Galerie historique des contemporains, Volume 3Le Roux, 1827 |
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9 thermidor agens anglais août armées avaient avril ayant bataille bataille d'Austerlitz bientôt Bonaparte brumaire Buzot çais carrière chambre chargé Chazal chef Chénier Clausel collégues Collot comité de salut commandement comte comte de Bubna conseil conseil des cinq-cents convention convention nationale déclara décret département député dès-lors directoire discours distingua duc de Feltre ensuite époque événemens fran française général gouvernement grade guerre hommes janvier jours juillet juin l'armée l'assemblée l'empereur lettres liberté Londres long-temps lord lord Castlereagh Louis XVI Lyon maison de Bourbon manda mars membre ment militaire ministre mois mort Naples Napoléon nationale néral nommé obtint octobre officier ouvrage patrie Pays-Bas pendant peuple poësies politique pré premier prince prit prononça publié reçut rent révolution royale Russie s'était salut public séance septembre service sion succès suivant talent teur tion titre traduit tribunal trône troupes venait vint vota
Popular passages
Page 451 - Souviens-toi de ces malheureux habitans de Courtrai ; ne trompe pas leur espoir cette fois-ci ; promets-leur la justice de la nation , la nation ne te démentira pas. « Quand tu seras à Bruxelles ,. . . je n'ai rien à te dire sur la conduite que tu as à tenir;... si tu y trouves une femme exécrable qui , sous les murs de Lille , est venue repaître sa férocité du spectacle des boulets rouges Mais cette femme ne...
Page 225 - J'ai fini une grande affaire en un jour avec l'impératrice de Russie; elle a posé la première pierre d'une ville, et moi la dernière.
Page 341 - Essai historique, politique et moral sur les révolutions anciennes et modernes, considérées dans leurs rapports avec la Révolution française.
Page 405 - La nécessité de fermer les ports du continent à notre irréconciliable ennemi , et d'avoir sur tous les points d'attaque des moyens considérables , afin de profiter des circonstances heureuses qui se présenteraient pour porter la guerre au sein de l'Angleterre , de l'Irlande et des Indes , peut rendre nécessaire la levée de la conscription de 1809.
Page 339 - Ce n'est pas sans une vive émotion que nous venons de voir le commencement de vos justices. Vous avez saisi ce glaive que le souverain du ciel a confié aux princes de la terre pour assurer le repos des peuples.
Page 469 - ... c'est la cause de tous les princes, de tous les gentilshommes, que je défends; ils se réuniront sous l'étendard glorieux que je déploierai à leur tête. « Oui, j'irai, malgré l'horreur que doit naturellement inspirer à un descendant de saint Louis l'idée de tremper son épée dans le sang des Français, j'irai à la tête de la noblesse de toutes les nations et suivi de tous les sujets fidèles à leur roi, qui se réuniront sous mes drapeaux, j'irai tenter de délivrer ce monarque infortuné.
Page 256 - II les donna ensuite à l'eccUsiastique avec une boucle de ses cheveux , qu'il le pria de remettre à sa fille , comme un gage de sa tendresse. Parvenu sur l'échafaud , Cazotte , avant de livrer sa tête à l'exécuteur, se tourna vers la multitude , et d'un ton de voix élevé, il s'écria : « Je meurs comme j'ai vécu, fidèle à Dieu et à mou roi.
Page 291 - Quant à la seconde question : la proposition , dont l'Empereur ne se départira jamais, est que toute l'Italie, Rome, Naples et Milan forment une ligue offensive et défensive , afin d'éloigner de la presqu'île les désordres de la guerre. Si le...
Page 174 - Soldats ! aucun doute raisonnable ne » pouvant pins s'élever sur le vœu de la na» tion française en faveur de la dynastie des » Bourbons , ce serait nous mettre en ré)» volte contre l'autorité légitime, que de » différer plus long-temps à la reconnaître. » Nous avons pu , nous avons dû procéder » avec circonspection ; nous avons dû nous » assurer que le peuple français ne recevait » cette grande loi que de lui-même.
Page 325 - C'est donc lui qui va exposer les faits. « Il les rx» posera , dit-il , sans être touché de la doctrine de M. de » Chabrol. Il ne saurait se résoudre à penser qu'il faille » creuser jusqu'au centre de la terre pour y ensevelir les » erreurs des magistrats. Il lui semble que ni l'humanité, » ni la politique, ne s'accommodent de cet étrange et com» mode système. Il ne peut voir un malheur dans un scan...