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Internes.

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Report. Rhône. Saône (Haute-).

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Saône-et-Soire.

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Maine-et-Loire.

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Sèvres (Deux-).
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Tarn.

Tarn-et-Garonne.

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Externes

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par département.

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Il résulte de ce tableau que l'administratration des Quinze-Vingts secourt des aveugles dans soixante-dix-neuf départements, et qu'il n'y en a que sept qui n'aient point pari aux soulagements accordés par l'élablissement; ce sont : l'Aveyron, la Charente, les Landes, la Lozère, les Hautes-Pyrénées, la Vendée et la Haute-Vienne. Les départements où les aveugles sont secourus en plus grand nombre, sont: la Seine, 153; Seine-et-Oise, 71; Côte-d'Or, 33; Seine-etMarne, 31; Marne, 26; Haute-Marne, 22; Rhône, 22; Seine-Inférieure, 19; Somme, 19; Aube, 19; Oise, 18; Meuse, 17.

Ce dernier document, et beaucoup d'autres que nous avons mis en œuvre, sont dus à M. Battelle. (Notice historique et statistique sur l'Hospice royal des Quinze - Vingts;lue par M. BATTELLE à la Société des Etablissements charitables; avril 1837.)

Nous résumerons ici les principales critiques dont l'institution des Quinze-Vingts a été l'objet. Les admissions sont généralement assez mal faites, tantôt on les prononce en faveur d'aveugles dont l'indigence n'est pas bien constatée ; tantôt les admis sont beaucoup trop jeunes. Sur 256 membres internes, au moment où nous écrivions ceci (1843) 90 proviennent des jeunes aveugles. À quoi servent à ces aveugles les études qu'ils ont faites? Les charges s'accroissent comme on l'a vu pour le mariage des aveugles et à raison du nombre d'en fauts qu'ils procréent. Il faudrait faire constater l'indigence des pensionnaires et cesser ta pension, quand cette indigence n'existe

plus. On peut en citer un qui gagne 15,000 fr. par an; tel autre, au lieu d'entrer à l'institution ajoute à sa pension de 250 fr., l'industrie de la mendicité sur les boulevards ou les ponts de Paris. L'Etat pourvoit à ses besoins légitimes, la mendicité défraye ses vices. La faveur donne les places vacantes et le plus indigent reste à la porte de l'hos; pice. Dans l'établissement les aveugles vendent le plus souvent leur pain à moitié perte. Des étrangers sont nourris à l'infirmerie; le service de cette infirmerie est si mal fait que les malades ont de la répugnance à s'y rendre. Pourquoi ne pas faire travailler les valides dont le nombre s'élève à 600, et ne pas employer le produit de leur travail au profit d'autres aveugles jusqu'à concurrence des deux tiers, conformément à la règle de tous les hospices?

Mais ce qu'il y avait de plus reprochable à l'établissement que tout le reste, lorsque nous le visitions il y a dix ans (en 1843), c'est la profonde immoralité de ses habitants. Quoique les ménages vivent séparément, la réunion des sexes dans l'établissement entraîne des conséquences déplorables. Les aveugles profitent de leur cécité pour alléguer qu'ils se sont trompés de chambre quand ils entrent de dessein prémédité dans celle du voisin. Le régime monacal dont parle M. Dupin avec un dédain si superbe ne vaudrait-il pas mieux que cette licence? Nous croyons que la maison ne devrait, comme les autres hospices, recevoir dans son intérieur que des individus isolés. Les aveugles qui se marient conserveraient les avantages qui leur sont accordés, moins le séjour à l'institution. L'ordre moral serait ainsi facile à établit dans l'hospice qui offrirait un asile plus vaste aux plus malheureux des aveugles, à ceux qui n'ont ni famille, ni asile. En suivant cette

marche,on rendrait la création de Saint-Louis à sa première forme, puisque l'usage de recevoir des aveugles mariés dans la maison ne date que du règne de François 1 (1522); on dirait que l'orage protestant en se précipitant sur les célibataires a effleuré l'hospice de Saint-Louis.

