Annales de la science agronomique française et étrangèreBerger-Levrault, 1907 - Agriculture |
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Common terms and phrases
acide acide phosphorique agricoles AGRON aiguilles analyses arbres argileux azote bacille Bacillus bactéries barbeau bois bruyère calcaire carpe cendres pures centimètres cubes chaux chêne chiffres chimique conditions constate couche couverture annuelle couverture morte culture Cyprinus carpio d'acide carbonique d'acide phosphorique d'azote d'épicéa décomposition déterminer différences dosage eaux éléments engrais épicéa essences expériences faculté d'imbibition faible fertilité feuilles mortes forêt forêt de Haye forme futaie gélatine grammes grès hectare hêtre humide humus infection kilogr l'acide l'air l'eau l'évaporation l'hectare l'humidité maladie massif matière organique ment microbe mousse moyenne mycorhizes Myxobolus Nancy niveau nutritifs observations pathogène peste rouge pin maritime pin sylvestre plantes pluies poids poissons potasse principes minéraux produit quantité d'eau racines récolte région résultats sable SCIENCE AGRON sèche série seulement siliceux sols forestiers solubles souvent spores substance superficielle surface surtout taux d'eau taux de cendres température terrains terre tion totale tourbe trouve variole végétation forestière végétaux WOLLNY zone
Popular passages
Page 152 - ... d'eau, beaucoup plus importante que la première. Ici, les faits constatés sont encore plus surprenants que dans la forêt Chipoff, parce qu'ils montrent l'influence de la forêt même quand le niveau supérieur des eaux phréatiques est éloigné de la surface de plus de 10 mètres. Sous la forêt, le plan d'eau se trouve à 4 ou 5 mètres plus bas que sous la steppe ou sous les champs. Les mesures ont été prises pendant la saison de végétation, du 1er juin au 1er septembre; c'est l'époque...
Page 340 - Toute extraction ou enlèvement, non autorisé, de pierres , sable , minerai, terre ou gazon , tourbe, bruyères, genêts, herbages, feuilles vertes ou mortes, engrais existant sur le sol des forêts...
Page 155 - Une cinquième (a) est absorbée par les plantes dans le sol pour leur accroissement et leur transpiration ; Enfin le surplus (S) s'infiltre dans les profondeurs et alimente les nappes souterraines dont les plus superficielles viennent, en général, se déverser à la surface par des sources dans les pays à relief accidenté. Soit T la tranche pluviale.
Page 160 - Survienne le printemps et une fonte brusque. Sur la pente nue où rien n'arrête l'accès de l'air chaud , la fonte sera très rapide , et une grande partie de l'eau qui en provient ruissellera jusque dans le thalweg. On sait que de fortes et soudaines crues se produisent toujours à la suite de la fonte brusque des neiges hivernales dans les montagnes dont les pentes sont nues ou même gazonnées.
Page 317 - ... mètres carrés chacune, garnies d'épicéas de cinq ans. Sur une des surfaces le sol était nu; sur l'autre, il était garni d'une couche de mousse morte de 10 centimètres. Le sol couvert a accusé un taux d'humidité plus élevé que le sol non couvert; mais la différence est bien plus faible que dans les expériences en sol non planté.
Page 48 - ... cette fixation n'a pas lieu quand on stérilise la matière, ce qui signifie que le phénomène est dû à la présence de microorganismes. Je n'ai pu jusqu'alors déterminer s'il s'agissait des organismes étudiés par WINOGRADSKY et SUCHTING ou s'il en intervient d'autres diffusés dans le sol.
Page 315 - En ce moment la station de recherches forestières de Suisse commence des expériences à ce sujet dans deux bassins voisins comparables, l'un entièrement boisé, l'autre presque complètement déboisé. De nombreux pluviomètres permettront de déterminer exactement la quantité de pluie tombant sur les deux bassins et le débit des cours d'eau sera mesuré par des déversoirs avec l'approximation que l'on voudra. On possédera donc enfin bientôt des chiffres précis pour la pluviosité de cette...
Page 293 - Recherches entreprises surtout à un point de vue théorique et comme contrôle des observations du même genre faites sur des cultures agricoles, je crois devoir faire remarquer que, dès maintenant, les résultats trouvés peuvent donner lieu à des applications pratiques. Ainsi, dans les pays où le plâtre et la chaux sont à bon marché, dans les lieux de production des cendres, de la poudrette et des résidus...
Page 375 - FRANK (la théorie des mycorhizesnourrices des arbres) . Depuis vingt-cinq ans on y cultive avec succès, dans un sable siliceux absolument privé de matières organiques et azotées, des sapins, des pins, des mélèzes et des hêtres dont les racines ne portent pas trace de mycorhizes.
Page 322 - Même en des conditions défavorables, la part qui, dans la perte totale du sol en eau pendant les mois d'été, revient à l'évaporation du sol par la chaleur et le vent est, au plus, d'un tiers dans les vieux bois et les perchis. Plus des deux tiers de la perte d'humidité que subit le sol en été doit être attribué à l'infiltration et à l'absorption par les racines. Si ces deux facteurs font défaut, le sol devient nécessairement marécageux, comme dans les déboisements des sols d'alios...