Vie politique et militaire de Napoléon, Volume 2Anselin, 1827 - 503 pages |
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... mille hommes pour aider la Porte à < « < en chasser les Anglais , dont la présence m'au- « torisait à le faire ; que , quelque désir que j'eusse d'y établir une colonie , je ne l'avais pas fait , « « parce qu'il ne valait pas la peine ...
... mille hommes pour aider la Porte à < « < en chasser les Anglais , dont la présence m'au- « torisait à le faire ; que , quelque désir que j'eusse d'y établir une colonie , je ne l'avais pas fait , « « parce qu'il ne valait pas la peine ...
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... mille hommes sous les armes prêts à y paraître au premier signal ; que l'Europe ne voulait plus s'allier à l'Angleterre et se sacrifier pour elle ; que malgré cela je désirais la paix . « Je suis le plus puissant sur terre ; vous ...
... mille hommes sous les armes prêts à y paraître au premier signal ; que l'Europe ne voulait plus s'allier à l'Angleterre et se sacrifier pour elle ; que malgré cela je désirais la paix . « Je suis le plus puissant sur terre ; vous ...
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... mille hommes sur le bas Elbe , capitulèrent à Artlenbourg , et furent licen- ciées sous condition de rentrer dans leurs foyers . Ces invasions nous convenaient certainement duit par ces beaucoup ; mais elles n'étaient pas du goût des en ...
... mille hommes sur le bas Elbe , capitulèrent à Artlenbourg , et furent licen- ciées sous condition de rentrer dans leurs foyers . Ces invasions nous convenaient certainement duit par ces beaucoup ; mais elles n'étaient pas du goût des en ...
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... mille hommes qui se fussent présentés devant Londres cinq jours après leur débarquement . Les flotilles n'étaient que le moyen de débar- quer ces 150 mille hommes en peu d'heurés , et de s'emparer de tous les bas - fonds . C'est sous la ...
... mille hommes qui se fussent présentés devant Londres cinq jours après leur débarquement . Les flotilles n'étaient que le moyen de débar- quer ces 150 mille hommes en peu d'heurés , et de s'emparer de tous les bas - fonds . C'est sous la ...
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... mille hommes en 1792 , fut successivement portée à 150 mille hommes , tant milices régulières que troupes de ligne , sans compter les forces employées au dehors des trois royaumes . Le danger de la patrie fit enrégimenter 300 mille ...
... mille hommes en 1792 , fut successivement portée à 150 mille hommes , tant milices régulières que troupes de ligne , sans compter les forces employées au dehors des trois royaumes . Le danger de la patrie fit enrégimenter 300 mille ...
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Common terms and phrases
20 mille alliés Anglais armée Augereau Augsbourg Autrichiens avaient bataille bataillons Bavière Benningsen Berlin Bernadotte Blücher Brest c'était cabinet de Vienne canon cavalerie colonnes combat confédération du Rhin continent corps côté coup d'Ulm Dantzick Danube Davoust déboucher déja devait division donner Dupont ennemis escadrons état eût fallait forces fût gauche général grand-duc guerre Hanovre Haugwitz Heilsberg Hohenlohe Hollande j'aurais j'avais Kienmayer Koenigsberg Kutusof l'amiral l'Angleterre l'archiduc l'armée russe l'Autriche l'Elbe l'empereur Alexandre l'empire l'ennemi l'Europe l'Inn l'Italie laisser Lannes Mack Magdebourg marche maréchal maritime Marmont Masséna mée ment mille hommes Mortier Murat n'avait n'était Naples Narew négociations ordres paix passer Pitt pont porter position pouvait prendre prince projet Prusse Prussiens puissance Pultusk quartier-général réserve reste retraite réunir Rhin rien rive route Russie Sébastiani serait seul Soult Stettin succès système Telnitz tête Tilsit tion traité traité de Tilsit troupes trouvait Tyrol vaisseaux Villeneuve Vistule
Popular passages
Page 493 - ... principe fondamental de l'Empire, jusqu'à ce que l'Angleterre ait reconnu que le droit de la guerre est un, et le même sur terre que sur mer; qu'il ne peut s'étendre ni aux propriétés privées, quelles qu'elles soient, ni à la personne des individus étrangers à la profession des armes, et que le droit de blocus doit être restreint aux places fortes réellement investies par des forces suffisantes ; , «Nous avons, en conséquence, décrété et décrétons ce qui suit : «Art.
Page 494 - Aucun bâtiment venant directement de l'Angleterre ou des colonies anglaises , ou y ayant été depuis la publication du présent décret, ne sera reçu dans aucun port.
Page 33 - Mais quand le peuple est maître, on n'agit qu'en tumulte La voix de la raison jamais ne se consulte ; Les honneurs sont vendus aux plus ambitieux, L'autorité livrée aux plus séditieux. Ces petits souverains qu'il fait pour une année , Voyant d'un temps si court leur puissance bornée, Des plus heureux desseins font avorter le fruit, De peur de le laisser à celui qui les suit.
Page 494 - Tout individu sujet de l'Angleterre, de quelque état et condition qu'il soit, qui sera trouvé dans les pays occupés par nos troupes ou par celles de nos alliés , sera fait prisonnier de guerre.
Page 410 - Le maréchal Ney prendra la droite depuis « Posthenen jusque vers Sortlack , et il appuiera « à la position actuelle du 'général Oudinot. Le « maréchal Lannes fera le centre, qui commen« cera à la gauche du maréchal Ney, depuis « Heinrichsdorf jusque à peu près vis-à-vis le
Page 26 - Il s'ofl-rit malheureusement à moi , dans ce mqment décisif, un de ces coups du hasard qui détruisent les meilleures résolutions. La police découvrit de petites menées royalistes, dont le foyer était au-delà du Rhin. Une tête auguste s'y trouvait impliquée. Toutes les circonstances de cet événement cadraient d'une manière incroyable avec celles qui me portaient à tenter un coup d'état. La perte du duc d'Enghien décidait la question qui agitait la France. Elle décidait de moi sans...
Page 494 - La moitié du produit de la confiscation des marchandises et propriétés déclarées de bonne prise par les articles précédents, sera employée à indemniser les négociants des pertes qu'ils ont éprouvées par la prise des bâtiments de commerce qui ont été enlevés par les croisières anglaises.
Page 42 - C'était un titre usé. Il portait avec lui des idées reçues. Mon titre devait être nouveau, comme la nature de mon pouvoir. Je n'étais pas l'héritier des Bourbons. Il fallait être beaucoup plus pour s'asseoir sur leur trône. Je pris le nom d'empereur, parce qu'il était plus grand et moins défini.
Page 495 - Paris est chargé du jugement définitif de toutes les contestations qui pourront survenir dans notre empire ou dans les pays occupés par l'armée française, relativement à l'exécution du présent décret. Notre tribunal des prises à Milan sera chargé du jugement définitif desdites contestations qui pourront survenir dans l'étendue de notre royaume d'Italie.
Page 227 - Charlemagne au-, cune couronne n'avait été donnée avec autant de solennité. Je l'avais reçue du vœu des peuples et de la sanction de l'Église : ma famille, appelée à régner, ne devait pas rester mêlée dans les rangs de la société; c'eût été un contre-sens.