , ne ...
... n'était plus question de rançon , mais de la vie même . Dans le fait , ce prélat , avec une offre qui , dans tout autre temps , aurait fait reculer de sur- prise , tressaillir de joie , et graver en lettres d'or le nom du clergé , ne ...
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... n'était que l'idée secondaire . L'idée primaire était la destruction de l'état politique du clergé . Dans cette grande expropriation , il est entré plus de politique que d'avidité . Tout était calculé contre cet état politique du clergé ...
... n'était que l'idée secondaire . L'idée primaire était la destruction de l'état politique du clergé . Dans cette grande expropriation , il est entré plus de politique que d'avidité . Tout était calculé contre cet état politique du clergé ...
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... protégea ses ministres : en France , il les perdait . Pourquoi cette dif- férence ? C'est qu'alors le culte n'était consi- déré que comme un moyen d'opposition . 1 C'est ce qui sauva les prêtres dits constitution- nels ( 22 )
... protégea ses ministres : en France , il les perdait . Pourquoi cette dif- férence ? C'est qu'alors le culte n'était consi- déré que comme un moyen d'opposition . 1 C'est ce qui sauva les prêtres dits constitution- nels ( 22 )
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... n'était pas seulement des prêtres que la France voyait dans les deux partis , comme tous les deux l'ont cru et l'ont dit , c'était des amis ou des ennemis de la révolution . Elle traita en ennemis ceux qui se déclaraient ses ennemis à ...
... n'était pas seulement des prêtres que la France voyait dans les deux partis , comme tous les deux l'ont cru et l'ont dit , c'était des amis ou des ennemis de la révolution . Elle traita en ennemis ceux qui se déclaraient ses ennemis à ...
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Common terms and phrases
acte affaires agens apostolique archevêques aurait avaient bulles c'était cardinal Fesch catholique cessé chapitre chose clergé commission concile concordat de 1801 conseil conseil d'État cour de Rome culte décret demande députation devoir dignité diocèse dire donner ecclésias ecclésiastique églises ennemis esprit eût évêchés évêques évêques de Nantes faisait fallait François Ier fût général gouvernement guerre guerre de Wagram hommes j'ai jamais jour l'abbé l'archevêque l'assemblée constituante l'autre l'égard l'église l'esprit l'État l'Europe l'évêque l'institution canonique l'Italie l'ordre religieux long-temps Madame de Staël manquer Maury ment métropolitain ministres monde n'avait n'était Naboth Naples Napo ordre paix pape et Napoléon parler passer personne personnelle Pie VII poléon politique pontife porté position pouvait prélat premier consul prêtres prince principes propre raison refus religion reste révolution rien romaine royaume d'Italie s'était sacré collége saint saint-siége Sainteté Savone sentimens sentiment sera seul siége souverain spirituel temporel tion trouvait vait Voilà voulait
Popular passages
Page 104 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mon diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement.
Page 110 - Ceux qui seront choisis pour l'enseignement dans les séminaires, souscriront la déclaration faite par le clergé de France, en 1682, et publiée par un édit de la même année. Ils se soumettront à y enseigner la doctrine qui y est contenue, et les Évêques adresseront une expédition en forme de cette soumission, au conseiller d'Etat chargé de toutes les affaires concernant les cultes.
Page 102 - République française reconnaît que la religion catholique , apostolique et romaine , est la religion de la grande majorité des citoyens français l. Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France, et de la profession particulière qu'en font les consuls de la République.
Page 108 - A défaut de plainte particulière, il sera exercé d'office par les préfets. Le fonctionnaire public, l'ecclésiastique ou la personne qui voudra exercer ce recours, adressera un mémoire détaillé et signé au conseiller d'État chargé de toutes les affaires concernant les cultes, lequel sera tenu de prendre, dans le plus court délai, tous les renseignements convenables; et sur son rapport, l'affaire sera suivie et définitivement terminée dans la forme administrative , ou renvoyée, selon...
Page 110 - Les évêques nommeront et institueront les curés. Néanmoins ils ne manifesteront leur nomination, et ils ne donneront l'institution canonique , qu'après que cette nomination aura été agréée par le premier consul.
Page 118 - Les fondations qui ont pour objet l'entretien des ministres et l'exercice du culte ne pourront consister qu'en rentes constituées sur l'Etat. Elles seront acceptées par l'évêque diocésain, et ne pourront être exécutées qu'avec l'autorisation du gouvernement.
Page 105 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle, ni ses successeurs, ne troubleront en aucune manière les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés, demeureront incommutables entre leurs mains ou celles de leurs ayants cause.
Page 105 - Sa Sainteté reconnaît dans le Premier Consul de la République française les mêmes droits et prérogatives dont jouissait près d'elle l'ancien gouvernement. Art. 17. Il est convenu entre les parties contractantes que, dans le cas où quelqu'un des successeurs du Premier Consul actuel ne serait pas catholique, les droits et prérogatives mentionnés dans...
Page 111 - ... francs, s'il n'a atteint l'âge de vingt-cinq ans, et s'il ne réunit les qualités requises par les canons reçus en France. Les évêques ne feront aucune ordination avant que le nombre des personnes à ordonner ait été soumis au gouvernement , et par lui agréé.
Page 109 - ... le diocèse duquel ils auront exercé les fonctions du ministère ecclésiastique ; et ils seront examinés sur leur doctrine par un...