Page images
PDF
EPUB

En effet, pour les sabots ordinaires, il faut retrancher l'angle supérieur qui est inutile et dépasse la hauteur nécessaire, tandis qu'au lieu d'enlever et de sacrifier sans utilité cette parcelle de bois sans valaur, on trouve dans le même bloc tous les éléments d'un sabot-botte, valant 15 à 20 centimes de plus que le précédent.

Dès que les futaies dépassent les diamètres qui peuvent s'accommoder d'un débit en quatre parties, elles deviennent de plus en plus désavantageuses en augmentant de grosseur, non-seulement parce qu'elles sont moins faciles à manier et à découper, mais dans le détail des tronçons, souvent le trait de scie s'égare en obliquant d'une façon compromettante, et enfin on ne peut les diviser sans un notable

déficit.

Supposons que la séparation d'un bloc soit faite en dix parties, comme ci-contre tous les débits ont la forme d'un coin dont l'angle aigu doit être enlevé, comme n'étant susceptible d'aucun emploi. Ce déficit, renouvelé indéfiniment, est très-fâcheux, et justifie la faveur dont jouissent les futaies moyennes.

Quant aux arbres de vastes dimensions, le détail, même le mieux raisonné, n'est jamais satisfaisant; dans l'exemple ci-joint, quinze parties sont obtenues. Toutes celles du pourtour affectent la forme carrée, qui dépasse les exigences, et doit être réduite en pure perte.

Quant aux parties internes, il est rare qu'elles ne soient pas compromises par des gerçures latentes qui se décèlent au séchage; cependant, malgré cet inconvénient, il faut dire que les sabots provenant de vieilles futaies ont le mérite incontestable de se fendre difficilement après la confection, que le grain du bois étant plus tendre et sa contexture plus grossière, il est plus facile à travailler que le bois provenant des jeunes arbres; il supporte même une très-grande chaleur sans s'avarier.

Les qualités des vieilles futaies deviennent plus positives lorsqu'elles sont soumises à l'opération du fumage; tandis que les jeunes bois doivent être ménagés, et se fendent sous l'action de la fumée. Les produits des vieilles futaies supportent impunément le coup de feu, et par ce fait sont susceptibles d'être teintés d'une nuance plus chaude, de ton rouge-brun, luisant en proportion de la quantité de substance amylacée dont ils ont été préalablement enduits. (Je crois avoir décrit cette opération.)

A propos de la fente du hêtre, il me reste à dire quelque chose au sujet des nodosités et des empêchements occasionnés par l'origine des ramifications.

Dans ces divers cas, et aussi quand la constitution de l'arbre s'oppose à une division bien nette, la fente s'égare, des déchirements se produisent, et la main de l'homme devient impuissante; le seul remède à opposer est la scie, surtout la scie rubans, ou scie sans fin.

Avec son concours, tous les obstacles s'évanouissent, on arrive sans efforts à passer au travers de tous les obstacles: rien n'est livré au hasard, la séparation s'opère dans des conditions prévues.

Précision dans les découpures, chantournements, économie de matière, rapidité étonnante, rien n'est impossible à cet instrument, d'une application trop restreinte.

Il est vrai que, dans leur ignorance aveugle, les sabotiers repoussent tout ce qui n'est pas travail manuel, proscrivent toute application mécanique, même celles qui n'ont pour objet que de leur diminuer la peine et de leur rendre le travail plus facile.

Cependant, malgré les flétrissures dont ils n'ont cessé de les couvrir, les machines appliquées à la fabrication des sabots ont fait leurs preuves, elles ont bravement jeté des racines sur le sol. De puissants appareils sont installés et fonctionnent en ce moment à Céry, près Crépy (Oise). Aux personnes qui voudraient se rendre compte de l'utilité, de l'économie et de la précision incontestables du travail, je conseille une visite à ces machines dont l'éloge m'est interdit parce que j'en suis le créateur. Mon opinion, basée sur des faits, me porte à croire que, dans un prochain,

délai, leur emploi généralisé viendra mettre un terme aux exigences toujours croissantes des sabotiers, en produisant à prix réduit des quantités en rapport avec les besoins.