M. Musnier de Lalisier propose de fonper à Paris une Sainte-Périne des aveugles. Comme il suffit, dit-il, pour être admis aux Quinze-Vingts, d'être français, aveugle et indigent, on trouve dans l'établissement, ron-seulement en grand nombre, mais en immense majorité, de simples artisans, des paysans, des mendiants, des gens dont les habitudes et les goûts sont ceux de la dernière classe du peuple. Or, il est évident que des personnes de la classe élevée ou moyenne ne peuvent se faire les camarades d'un aveugle qui a passé sa vie à jouer du violon dans les bals publics du dernier étage, à promener un orgue et à chanter dans les rues de Paris ou dans les cours des maisons pour arracher quelques sous à Ja pitié publique. Des aveugles d'une condition relevée ne sauraient entrer et vivre

sans espoir d'en sortir, dans un hospice (et ce mot hospice est déjà bien cruel pour eux), pour revêtir et porter le costume de l'établis sement. L'ancien directeur des QuinzeVingts cite un aveugle interne littérateur distingué qu'il a connu à cet hospice. Un autre aveugle n'a pu s'habituer aux exigences d'une vie passée en commun dans de telles conditions: il a fini par se retirer en Alsace, sa patrie, avec la modeste pension des externes (250 fr. par an); il y languit aujourd'hui dans une gêne voisine de la misère. Un autre offrait de payer onze cents francs par an pour obtenir son admission, et même d'abandonner le capital s'élevant à 22,000 fr. Ces offres ne purent être accueillies. Que conclure de ces considérations et de ces faits? dit M. Musnjer, c'est que l'établissement d'une Sainte-Périne des avengles est d'une urgence notoire. Il a connu aux Quinze-Vingts un ancien professeur de mathématiques, chevalier de Légion d'honneur, un peintre distingué, un ancien notaire, un ménage de deux aveugles sans profession, mais de condition distinguée, un ancien conseiller de préfecture, une veuve d'officier (décédée depuis peu d'années), un musicien compositeur habile, un mécanicien dont les travaux ont été admis à l'exposition de Londres, où ils ont été honorés d'une médaille, le fils d'un ancien pair de France, général de l'Empire, un grammairien auteur de plusieurs ouvrages d'instruction élémentaire, un ancien médecin, etc., etc.

grand bâtiment où les jeunes aveugles fuL'enclos des Quinze-vingts contient un rent établis du temps de l'empire. Ce bâtiment est tout à fait indépendant des QuinzeVingts, et, séparé par de bonnes murailles. n'a rien de commun avec l'hospice. La location actuelle de ce bâtiment est peu conQuinze-Vingts; elle a le grave inconvénient venable pour un établissement tel que les de rapprocher les aveugles d'ouvriers do nier propose de consacrer à la Sainte-Périne toutes sortes et de gens inconnus. M. Musdes aveugles la partie orientale de ce bâtiment; l'autre moitié serait destinée à l'établissement des aveugles travailleurs. Les deux créations seraient soumises à la même administration et placées sous la direction des mêmes autorités que les QuinzeVingis.

Sainte-Périne demande pour prix de sa pension le payement annuel de 600 fr. La cécité exigeant des soins plus assidus et plus minutieux que toute autre infirmité, la pension pourrait être portée à 800 fr. On pourrait consentir à l'admission d'une personne voyante, aux soins de laquelle l'aveugle serait habitué. S'il s'agissait do l'épouse, de la fille ou d'un parent de l'aveugle, d'une personne traitée sur le pied d'égalité et mangeant avec lui à la grande table, le prix de la pension pourrait être de 600 fr.; un domestique homme ou femme payerait de 450 à 500 fr.

L'hospice des Six-Vingts, fondé à Chartres

par saint Louis, a laissé des vestiges. Il ren-
ferme 27 aveugles, moitié hommes, moi-
tié femmes. Les anciennes fondations ne
s'élèvent plus qu'à 9. La famille Rémond
(dont fait partie le maire actuel de Char-
tres), a créé 4 lits; le département en a
institué 8.

Nous avons appris à l'hospice de Char-
tres, en 1851, que le nombre des aveugles
indigents qui n'y étaient pas reçus, faute

de place, s'élevait de 25 à 30. Chartres va
être si riche en maisons hospitalières, par
suite de la donation du marquis d'Aligre,
qu'on devrait rétablir les Six-Vingts dans
leur premier état. L'hospice recevrait les
aveugles des autres départements au prix
de revient. Aujourd'hui qu'on remet sur
pied tant de monuments de pierre du moyen
age, on pourrait tout aussi bien restaurer
le monument de charité du saint roi.

FIN DU TOME PREMIER.

TABLE DES MATIÈRES

CONTENUES DANS CE VOLUME.

