 ... la pareille. Quand quelqu'une m'avait donné dans la vue , je m'en allais à elle. Si elle m'attendait , à la bonne heure. Si elle se reculait , je la suivais cinq ou six pas , et quelquefois dix ou douze, selon l'opinion que j'avais de son mérite....  Revue des deux mondes - Page 5291855Full view - About this book
 | François de Malherbe - French letters - 1822 - 512 pages
...« m'en allois à elle. Si elle m'attendoit, à la bonne « heure. Si elle reculoit, je la suivois cinq ou six pas, « et quelquefois dix ou douze, selon l'opinion que «j'avois de son mérite. Si elle continuoit de fuir, « quelque mérite qu'elle eût, je lalaissois... | |
 | 1824 - 634 pages
...Malherbe : « Je n'ai » jamais été jusqu'à pouvoir aimer une femme qui ne » oie rendît la pareille. Quand quelqu'une m'avait » donné dans la vue, je m'en allais à elle ; si elle m'at» tendait, à la tonne heure; si elle reculait, je la » suivais cinq ou six pas , et quelquefois... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux, Jean-Baptiste Rousseau, François de Malherbe - 1840 - 722 pages
...jeunes gens ; mais ce n'a jamais été jusques à pouvoir aimer une femme qui ne me rendît la pareille. Quand quelqu'une m'avait donné dans la vue , je m'en...quelquefois dix ou douze, selon l'opinion que j'avais de sonmérite. Si elle continuait de fuir, quelque mérite qu'elle eût, je la laissais aller; et tout... | |
 | François de Malherbe - French literature - 1844 - 614 pages
...jeunes gens ; mais ce n'a jamais été jusqucs à pouvoir aimer une femme qui ne me rendit la pareille. Quand quelqu'une m'avait donné dans la vue , je m'en...quelque mérite qu'elle eût , je la laissais aller ; et tout aussitôt , le dépit prenant chez moi la place que l'amour y avait tenue , ce que j'avais... | |
 | François de Malherbe - 1844 - 614 pages
...jeunes gens ; mais ce n'a jamais été jusques à pouvoir aimer une femme qui ne me rendit la pareille. Quand quelqu'une m'avait donné dans la vue , je m'en...quelque mérite qu'elle eût, je la laissais aller; et tout aussitôt, le dépit prenant chez moi la place que l'amour y avait tenue , ce que j'avais trouvé... | |
 | Nicolas Boileau Despréaux - 1857 - 736 pages
...jeunes gens; mais ce n'a jamais été jusques à pouvoir aimer une femme qui ne me rendît la pareille. Quand quelqu'une m'avait donné dans la vue, je m'en allais à elle. Si elle m'attendait, a la bonne heure. Siellese reculait, je la suivais cinq ou six pas, et quelquefois dix ou douze, selon... | |
 | Honorat de Bueil marquis de Racan - 1857 - 440 pages
...je m'en allois à elle : si elle m'attendoit, à la bonne heure; si elle se reculoit, je la suivois cinq ou six pas , et quelquefois dix ou douze , selon l'opinion que j'avois de son mérite ; si elle continuoit de fuir, quelque mérite qu'elle eût, je la laissois aller.... | |
 | François de Malherbe - French literature - 1858 - 612 pages
...jeunes gens ; mais ce n'a jamais été jusques à pouvoir aimer une femme qui ne me rendu la pareille. Quand quelqu'une m'avait donné dans la vue , je m'en...quelque mérite qu'elle eût , je la laissais aller ; et tout aussitôt, le dépit prenant chez moi la place que l'amour y avait tenue, ce que j'avais... | |
 | François de Malherbe - 1862 - 584 pages
...je m'en allois à elle. Si elle m'attendoit, à la bonne beure. Si elle se reculoit, je la suivois cinq ou six pas, et quelquefois dix ou douze, selon l'opinion que j'avois de son mérite. Si elle continuoit de fuir, quelque mérite qu'elle eût, je la laissois aller;... | |
 | François De Malherbe - 1862 - 584 pages
...je m'en allois à elle. Si elle m'attendoit, à la bonne heure. Si elle se reculoit, je la suivois cinq ou six pas , et quelquefois dix ou douze, selon l'opinion que j'avois de son mérite. Si elle continuoit de fuir, quelque mérite qu'elle eût , je la laissois aller... | |
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