Grâce au concours de ces machines, la chaussure indispensable pendant l'hiver, la chaussure du pauvre et de l'habitant des campagnes sera ramenée à un prix normal, et deviendra accessible aux classes nécessiteuses.

DUCHESNE-THOUREAU.

BIBLIOGRAPHIE.

Principes d'administration communale, ou Recueil par ordre alphabétique de solutions tirées des arrêts de la Cour de cassation, des décisions du Conseil d'Etat en ce qui concerne l'administration des communes, par M. P. BRAFF, ancien conseiller de préfecture, sous-chef de bureau de l'administration des communes au ministère de l'intérieur. Deuxième édition; Paris, 1861, 2 vol. grand in-18, chez A. Durand, éditeur, rue des Grès, 7. Prix: 8 francs.

L'ouvrage de M. Braff forme un véritable répertoire de droit administratif communal. La première édition, publiée en 1859, a été épuisée en moins d'une année. C'est assez dire la faveur avec laquelle elle a été accueillie.

L'édition nouvelle a été mise en harmonie avec la nouvelle instruction générale du ministère des finances, en date du 20 juin 1859. L'auteur y a joint un appendice contenant la loi du 18 juillet 1837 sur l'administration municipale; les décrets des 25 mars 1852 et 13 avril 1861 sur la décentralisation administrative, et une nomenclature des édits, lois, arrêtés, ordonnances et décrets concernant l'administration des communes, etc.

Par la position qu'il occupe au ministère de l'intérieur, M. Braff était, mieux que personne, en mesure de mener à bonne fin l'œuvre considérable dont il s'est chargé. A la fois homme de théorie et de pratique, ayant à sa disposition une foule de documents inédits, il était dans les meilleures conditions de réussite, et il a, en effet, réussi. Il est parvenu à condenser en deux volumes, avec toute l'exactitude et la clarté désirables, tous les éléments divers, lois, décrets, ordonnances, décisions, etc., dont se compose le droit administratif communal. Son livre renferme d'innombrables solutions que souvent l'on chercherait en vain dans les recueils généraux.

Il serait à désirer, pour la prompte et régulière solution des affaires communales, que le livre de M. Braff fût entre les mains de tous les maires. Comme l'a dit avec raison M. Glatigny, ces magistrats s'épargneraient à eux-mêmes, ainsi qu'à l'autorité supérieure, les pertes de temps et les nombreuses écritures qu'entraînent les redressements d'erreurs et d'oublis provenant de l'ignorance des lois et des règlements.

Du reste, l'utilité de l'œuvre de M. Braff est reconnue, et sa deuxième édition n'aura pas, nous en sommes convaincu, moins de succès que la première.

Police des bois, defrichements et reboisements, commentaire pratique sur les lois promulguées en 1859 et 1860, par M. L-J.-D. FÉRAUD-GIRAUD. Paris, 1861, 1 vol. in-8, chez A. Durand, libraire, rue des Grès, 7; chez Mme veuve Huzard, rue de l'Eperon. 5, et au bureau des Annales forestières, rue de la Chaussée-d'Antin, 21. Prix : 5 francs.

Le Code forestier a été modifié, dans un grand nombre de ses dispositions, par la loi du 18 juin 1859. Le but de ces modifications a été, d'une part, de fortifier la législation pénale contre les délits forestiers, et, à cet effet, la prison a été ajoutée, dans un certain nombre de cas, à l'amende qui est, pour les insolvables, une peine illusoire; d'autre part, de réglementer le droit de défrichement, en déterminant d'une manière expresse les cas dans lesquels le gouvernement pourrait, dans l'intérêt public, s'opposer aux opérations de déboisement.