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-

62

61

XII. — xì xu® et xm* siècles.
XIII. — XIV siècle. — Décision du concile de Vienne
(1311). - Formalités de la fondation de l'hôpital Saint-
Jacques-aux-Pèlerins de Paris (1320). Lettres patentes
de sauvegarde à l'hôpital Saint-Jacques du Haut-Pas (1322).
-Comptabilité de l'hôpital d'Orléans. Les établisse-
ments de charité sont municipaux ou royaux (1366). £6
XIV. xv siècle.-L'Hôtel-Dieu de Paris endetté (1419).
-Sommières en Languedoc. - Concours des conseillers
municipaux. Quête pour les pauvres dans les églises,
Visite des hôpitaux (1463). Receveur élu par les
habitants. Direction de l'hôpital de Caen par les bour-
geois, représentés par six jurés; Hôtel-Dieu desservi par
des religieux, et portant le nom de prieuré. - Con-
flit (1472). Déprédations dans les hôpitaux de Bor-
deaux (1473). Etablissement des pharmacies (1492).—
Personnel administratif et comptabilité à Hesdin (Pas-de-
Calais) (1483). — Durée abusive de séjour dans les hôpi-

taux.

-

76

XV.xv siècle. Réglementation intérieure des
hôpitaux de Paris en vertu d'un arrêté du parlement (1505).
--Désordres dans l'hôpital de Mortagne et règlementa-
tion de cet hôpital, par Henri d'Albret et Marguerite de
Trance (1530). Règlement de l'Hôtel-Dieu de Lyon. -
Bèglement des hospices de Dijon (1533 et 1536). - Droit
de surveillance confié aux baillis et sénéchaux (édit de
1513). Concile de Trente. Femmes en couches et
Bouveau-nés. Distinction en administrateur en titre de
bénéfice, et en administrateurs triennaux et destituubles.-
Ordonnance de Moulins (1566). — Fondation privée, au-
torisée et soumise aux pouvoirs publics après la mort du

fondateur

Désordres à l'hôpital Saint-Germain des
Prés (1579). Ordonnance de Bois (1579). In onction
à l'Hôtel-Dieu de recevoir tous les malades, de quelque
pays qu'ils fussent (1582). Administration des hôpi-
taux revendiquée par la couronne; attribution au grand
conseil (1593).

83

XVI. xvu siècle. - Traitement des malades des hos-
pices, à l'Hôtel-Dieu de Paris (1612). - Terres affermées
sur adjudication et affiches (1614). Autorisation de bà-
tir demandée par les administrateurs d'Orléans à la nupi
cipalité (1621-1626) Administrateurs séculiers soumis
à rendre compte (1629). — Intervention des pouvoirs ci-
vil et religieux (1634). Conflit entre les administra-
teurs civils et religieux (1631-1635).- Règlement par
arrêt du conseil (1610). Population de l'Hôtel-Dieu de
Paris en 1651.- Détresse de "hôpital généra! (16:0),
Compte annuel de l'Hôtel-Dieu, imprimé et publie (1663).
- Détresse plus grande de l'hôpital général. - Ads i-
nistration de cet hôpital (1663) Administration du
service des Enfants trouvés (1670). Règlement de
l'Hôtel-Dieu de Paris (1675). -Règlement de l'hôpital da
Valogne (1682). Règlement de l'hôpital Saint-Germain-
en-Laye. (168). — Administration des hospices de Dijon;
nécessité reconnue de la séparation des services hospita-
liers dans certains cas. Réglementation des rentes à
fonds perdus (1690). — L'hôpital des Incurables de Paris,
obéré par suite d'achats d'immeubles, est menacé d'expro
priation; mesures de salut prescrites par le conseil d'Etat
(1690). — Règlement général de 1698 (12 décembre). 103

XVII. xvu siècle. — En principe, sous l'ancien r
gime, le patrimoine des hôpitaux d'une même ville est
distinct; il faut une décision sociale pour qu'il en soit au-
trement (1711). Continuation de la détresse de l'hôpi-
tal général de Paris -Secours de l'Etat (1711). — Suite
du même sujet (1719). — Système de Laws. — L'Etat
garantit aux hôpitaux un intérêt de 2 pour cent (1720)
Règlement de l'hôpital royal de Versailles (1720). — Hô-
pital du Saint-Esprit de Besançon, mi-partie monastique
et civil. Concours de l'autorité civile et religieuse.
Partage du revenu (août 1722).- Conflit entre le bailliage
et la municipalité, pour la direction de l'Hôtel-Dieu de
Nogent-sur-Seine (octobre 1722). Règlement de l'Ho-
tel-Dieu de Chevreuse par arrêt (1725). — Règlement
moral de l'hospice de Beauvais (1733). — Droit du cure
de consacrer à l'Hôtel-Dieu de la Ferté-Saint-Bernard
(175) Dificulté de distinguer quelquefois entre le pa-
trimoine des églises et celui des hôpitaux (1736). — Po-
pulation de l'Hôtel-Dieu de Paris en 1757. - Responsa-
blité des administrateurs (1747). — Règlement de l'ho-
pital de Pontoise. Curés de la ville nommés à tour de
le. Principe électif dominant. Supérieure rem-
plissant l'office de l'économe moderne (1747). L'Hôzel-
Dieu de Toulouse reçoit l'institution royale La com
position du bureau extraordinaire ou assemblée gén rale;

-

-

-

-

---

composition du bureau ordinaire ou de direction; adminis-

tration concentrée dans la sphère municipale (1749).

