La restauration et la monarchie de juillet |
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... général Wellington annonça la destruc- tion de l'armée française à Waterloo ( 18 juin ) . Alors le roi se coucha . Les Cent - Jours , c'est - à - dire l'interrègne de Napoléon , posaient de nouveau la question dynastique qu'on avait cru ...
... général Wellington annonça la destruc- tion de l'armée française à Waterloo ( 18 juin ) . Alors le roi se coucha . Les Cent - Jours , c'est - à - dire l'interrègne de Napoléon , posaient de nouveau la question dynastique qu'on avait cru ...
Page 17
... général Lamarque dira plus tard que 1815 a été « une halte dans la boue » , il sera entendu que la France a subi , du fait des rois , une honte ineffaçable et qu'à cette date néfaste « la Révolution a rendu son épée » . - - Ainsi ...
... général Lamarque dira plus tard que 1815 a été « une halte dans la boue » , il sera entendu que la France a subi , du fait des rois , une honte ineffaçable et qu'à cette date néfaste « la Révolution a rendu son épée » . - - Ainsi ...
Page 21
... général Ramel , qui cependant n'avait pas repris de service durant les Cent - Jours et commandait la place au nom du roi , essaya de licencier ces nou- veaux prétoriens ; le 15 août 1815 , il fut assassiné sans que per- sonne eût le ...
... général Ramel , qui cependant n'avait pas repris de service durant les Cent - Jours et commandait la place au nom du roi , essaya de licencier ces nou- veaux prétoriens ; le 15 août 1815 , il fut assassiné sans que per- sonne eût le ...
Page 22
... général Labédoyère qui , à Grenoble , était passé avec son régiment au service de l'Empereur ; bien qu'allié à une famille royaliste , on le fusilla le 19 août ; il avait vingt - neuf ans . Les frères Faucher , « les jumeaux de La Réole ...
... général Labédoyère qui , à Grenoble , était passé avec son régiment au service de l'Empereur ; bien qu'allié à une famille royaliste , on le fusilla le 19 août ; il avait vingt - neuf ans . Les frères Faucher , « les jumeaux de La Réole ...
Page 24
... général Bellart , « espèce de loup de justice » qui avait servi avec le même dévoue- ment verbeux l'Empire et la Restauration , qui s'était montré ivre d'amour à la naissance du roi de Rome et passionnément hostile à Napoléon en 1814 ...
... général Bellart , « espèce de loup de justice » qui avait servi avec le même dévoue- ment verbeux l'Empire et la Restauration , qui s'était montré ivre d'amour à la naissance du roi de Rome et passionnément hostile à Napoléon en 1814 ...
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Common terms and phrases
amis avaient Benjamin Constant bonapartistes Bourbons bourgeois Broglie Bugeaud c'était Casimir Périer celui-ci Cent-Jours Chambre Charles Charles X Charte Chateaubriand comte d'Artois Conseil conspiration coup d'Angoulême Decazes députés devant disait disait-il drapeau duc d'Orléans duc de Berry duchesse de Berry électorale faisait Fayette fidèles foule française garde nationale gauche général gouvernement guerre Guizot hommes Hugo insurgés jésuites jeune jour journaux l'Angleterre l'armée l'émeute l'émir l'Empire l'esprit l'insurrection l'opinion l'opposition laisser Lamartine Lamennais légitimistes libéraux liberté Louis XVIII Louis-Philippe LUCAS-DUBRETON majorité maréchal Martignac ment militaire ministre monarchie de juillet mort n'avait n'était Napoléon nouvelle officier pairs paix parlementaire passé passion peuple police Polignac politique populaire pouvait pouvoir président presse prince procès réforme régime répondit républicains restait Restauration révolution révolutionnaire Richelieu romantisme royalistes royauté Royer-Collard s'était salon semblait sentiment sera seul société soldats sorte Souvenirs Thiers tion tribune trône troupes Tuileries ultras Villèle vote voulait
Popular passages
Page 109 - Le romanticisme est l'art de présenter aux [peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 11 - Conformément aux paroles des Saintes Ecritures, qui ordonnent à tous les hommes de se regarder comme frères, les trois Monarques contractants demeureront unis par les liens d'une fraternité véritable et indissoluble, et, se considérant comme compatriotes, ils se prêteront en toute occasion et en tout lieu assistance, aide et secours ; se regardant envers leurs sujets et leurs armées comme pères de famille, ils les dirigeront dans le même esprit de fraternité dont ils sont animés, pour...
Page 111 - Aveugle et souffrant sans espoir et presque sans relâche, je puis rendre ce témoignage, qui de ma part ne sera pas suspect : il ya au monde quelque chose qui vaut mieux que les jouissances matérielles, mieux que la fortune, mieux que la santé ellemême, c'est le dévouement à la science.
Page 67 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 133 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 107 - Su» périeurs à tout ce qui les entoure, ils ne sauraient » être dominés ni par le fanatisme renaissant, ni par » l'égoïsme sans croyance qui couvre la société... Ils » ont le sentiment de leur mission et l'intelligence de » leur époque; ils comprennent ce que leurs pères n'ont » point compris, ce que leurs tyrans corrompus n'en» tendent pas; ils savent ce que c'est qu'une révolution, » et ils le savent parce qu'ils sont venus à propos.
Page 133 - Sire, la Charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur, et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait, consacre comme un droit l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 220 - Si elle l'a souffert hier, je ne veux pas le souffrir, moi, non plus que mes amis, nous qui ne fatiguons pas la tribune, qui ne remplissons pas la scène de nos rôles toujours nouveaux et toujours brillants, qui ne passons pas notre temps à exercer le pouvoir ou à le disputer à nos rivaux.
Page 310 - J'abdique, y était-il dit, cette couronne que la voix nationale m'avait appelé à porter, en faveur de mon petit-fils le comte de Paris.
Page 147 - Je reconnais au malheur toutes les sortes de puissance, excepté celle de me délier de mes serments de fidélité. Je dois aussi rendre ma vie uniforme : après tout ce que j'ai fait, dit et écrit pour les Bourbons, je serais le dernier des misérables si je les reniais au moment où, pour la troisième et dernière fois, ils s'acheminent vers l'exil.