La restauration et la monarchie de juillet |
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... C'était poser la question adroitement lorsqu'il s'agissait d'emblèmes , Louis XVIII n'hési- tait pas , il se révoltait à l'idée d'abandonner le symbole tradi- tionnel de la royauté . Qu'au moment de sa fuite en 1791 et pour sauver sa ...
... C'était poser la question adroitement lorsqu'il s'agissait d'emblèmes , Louis XVIII n'hési- tait pas , il se révoltait à l'idée d'abandonner le symbole tradi- tionnel de la royauté . Qu'au moment de sa fuite en 1791 et pour sauver sa ...
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... C'était Fouché , duc d'Otrante , « l'ex - moine coupeur de têtes , devenu faiseur de rois » . Le nouveau ministre sut se faire valoir : il environna Louis XVIII de terreur . A son avis , la rentrée dans Paris n'était point aisée ; la ...
... C'était Fouché , duc d'Otrante , « l'ex - moine coupeur de têtes , devenu faiseur de rois » . Le nouveau ministre sut se faire valoir : il environna Louis XVIII de terreur . A son avis , la rentrée dans Paris n'était point aisée ; la ...
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... C'était là , plus qu'une transaction politique , un manifeste reli- gieux , un pacte familial passé « entre les membres d'une seule nation chrétienne » , quelque chose comme l'amorce d'Etats - Unis d'Europe le tsar avait voulu faire du ...
... C'était là , plus qu'une transaction politique , un manifeste reli- gieux , un pacte familial passé « entre les membres d'une seule nation chrétienne » , quelque chose comme l'amorce d'Etats - Unis d'Europe le tsar avait voulu faire du ...
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... qui donnait l'épaulette . Gloire , liberté , c'était tout un pour les bonapartistes , pour ces officiers à demi - solde ils étaient plus de 15000 qui ayant à peine --- de quoi vivre ( un capitaine touchait 73 francs par 16 LA RESTAURATION.
... qui donnait l'épaulette . Gloire , liberté , c'était tout un pour les bonapartistes , pour ces officiers à demi - solde ils étaient plus de 15000 qui ayant à peine --- de quoi vivre ( un capitaine touchait 73 francs par 16 LA RESTAURATION.
Page 19
... c'était lui qui sanctionnait et promulguait les lois , qui seul avait le droit de les proposer aux Chambres ; celles - ci étaient compo- sées de la Chambre des pairs nommés par le roi à titre viager ou héréditaire , et de la Chambre des ...
... c'était lui qui sanctionnait et promulguait les lois , qui seul avait le droit de les proposer aux Chambres ; celles - ci étaient compo- sées de la Chambre des pairs nommés par le roi à titre viager ou héréditaire , et de la Chambre des ...
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Common terms and phrases
amis avaient Benjamin Constant bonapartistes Bourbons bourgeois Broglie Bugeaud c'était Casimir Périer celui-ci Cent-Jours Chambre Charles Charles X Charte Chateaubriand comte d'Artois Conseil conspiration coup d'Angoulême Decazes députés devant disait disait-il drapeau duc d'Orléans duc de Berry duchesse de Berry électorale faisait Fayette fidèles foule française garde nationale gauche général gouvernement guerre Guizot hommes Hugo insurgés jésuites jeune jour journaux l'Angleterre l'armée l'émeute l'émir l'Empire l'esprit l'insurrection l'opinion l'opposition laisser Lamartine Lamennais légitimistes libéraux liberté Louis XVIII Louis-Philippe LUCAS-DUBRETON majorité maréchal Martignac ment militaire ministre monarchie de juillet mort n'avait n'était Napoléon nouvelle officier pairs paix parlementaire passé passion peuple police Polignac politique populaire pouvait pouvoir président presse prince procès réforme régime répondit républicains restait Restauration révolution révolutionnaire Richelieu romantisme royalistes royauté Royer-Collard s'était salon semblait sentiment sera seul société soldats sorte Souvenirs Thiers tion tribune trône troupes Tuileries ultras Villèle vote voulait
Popular passages
Page 109 - Le romanticisme est l'art de présenter aux [peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 11 - Conformément aux paroles des Saintes Ecritures, qui ordonnent à tous les hommes de se regarder comme frères, les trois Monarques contractants demeureront unis par les liens d'une fraternité véritable et indissoluble, et, se considérant comme compatriotes, ils se prêteront en toute occasion et en tout lieu assistance, aide et secours ; se regardant envers leurs sujets et leurs armées comme pères de famille, ils les dirigeront dans le même esprit de fraternité dont ils sont animés, pour...
Page 111 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé ellemême, c'est le dévouement à la science.
Page 67 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 133 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 107 - Su» périeurs à tout ce qui les entoure, ils ne sauraient » être dominés ni par le fanatisme renaissant, ni par » l'égoïsme sans croyance qui couvre la société... Ils » ont le sentiment de leur mission et l'intelligence de » leur époque; ils comprennent ce que leurs pères n'ont » point compris, ce que leurs tyrans corrompus n'en» tendent pas; ils savent ce que c'est qu'une révolution, » et ils le savent parce qu'ils sont venus à propos.
Page 133 - Sire, la Charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur, et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait, consacre comme un droit l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 220 - Si elle l'a souffert hier, je ne veux pas le souffrir, moi, non plus que mes amis, nous qui ne fatiguons pas la tribune, qui ne remplissons pas la scène de nos rôles toujours nouveaux et toujours brillants, qui ne passons pas notre temps à exercer le pouvoir ou à le disputer à nos rivaux.
Page 310 - J'abdique, y était-il dit, cette couronne que la voix nationale m'avait appelé à porter, en faveur de mon petit-fils le comte de Paris.
Page 147 - Je reconnais au malheur toutes les sortes de puissance, excepté celle de me délier de mes serments de fidélité. Je dois aussi rendre ma vie uniforme : après tout ce que j'ai fait, dit et écrit pour les Bourbons, je serais le dernier des misérables si je les reniais au moment où, pour la troisième et dernière fois, ils s'acheminent vers l'exil.