C'est le commentaire de cette loi que M. Féraud-Giraud a entrepris. Les éléments de son travail sont puisés dans l'exposé des motifs, les rapports, les débats du corps législatif, les décisions de l'autorité administrative, et, enfin, dans la jurisprudence.

L'auteur y a complété son œuvre par l'explication de la loi, si importante, du 28 juillet 1860 sur le reboisement des terrains situés sur le sommet et la pente des montagnes.

L'ouvrage de M. Féraud-Giraud a été conçu dans un excellent esprit, et son exécution ne laisse rien à désirer. Les propriétaires de bois, les agents forestiers, les maires, les jurisconsultes y trouveront d'utiles renseignements et des éléments de solution pour toutes les difficultés qui peuvent se présenter dans la pratique. Cet ouvrage a donc sa place marquée dans toute bibliothèque forestière.

Des animaux d'appartement et de jardin (oiseaux, poissons, chiens et chats), par` M. F. PRÉVOST. Paris, 1861, 1 vol. in-18, chez F. Savy, éditeur, rue Bonaparte, 20. Prix 1 franc.

:

L'auteur adresse son livre aux personnes qui désirent rendre leur foyer attrayant et embellir leur demeure par la présence des petits animaux domestiques qui procurent des joies si variées, non-seulement aux grandes personnes, mais encore aux enfants.

Les oiseaux, les poissons, les chiens et les chats sont les animaux qui, jusqu'ici, ont été le mieux familiarisés avec nous et le plus complétement introduits dans nos maisons. C'est d'eux spécialement que M. Prévost s'est occupé.

Il donne, successivement et par ordre alphabétique, la nomenclature de ces quatre espèces d'animaux. Il décrit leur caractère distinctif, leurs mœurs, leurs habitudes, les soins hygiéniques qu'ils réclament, la manière de les élever, et d'en améliorer la race.

Un chapitre étendu est consacré à la pisciculture, cette utile découverte faite par deux humbles pêcheurs des Vosges, vulgarisée et appliquée par les savants. Quarante-six charmantes vignettes donnent un relief particulier à cet ouvrage, que la Société protectrice des animaux a honoré d'une meution honorable.

E. DUMONT.

MUTATIONS dans le personnel de l'administration des forêts de l'Etat.

POSITIONS ANCIENNES.

POSITIONS NOUVElles.

Arrêtés.

NOMS.

[blocks in formation]

BLOT....
TOUCHALEAUME..

[blocks in formation]

27

Id.

FORTIER..

[blocks in formation]

S.-insp. de 3 cl., chargé de l'in térim du cant. de Mamers (Sarthe). S.-insp. de 3 cl. à Saint-Claude (Jura).

G. gen. de re cl., membre d'une commission dans les Vosges.

G. gen, de 1re cl. à Obernay (Bas-
Rhin).

G. gén. de 1re cl. à Tonnerre
(Youne).

G. gén. de 2e cl. à Charolles (Saône-et-Loire).

G gén. de 3 cl. à Hesdin (Pasde-Calais).

G. gen. de 20 cl. à Rodome (Aude).

S.-insp. de 3 cl. à Saint-Etienne
[(Loire).

S.-insp. de 3e cl. à Digne (Basses-
Alpes).

G. gen. stag., chargé de l'intérim
du cantonn. de Saint-Amarin (Haul-
Rhin).

G. gén. stag., attaché à la com-
mission chargée de l'estimation de la
forêt domaniale de Vernon (Eure).
G. gen. stag., chargé de 4'interim
du cantonnement de Gex (Ain).
G. gen. stag., chargé de l'intérim
du cantonnement d'Avallon (Yonne).
G. gen. stag., chargé de l'interim
du canton. de Briançon (H.-Alpes).
G. gen. stag., attaché à l'inspec-
tion de Pau (Hautes-Pyrénées).