Nouvelle réglementation spirituelle et temporelle de l'hô-

pital général de Paris (1751, 24 mars). Restriction ap-

portée au nouveau règlement par le parlement (1751, 20

juillet). L'impôt attribue des droits à faire partie de

l'assemblée générale ou bureau général dans certaines lo-

calités. Compte mensuel des fournitures; formalités et

conditions, admission, inventaire, visite de l'hôpital, deux

fois par jour (Marly, 1760). - Etats réclamés des droits

d'octroi dont jouissent les établissements charitables (1764,

11 février). - Hôpital de Saint-Joseph-de-la-Grave de

Toulouse obéré; intervention du pouvoir royal. Vente

des immeubles (1765). Police de l'Hôtel-Dieu de Pa-

ris (1772). Importance de l'Hôtel-Dieu à cette époque

(1773). Emprunts à condition d'un fonds d'amortisse-

ment (1775). - Arrêté relatif aux admissions (1776). —

Règlement de Saint-Etienne-en-Forez; visite des immeu-

bles par un des directeurs. Réparations et constructions;

visite de la pharmacie et de la lingerie; service médical;

livre de visite (1778). Nouveau règlement de l'infirmerie

royale de Versailles (1779)-infirmeries spéciales dans les

hospices de Paris, aux frais de l'Etat (1780). - Autorisa-

tion et adjudication prescrites en matière de construc-

tion (1780). Défense aux administrations de contracter,

sans autorisation, sous peine de garantie personnelle

(1785). Hôtel-Dieu et hôpital de la Charité de Lyon en-

dettés. Emprunt de deux millions et vente d'immeubles.

-Enfants des hôpitaux aux convois (1784). Ensei-

gnement dans les hôpitaux; réforme; concours de di-

verses paroisses à l'administration; contrat par-devant no-

taire avec les religieuses; office des sœurs. Conditions

d'admission des malades; ouvriers nomiades; payement

des fournisseurs.

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VII. Simultanéité des secours aux xvn et xvm siè-
cles. Hôpital général de Paris, édit de 1662. - Cham-
bre des pauvres de Calais (novembre 1660) Hôpital de
Valognes (1682). - Hospice de Bar-sur-Aube (1751). 307
VIII. - Troisième question: Militaires dans les hôpi-
aux civils. Bourgeois chassés des hôpitaux pour y
placer des militaires (1710) Construction des bâti-
ments des hôpitaux civils, destinés à recevoir des mili-
taires pris à la charge de l'Etat.
315

-

IX. Quatrième question: Conduite de l'ancien régime
à l'égard des imm‹ubles des hospices. — Opinion de d'A-
guesseau. · Autorisation de vendre donnée à l'Hôtel-
Dieu de Paris (1690). — Vente d'ia meubles de l'Hôtel-
Dieu en 1709.-Edit réprouvant en principe la propriété
des immeubles par les hospices - Ve sement au do-
maine de l'Etat, à la charge d'intérêts payables tous les
trois mois. Accroissement tous les vingt-cinq ans du
dixième d'es capitaux et arrérages primitifs (janvier 1780).
-Vente d'immeubles des hospices de Lyon (1783). 316
SECTION VII.

322

1. — ADMINISTRATion postérieure a 1789. —- Explication.

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-

II. Economat. Inconnu de l'économe. Moyens de
se dégager. Registre des entrées. — Registre des
prescriptions du médecin. - Registre alimentaire d'a-
dultes, d'enfants. Journal à souche auxiliaire men-
tionnant les objets livrés à la consommation. — Devis du
coucher et du linge. Mode d'inventaire et de relève-
ment des effets mobiliers et ustensiles dans l'administra-
tion des hôpitaux et hospices de Paris. — Autres pièces
justificatives. Questions d'économat.
457

III. Surcharge de la population hospitalière. —
Malades étrangers aux communes. Envahissement des
lits d'hôpital par les vieillards et les enfants - Fardeau
ces dépenses intérieures des enfants trouvés.

441

IV. Malades militaires dans les hôpitaux civils
417
V. - Divers faits administratifs. - Spécialisation des
capitaux et revenus. Promiscuité des secours. →
Possession d'immeubles. Placement sur particuliers.

454

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