Napoléon, sa famille, ses amis, ses généraux, ses ministres et ses contemporains: ou, Soirées secrètes du Luxembourg, des Tuileries, de Saint-Cloud, de la Malmaison, de Fontainebleau, etc, Volume 4P.-H. Krabbe, 1840 - France |
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Page 16
... vos questions ; je laisse ce rôle aux Fran- çais qui ne le sont plus , et dont la foule vous entoure . » ( Biographie des Hommes du Jour , t . 2 , p . 97 et suiv . ) porta le conseil lumineux du cardinal Rivarola , et à 16.
... vos questions ; je laisse ce rôle aux Fran- çais qui ne le sont plus , et dont la foule vous entoure . » ( Biographie des Hommes du Jour , t . 2 , p . 97 et suiv . ) porta le conseil lumineux du cardinal Rivarola , et à 16.
Page 23
... jours pris sur quiconque j'ai abordé , oublia le motif réel de notre querelle , ou se flatta qu'à la paix universelle , il rentrerait en possession de ses provinces . Quoi qu'il en fût , la paix se ... jour où des cardinaux , en nombre 23.
... jours pris sur quiconque j'ai abordé , oublia le motif réel de notre querelle , ou se flatta qu'à la paix universelle , il rentrerait en possession de ses provinces . Quoi qu'il en fût , la paix se ... jour où des cardinaux , en nombre 23.
Page 24
... jour où des cardinaux , en nombre suffisant pour tenir un consistoire majeur , seraient de retour auprès de leur chef auguste . » Je m'étais bien gardé de refuser ceci , qui , pour moi , était une niaiserie réelle ; car , enfin , le ...
... jour où des cardinaux , en nombre suffisant pour tenir un consistoire majeur , seraient de retour auprès de leur chef auguste . » Je m'étais bien gardé de refuser ceci , qui , pour moi , était une niaiserie réelle ; car , enfin , le ...
Page 29
... et venait au hasard , regardant les dernières clartés du jour s'éteindre dans les flots , qui , mollement poussés par une brise légère , expiraient à ses pieds presque sans clapote- ment et sans bruit . Tantôt il tournait ses regards * 245.
... et venait au hasard , regardant les dernières clartés du jour s'éteindre dans les flots , qui , mollement poussés par une brise légère , expiraient à ses pieds presque sans clapote- ment et sans bruit . Tantôt il tournait ses regards * 245.
Page 34
... jours , lors de la folle levée de boucliers , de 1807. Deux fois la Russie me demanda et obtint la paix . Deux entre- vues avec son monarque , à Tilsitt et à Erfurt , semblaient nouer entre nous les nœuds d'une affection sincère . » Eh ...
... jours , lors de la folle levée de boucliers , de 1807. Deux fois la Russie me demanda et obtint la paix . Deux entre- vues avec son monarque , à Tilsitt et à Erfurt , semblaient nouer entre nous les nœuds d'une affection sincère . » Eh ...
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Common terms and phrases
abdication alliés Anglais armée armée de l'Ouest armes artillerie avaient bataille bataillons blessés Blücher Bonaparte Bourbons Bourmont braves c'était campagne canons cavalerie cent mille chambre des Représentants chef cinq cents coalisés cœur colonel combat commandement comte Confédération du Rhin corps Cosaques devant Diernstein Dieu division Empereur ennemis Fouché française garde impériale garde nationale général gloire Grouchy guerre Guidal heures Hudson-Lowe j'ai j'avais j'étais jour Kutusow l'armée l'Empereur Napoléon l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe Labédoyère laisser Lanjuinais lieu Louis XVIII Lucien MADAME MALLET Majesté malheureux marche maréchal ment Messieurs militaire mille combattants mille hommes mille soldats ministre mort Moscowa Murat Naples nation noble officiers paix passer patrie pereur peuple Pie VII Polonais premier prince d'Eckmülh prince Eugène prisonniers proclamation Prusse Prussiens Quatre-Bras Ratteau Regnauld Reichembach rent reste retraite royaume Russes Sainte-Hélène sera seul Sire soir tion trahison traître trône troupes vaincre venait victoire voulait Wellington
Popular passages
Page 58 - Voilà la bataille que vous -avez tant désirée ! Désormais la « victoire dépend de vous : elle nous est nécessaire ; elle nous « donnera l'abondance, de bons quartiers d'hiver et un prompt
Page 419 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 289 - Soldats ! dans mon exil, j'ai entendu votre voix, je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. . « Votre général, appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre.
Page 180 - J'ai ordonné qu'on vous communiquât toutes les pièces originales qui se trouvent au portefeuille de mon département des affaires étrangères. Vous en prendrez connaissance par l'intermédiaire d'une commission, les orateurs de mon conseil vous feront connaître ma volonté sur cet objet.
Page 409 - Sur ce que Napoléon II est devenu empereur des Français, par le fait de l'abdication de Napoléon I er et par la force des constitutions de l'empire ; « 2° Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté, à la date...
Page 38 - Elle ne veut donner aucune explication de son étrange conduite que les aigles françaises n'aient repassé le Rhin, laissant par là nos alliés à sa discrétion. La Russie est entraînée par la fatalité ! ses destins
Page 458 - Français, roi d'Italie, protecteur de la Confédération du Rhin, médiateur de la Confédération suisse, à tous présents et à venir, salut.
Page 206 - Confonds dans ses conseils une reine cruelle. Daigne, daigne, mon Dieu, sur Mathan et sur elle Répandre cet esprit d'imprudence et d'erreur, De la chute des rois funeste avant-coureur!
Page 294 - Un prince qui régnerait sur vous, qui serait assis sur mon trône par la force des mêmes armées qui ont ravagé notre territoire, chercherait en vain à s'étayer des principes du droit féodal : il ne pourrait assurer l'honneur et les droits que d'un petit nombre d'individus ennemis du peuple , qui depuis vingt-cinq ans les a condamnés dans toutes nos assemblées nationales.
Page 233 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve dans le chemin de la gloire et de l'honneur...