Histoire du second empire |
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... mille francs en or ; cette somme lui était remise de la part du roi . - Après avoir donné aux jurés du Bas - Rhin lecture de la lettre du Prince , l'avocat Parquin , défenseur de son frère le commandant , s'était écrié : « Parmi les ...
... mille francs en or ; cette somme lui était remise de la part du roi . - Après avoir donné aux jurés du Bas - Rhin lecture de la lettre du Prince , l'avocat Parquin , défenseur de son frère le commandant , s'était écrié : « Parmi les ...
Page 39
... mille soldats - - Une dépêche de M. de Maupas L'heure que Louis Bonaparte avait choisie pour porter à l'Assemblée le coup de grâce était venue . Les travaux lé- gislatifs furent repris le 4 novembre . M. de Thorigny , mi- nistre de l ...
... mille soldats - - Une dépêche de M. de Maupas L'heure que Louis Bonaparte avait choisie pour porter à l'Assemblée le coup de grâce était venue . Les travaux lé- gislatifs furent repris le 4 novembre . M. de Thorigny , mi- nistre de l ...
Page 47
... mille fonctionnaires , on vient de concentrer une armée de cinq cent mille soldats . Désormais , plus de choc à redouter entre des régiments qui auraient obéi au pouvoir législatif armé du droit de les requérir et ceux dont le Pouvoir ...
... mille fonctionnaires , on vient de concentrer une armée de cinq cent mille soldats . Désormais , plus de choc à redouter entre des régiments qui auraient obéi au pouvoir législatif armé du droit de les requérir et ceux dont le Pouvoir ...
Page 61
... mille fan- tassins , cavaliers ou artilleurs était , dit un historien , « d'ap- puyer les opérations de Maupas et de protéger les Frères de l'Élysée en les abritant derrière l'égide de l'armée tant qu'ils seraient à Paris , et en ...
... mille fan- tassins , cavaliers ou artilleurs était , dit un historien , « d'ap- puyer les opérations de Maupas et de protéger les Frères de l'Élysée en les abritant derrière l'égide de l'armée tant qu'ils seraient à Paris , et en ...
Page 63
... mille soldats . • L'homme du Dix - huit Brumaire n'avait , du moins , ayant son crime , attaché son nom qu'à des exploits glorieux . Sa campagne d'Italie avait été une succession de victoires cou- ronnées par des traités avantageux pour ...
... mille soldats . • L'homme du Dix - huit Brumaire n'avait , du moins , ayant son crime , attaché son nom qu'à des exploits glorieux . Sa campagne d'Italie avait été une succession de victoires cou- ronnées par des traités avantageux pour ...
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Common terms and phrases
agents août armée armes Autrichiens avaient barricade bataille bataillon Bazaine Bismark blessés boulevards brigade Canrobert cent Chambre chef citoyens clérical colonel commandement commissaire comte de Palikao condamnés conseil Constitution Corps législatif coup d'État crime décembre déclara décret défense dépêche députés Deux-Décembre devant disait drapeau Émile Ollivier Félix Pyat Forey fusil Gambetta gardes nationaux général gouvernement guerre heures hommes impérial jour journaux Jules Favre Jules Simon l'armée l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Impératrice lendemain léon III liberté Louis Bonaparte Louis-Napoléon maréchal de Mac-Mahon maréchal Forey Maupas Maximilien ment Metz mexicaine Mexique militaire millions ministre Morny mort Napo Napoléon Napoléon III officiers Palikao paroles patriotisme Peuple police préfet président prince prisonniers proclamation protestation Prusse Prussiens républicains Rochefort Rouher Russes s'était Saint-Arnaud Schoelcher séance second empire Sénat sera serment session seul soldats Taxile Delord Thiers tion tribune troupes Tuileries Victor Hugo Victor Noir Vive la République vote
Popular passages
Page 457 - Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui, Messieurs, et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.
Page 525 - Tous les généraux et officiers, ainsi que les employés militaires , ayant rang d'officiers , qui engageront leur parole d'honneur, par écrit, de ne pas porter les armes contre l'Allemagne et de n'agir d'aucune autre manière contre ses intérêts jusqu'à la fin de la guerre actuelle, ne seront pas faits prisonniers de guerre. Les officiers et employés qui accepteront cette condition conserveront leurs armes et les objets qui leur appartiennent personnellement.
Page 162 - ... °Le Peuple français veut le rétablissement de la dignité impériale dans la personne de Louis-Napoléon Bonaparte, avec hérédité dans sa descendance directe, légitime ou adoptive, et lui donne le droit de régler l'ordre de succession au trône dans la famille Bonaparte, ainsi qu'il est prévu par le sénatus-consulte du 7 novembre 1852.
Page 438 - Bonaparte. Voilà dix-huit ans que la France est entre les mains ensanglantées de ces coupe-jarrets qui, non contents de mitrailler les républicains dans les rues, les attirent dans des pièges immondes pour les égorger à domicile. Peuple français, est-ce que décidément tu ne trouves pas qu'en voilà assez?
Page 283 - Amnistie pleine et entière est accordée à tous les individus qui ont été condamnés pour crimes et délits politiques ou qui ont été l'objet de mesures de sûreté générale.
Page 550 - Il est néanmoins une crainte à laquelle je dois répondre. Par esprit de défiance, certaines personnes se disent : L'Empire, c'est la guerre. Moi je dis : L'Empire, c'est la paix.
Page 462 - Je suis prêt à voter au Gouvernement tous les moyens nécessaires quand la guerre sera définitivement déclarée ; mais je désire connaître les dépêches sur lesquelles on fonde cette déclaration de guerre. La Chambre fera ce qu'elle voudra; je m'attends à ce qu'elle va faire, mais je décline, quant à moi, la responsabilité d'une guerre aussi peu justifiée.
Page 549 - II ya un dilemme : Le pape a besoin de Rome pour son indépendance ; l'Italie aspire à Rome qu'elle considère comme un besoin impérieux de son unité. Eh bien, nous le déclarons au nom du Gouvernement français , l'Italie ne s'emparera pas de Rome ! Jamais ! *\ Jamais la France ne supportera cette violence faite à son honneur et a la catholicité.
Page 523 - N'ayant pu mourir à la tête de mes troupes, il ne me reste qu'à remettre mon épée entre les mains de Votre Majesté.
Page 166 - En présence de Dieu et devant le Peuple français, représenté par l'Assemblée nationale, je jure de rester fidèle à la République démocratique, une et indivisible, et de remplir tous les devoirs que m'impose la Constitution.