G. gén. stag., chargé de l'intérim
du cantonnement de Saales (Vosges).
G. gen. stag., chargé de l'intérim
du cant. d'Ancizan (H.-Pyrénées).
G. gen. stag., chargé de l'interim
du cantonn. d'Orange (Vaucluse).
G. gen. stag., chargé de l'intérim
du cant, de Saint-Avold (Moselle),
G. gen. stag., charge de l'interim
du cant d'Aspet (Haute-Garonne).
G. gén. de re cl. à Aubagne
(Bouches-du-Rhône).

G. gen. de re cl. à Champagney
(Haute-Saône).

G. gen. stag, à Pontarlier (Doubs).

G. gén. stag., insp. de Saint-Dié

DE MARTIMPREY
DE ROMECOURT. (Vosges).
CARRAUD

AUBERT.......

BARBIER DE LA
SERRE........

BALLIN.

BECOURT......
MATHIEU........

S.-insp. attaché temporairement
à l'administration centrale.
G. gén. stag. à Limoux (Aude).

G. gen. à Bourges (Cher).
G. gén. à Russey (Doubs).
G. gén. stag. à Nantua (Ain).
G. gen. stag, à Grenoble (Isère).

(1) En remplacement de M. Elminger, mis à la retraite. (2) En remplacement de M. Lebrun, mis à la retraite.

Insp. de 4 cl. à Belfort (HautRhin (1).

S.-insp. de 3e cl. à Rennes (Illeet-Vilaine).

S.-insp. de 3 cl. à ChâteauSalins (Meurthe),

S.-insp. de 3 cl. à Mamers (Sarthe)

G. gén, de 1re cl., mis à la disposition de M. l'inspecteur à Abreschwiller (Meurthe), pour le service des reboisements.

S.-insp. de 3e cl. à Saint-Claude (Jura).

S.-insp. de 3 cl. à Varzy (Niẻvre) (2).

G. gen. de 2e cl. à Tonnerre (Yonne).

Mis en disponibilité sur sa demande.

G. gén. de 2e cl. à Hesdin (Pasde-Calais)

S.-insp. de 3 cl., attaché à la 26e commission de la Meuse. S.-insp. de 3 cl. à Saint-Etienne (Loire).

G. gén. de 3 cl.

G. gén. de 3 cl.

G. gén, de 3 cl. à Gex (Ain).

G. gén. de 3o cl. à Avallon (Yonne).

G. gen. de 3e cl. à Briançon (flautes-Alpes).

G. gén. de 3e cl.

G. gén. de 3 cl. à Saales (Vosges).

G. gen. de 3e cl. à Ancizan (HautesPyrénées).

G. gén. de 3e cl. à Aubagne (Bou-) ches-du-Rhône).

G. gen. de 3 cl. à Saint-Avold (Moselle).

G. gen. de 3 cl. à Aspet (HauteGaronne).

G. gen. de tre cl. à Orange (Vaucluse).

G. gén. de re cl., attaché temporairement à l'administr. centrale.

G. gen. stag., chargé de l'intérim du cant. de Champagney (fl.-Saône). G. pen. stag., chargé de l'interim du cantonn, de Cirey (Meurthe). Commis principal à l'administration centrale.

G. gen. stag., chargé de l'intérim à Saint-Jean-Pied-de-Port (H.-Pyré-) nées).

G. gén. chargé de l'intérim à Loches (Indre-et-Loire).

G. gen. à Charolles (Saône-etLoire),

G. gen. stag., chargé de l'intérim

à Oyonnax (Ain).

G. gen. stag., chargé de l'intérim à Cavaillon (Vaucluse).

CHRONIQUE FORESTIÈRE.

Nomination dans l'ordre de la Légion d'honneur. Repeuplemeuts. - Inondations dans le département du Gard, bons résultats des travaux de reboisement dans ce département. Forêts en Russie. - Nouveau sapin découvert en Grèce.

