Mémoires du Duc de Rovigo: pour servir à l'histoire de l'empereur Napoléon, Volume 7Voglet, 1828 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
armée armistice arriva assez assurément aurait avaient avril Blois Bourienne c'était Caulaincourt choses comte d'Artois conseil conséquence contre-projet cours alliées déclaration défection demande devait donner duc Dalberg duc de Raguse duc de Vicence ennemis Essone état eût événemens Fontainebleau Fouché fût garantie garde nationale général gouvernement provisoire guerre hommes j'avais jours l'armée l'Autriche l'avait l'em l'empe l'empereur Alexandre l'empereur d'Autriche l'empereur de Russie l'empereur Napoléon l'Europe l'île d'Elbe l'impératrice Laborie laissa long-temps Louis XVIII lui-même maison de Bourbon maréchal maréchal Marmont Marmont Maubreuil ment Metternich ministre mission n'avait n'était nation négociation Orléans paix passé pereur personne plénipotentiaires des cours police position possession pouvait prendre présent traité prince de Neufchâtel princesse prit projet Prusse puissances alliées qu'à régence reste retour reur révolution rien Roux-Laborie S. M. l'empereur s'était sacrifices Schwartzenberg séance sénat sentimens serait seul souverains alliés suite Talleyrand tion Tourton trône troupes trouvait vait venir voulait
Popular passages
Page 407 - Les hautes parties contractantes, voulant mettre et faire mettre dans un entier oubli les divisions qui ont agité l'Europe, déclarent et promettent que, dans les pays restitués et cédés par le présent traité, aucun individu, de quelque classe...
Page 110 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 408 - Canaries jusqu'à l'équateur; et enfin de cinq mois dans toutes les autres parties du monde, sans aucune exception ni autre distinction plus particulière de temps et de lieu.
Page 424 - C'est à la ville de Paris qu'il appartient, dans les circonstances actuelles, d'accélérer la paix du monde. Son vœu est attendu avec l'intérêt que doit inspirer un si immense résultat. Qu'elle se...
Page 406 - Traité que des arrangements qui doivent être faits en conséquence, il sera accordé aux habitants naturels et étrangers, de quelque condition et nation qu'ils soient, un espace de six ans, à compter de l'échange des ratifications, pour disposer, s'ils le jugent convenable, de leurs propriétés acquises, soit avant, soit depuis la guerre actuelle, et se retirer dans tel pays qu'il leur plaira de choisir.
Page 111 - Napoléon, fidèle à son serment, déclare « qu'il est prêt à descendre du trône, à quitter « la France et même la vie pour le bien de la « patrie, inséparable des droits de son fils, de « ceux de la régence de l'impératrice, et du « maintien des lois de l'empire.
Page 419 - ... liberté, de l'indépendance nationale et de la paix. Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre , par un seul mot , un terme aux souffrances de la nation; de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie.
Page 81 - France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit Grande et Forte.
Page 150 - France paraissait être dans la destinée de l'empereur; aujourd'hui que la fortune s'est décidée contre lui, la volonté de la nation seule pourrait le persuader de rester plus longtemps sur le trône. S'il se doit considérer comme le seul obstacle à la paix , il fait volontiers ce dernier sacrifice à la France.
Page 101 - Que si, par suite de ce mouvement, les événements de la guerre faisaient tomber entre les mains des puissances alliées la personne de Napoléon Bonaparte , sa vie et sa liberté lui seraient garanties dans un espace de terrain et dans un pays circonscrit , au choix des puissances alliées et du gouvernement français.