Mélanges religieux, historiques, politiques et litteraires, Volume 141876 |
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... Néron , autour de l'obé- lisque dressé en l'honneur des dieux Auguste et Tibère , relevé par la main de Sixte - Quint , qui lui fit porter une parcelle du bois de la Croix . On voit passer par longues files les ordres religieux , le ...
... Néron , autour de l'obé- lisque dressé en l'honneur des dieux Auguste et Tibère , relevé par la main de Sixte - Quint , qui lui fit porter une parcelle du bois de la Croix . On voit passer par longues files les ordres religieux , le ...
Page 6
... Néron courait emporté sur son char , à travers les chrétiens enduits de résine et brûlant comme des tor- ches , pour éclairer les jeux du maître de l'empire , sou- verain pontife des dieux que s'était forgés la raison humaine ! Π Rome ...
... Néron courait emporté sur son char , à travers les chrétiens enduits de résine et brûlant comme des tor- ches , pour éclairer les jeux du maître de l'empire , sou- verain pontife des dieux que s'était forgés la raison humaine ! Π Rome ...
Page 18
... écrire sur un visage humain . La plus ingrate figure de ce musée est celle de Julien l'Apostat . Il est plus impudent que Caligula , qui disait : J'ai une qualité , mon impudence ! plus cruel même que Néron , tout 18 LETTRES DE ROME .
... écrire sur un visage humain . La plus ingrate figure de ce musée est celle de Julien l'Apostat . Il est plus impudent que Caligula , qui disait : J'ai une qualité , mon impudence ! plus cruel même que Néron , tout 18 LETTRES DE ROME .
Page 19
Louis Veuillot. mon impudence ! plus cruel même que Néron , tout à fait tourné à la bête ; plus fat dans sa négligence calculée que l'impatientant Lucius Verus , dont il faut retrouver partout la tête savamment ébouriffée . A quelle ...
Louis Veuillot. mon impudence ! plus cruel même que Néron , tout à fait tourné à la bête ; plus fat dans sa négligence calculée que l'impatientant Lucius Verus , dont il faut retrouver partout la tête savamment ébouriffée . A quelle ...
Page 60
... la philosophie , et l'em- pire ! Néron fut le bilan des longues conquêtes de Rome et du plus lent labeur de l'esprit humain . La terre n'a- vait jamais vu de peuple aussi fort , ni à 60 LA SCIENCE , A PROPOS DE M. SAINTE - BEUVE .
... la philosophie , et l'em- pire ! Néron fut le bilan des longues conquêtes de Rome et du plus lent labeur de l'esprit humain . La terre n'a- vait jamais vu de peuple aussi fort , ni à 60 LA SCIENCE , A PROPOS DE M. SAINTE - BEUVE .
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Mélanges Religieux, Historiques, Politiques Et Littéraires, Volume 3 Louis Veuillot No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
âme assez athée avons bataille de Mentana beau Bédollière Benoît Labre Bonjean catholique Charentes chose chrétien Christ christianisme civilisation cœur confession croire croix devant Dieu dire divine donne Duruy enfants esprit Évêques Favre femme Ferragus Figaro force Garibaldi garibaldiens genre humain gens gloire gouvernement Guéroult Havin homme idées Italiens Jésus-Christ jour Journal des Débats Jules Favre justice l'âme l'Église l'esprit l'Évêque d'Orléans l'homme l'Italie l'Univers laisse liberté libre-pensée livre Louis Jourdan lui-même main ment ministre miracles Molinari monde Moniteur morale mort n'en Napoléon Napoléon Ier Néron œuvres paix Pape parle parole passé pauvre paysans pensée peuple philosophie Pie IX Pierre Véron pignouf Plée politique prêtre qu'un Quinet raison Rattazzi rédacteur religieux religion Renan reste Révolution révolutionnaire rien Rochefort romain Rome s'est s'il sabre sacrement saint Saint-Père Sainte-Beuve sait Sarcey scapulaire science sénateur sentiment sera seul siècle sorte tion triomphe trouve vérité vertus Veuillot veut Villemessant Villemot voilà Voltaire zouave
Popular passages
Page 178 - Vous aimerez le Seigneur votre Dieu de tout votre cœur, de toute votre âme, de toutes vos forces et de tout votre esprit ; et votre prochain comme vous-même.
Page 462 - Enfin, plus je m'efforce de contempler son essence infinie, moins je la conçois; mais elle est, cela me suffit ; moins je la conçois, plus je l'adore. Je m'humilie, et lui dis : Être des êtres, je suis parce que tu es ; c'est m'élever à ma source que de te méditer sans cesse. Le plus digne usage de ma raison est de s'anéantir devant toi : c'est mon ravissement d'esprit, c'est le charme de ma faiblesse, de me sentir accablé de ta grandeur.
Page 414 - Le peuple veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle et légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an xii.
Page 399 - Pour un seul que de biens ! A son large festin que d'amis se récrient ! Ce riche est bien heureux, ses enfants lui sourient ! Rien que dans leurs jouets que de pain pour les miens...
Page 68 - Je sens qu'il ya un Dieu, et je ne sens pas qu'il n'y en ait point; cela me suffit, tout le raisonnement du monde m'est inutile : je conclus que Dieu existe. Cette conclusion est dans ma nature : j'en ai reçu les principes trop aisément dans mon enfance , et je les ai conservés depuis trop naturellement dans un âge plus avancé, pour les soupçonner de fausseté.
Page 400 - Riches, heureux du jour, qu'endort la volupté, Que ce ne soit pas lui qui des mains vous arrache Tous ces biens superflus où son regard s'attache; — Oh! que ce soit la charité!
Page 400 - Que ce soit elle, oh ! oui, riches ! que ce soit elle Qui, bijoux, diamants, rubans, hochets, dentelle, Perles, saphirs, joyaux, toujours faux, toujours vains, Pour nourrir l'indigent et pour sauver vos âmes, Des bras de vos enfants et du sein de vos femmes Arrache tout à pleines mains ! Donnez, riches, l'aumône est sœur de la prière.
Page 419 - Cette mission consiste à fermer l'ère des révolutions en satisfaisant les besoins légitimes du Peuple et en le protégeant contre les passions subversives. Elle consiste surtout à créer des...
Page 462 - Lorsque le seul puissant, le seul grand, le seul sage, De ce monde en six jours eut achevé l'ouvrage, Et qu'il eut arrangé tous les célestes corps, De sa vaste machine il cacha les ressorts, Et mit sur la nature un voile impénétrable.
Page 69 - C'est lui qui a fait sentir aux hommes ce qu'ils se doivent les uns aux autres par rapport à celui à qui ils doivent tout. C'est lui qui a modéré, policé, uni les hommes. Ce lien unique , ce lien si puissant a manqué à tous les peuples qui ont oublié Dieu. Il a fallu par politique y revenir; et les hommes égarés, faute de la vraie religion qu'ils avaient perdue, n'ont pu se passer d'en inventer de ridicules et d'affreuses.