Par un décret en date du 5 décembre 1861, MM. Sthème et Tassy, inspecteurs des forêts, actuellement en mission en Turquie, out ete promus chevaliers dans l'ordre de la Légion d'honneur (service exceptionnel).

Ainsi qu'il n'était que trop facile de le prévoir, l'année 1861 n'a pas été plus favorable aux travaux de senis et plantations qu'à la culture des céréales. On se plaint assez généralement de l'insuccès qu'ont éprouvé cette année les repeuplements artificiels, Insuccès qui n'a pas d'autre cause que la sécheresse qui a régné pendant tout l'été et une partie de l'automne. Il paraît cependant que, bien que défavorable, la saison n'a pas nui autant qu'on pouvait le craindre aux travaux de reboisement en moutagnes. Ainsi, on nous a parlé d'un semis de 500 hectares en pin sylvestre effectué au printemps dernier dans les montagnes du Puy-de-Dôme, sur un terrain couvert de débris de roches volcaniques, qui a pu résister sans trop souffrir aux ardeurs du soleil de juillet et d'août et qui aujourd'hui ressemble à un immense tapis vert. Nous avons lieu de croire que l'année courante aura été plus favorable, en France au moins, à la production des graines forestières qu'aux travaux de semis et plantations. Sur plusieurs points de la France, et dans le centre notamment, la glandée a été assez abondante, et d'un autre côté la récolte des graines résineuses s'annonce passablement bien. Si nous sommes bien informés, il serait loin d'en être de même chez nos voisins de l'autre côté du Rhin, qui commencent déjà à se plaindre, et à prédire qu'en général les graines forestières ne seront pas abondantes. On s'attendait chez eux, il y a quelque temps, à faire une très-boune récolte de graines de pin sylvestre, mais il paraît que la grande sécheresse à fait tomber un grand nombre des cônes dans les forêts de cette essence.

Le 14 octobre dernier, des pluies véritablement diluvienues, ayant eu lieu dans le département du Gard, ont occasionné des inondations qui ont amené des désastres considérables, surtout dans les environs d'Uzès et d'Alais. Le Gardon notamment, qui descend des Cévenues, et dont les eaux ont grossi démesurément en quelques heures, a fait des ravages énormes. Ce sont là des sinistres qui se produisent trop souvent dans les contrées si dénudées du midi de la France, pour que nous avions cru devoir signaler celui dont il s'agit, s'il n'avait pas donné l'occasion de faire une observation qui mérite d'être rapportée. D'après l'Aigle des Cév nnes, on aurait remarqué, dans cette journée néfaste du 14 octobre, que, grâce aux travaux de reboisement effectués sur les flancs jadis dénudés des hauteurs qui dominent la Grand'Combe, les principaux affluents qui, il y a quelques années encore, roulaient leurs eaux furieuses dans le Gardon, n'out apporté cette fois qu'un contingent relativement faible à l'inondation, malgré la pluie torrentielle qui tombait sur ces montagnes. Cette nouvelle preuve de l'heureuse influence du reboisement sur les inondations vaut certainement la peine d'être étudiée et constatée d'une manière scieutifique, et nous croyons savoir que l'administration des forêts a donné déjà des ordres à cet égard aux agents locaux.

La Russie possède, d'après l'évaluation des forestiers de l'empire eux-mêmes, 120 millions d'hectares de forêts domaniales, c'est-à-dire dépendant du domaine de la Couronne. Ces forêts, disséminées sur l'immense superficie formant l'empire de toutes les Russies, sont en grande partie abandonnées à elles-mêmes. Les distances considérables qui les séparent, l'absence presque complète de voies de communications, rendent l'administration de ces forêts d'une extrême difficulté. Cependant l'administration forestière est constituée en Russie sur des bases assez solides. Il existe à Saint-Pétersbourg des écoles forestières de deux degrés. L'une a pour objet de

« PreviousContinue »