Précis historique de la révolution française, Volume 2 |
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9 thermidor accusés annonce août armée armes arrêter assemblée attaque Autrichiens avaient barbares barre Barrère bientôt Billaud Billaud-Varennes brum c'était Camille Desmoulins Charlotte Corday chefs citoyens Clairfait collégues Collot Collot-d'Herbois combat comité de salut comités révolutionnaires commandait commissaires commission des douze commune complices condamnés conspirateurs constitution constitution de 1791 convention décrète courage crimes Custine Danton déclare défaites départemens députés diman Dumouriez ennemis femmes férocité force frim fruct fureur girondins guerre haîne Henriot jacobins jeudi jours juges l'armée l'assemblée l'échafaud liberté long-temps Louis XVI Lyon Marat mardi massacres membres menaces mercr mille hommes Mme Roland montagne mort n'avait nivôse nommé patrie peuple pluv président prince de Cobourg prison proscrits rebelles républicaines république révolution Robespierre Roland s'était salut public samedi sang sauver sections seul soldats sort succès supplice sur-tout sûreté générale Tallien terreur therm tion Toulon tribunal révolutionnaire tribune troupes tyrans Vendéens vendém vengeance vention victoire
Popular passages
Page 92 - Sont réputés gens suspects : 1° ceux qui, soit par leur conduite, soit par leurs relations, soit par leurs propos ou leurs écrits, se sont montrés partisans de la tyrannie ou du fédéralisme, et ennemis de la liberté; 2°...
Page 82 - Nous sommes si bons républicains à Paris que l'on ne conçoit pas comment une femme inutile, dont la plus longue vie ne serait bonne à rien, peut se sacrifier de sang-froid pour sauver tout son pays.
Page 38 - ... celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse. Si je connaissais un moyen possible pour lui faire connaître mes dispositions, je ne prendrais pas la liberté de m'adresser à vous. J'ai pensé que, dans la place que vous occupez, vous aurez plus de moyens que personne pour lui faire passer cet avis.
Page 37 - XVI sache que s'il me choisit pour cette fonction je suis prêt à m'y dévouer. Je ne vous demande pas de faire part à la Convention de mon offre, car je suis bien éloigné de me croire un...
Page 172 - Si mon espoir était vain , s'il était différé, écoute, lis, te dis-je : cette main qui trace ta sentence, cette main que tes yeux égarés cherchent à découvrir , cette main qui presse la tienne avec horreur , percera ton cœur inhumain.... Tous les jours je suis avec toi , je te vois tous les jours ; à toute heure, mon bras levé cherche ta poitrine O le plus scélérat des hommes, vis encore quelques jours pour penser à moi...
Page 82 - Ce calme imperturbable et cette entière abnégation de soi-même, qui n'annoncent aucun remords, et, pour ainsi dire, en présence de la mort même, ce calme et cette abnégation, sublimes sous un rapport, ne sont pas dans la nature. Ils ne peuvent s'expliquer que par l'exaltation du fanatisme politique qui lui a mis le poignard à la main. Et c'est à vous, citoyens jurés, à juger de quel poids doit être cette considération morale dans la balance de la justice. Je m'en rapporte à votre prudence.
Page xx - Dès ce moment jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées.
Page 161 - Enfin, tous ceux qui sont désignés dans les lois précédentes relatives à la punition des conspirateurs et contrerévolutionnaires , et qui , par quelque moyen que ce soit et de quelques dehors qu'ils se couvrent, auront attenté à la liberté, à l'unité, à la sûreté de la République ou travaillé à en empêcher l'affermissement.
Page 17 - ... je t'accuse de t'être continuellement produit comme un objet d'idolâtrie, d'avoir souffert que, devant toi, on te désignât comme le seul homme vertueux en France...
Page 83 - J'ai vengé bien d'innocentes victimes, j'ai prévenu bien d'autres désastres. Le peuple, un jour désabusé, se réjouira d'être délivré d'un tyran. Si j'ai cherché à vous persuader que je passais en Angleterre, c'est que j'espérais garder l'incognito, mais j'en ai reconnu l'impossibilité.