 | Joseph Pierre Durand - Hypnotism - 1860 - 204 pages
...Guérineau, j'adresse la parole au malade pour lui demander comment il se trouve ; il me répond qu'// se croit en paradis, saisit vivement ma main et la...vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur. » Gazette des hôpitaux, numéro du 29 décembre 1859. IX. M. TAVERMER (de la Nièvre), médecin,... | |
 | 1860 - 680 pages
...terminée, le malade dit à l'élève. « J'ai senti ce qu'on m'a fait, et la preuve, c'est que ma cuisse a été coupée au moment où vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur. > Or, ce n'est que deux minutes après cette interrogation que commença l'opération, et pendant tout... | |
 | Industrial arts - 1861 - 546 pages
...terminée, le malade dit à l'élève: « J'ai senti ce qu'onm'a fait, et la preuve c'est « que ma cuisse a été coupée au moment où vous me demandiez « si j'éprouvais quelque douleur. » Or, ce n'est que deux minutes après cette interrogation que commença l'opération, et, pendant... | |
 | Sigismond Jaccoud - Medicine - 1874 - 874 pages
...dura une minute el demie, dit Guérineau, j'adresse la parole au malade pour lui demander comment use trouve; il me répond qu'il se croit en paradis, saisit...incontestables; cependant, qu'est devenue depuis celte anesthésie chirurgicale? Une simple curiosité, une collection de faits qui prouvent mieux que toutes... | |
 | Eugène Bouchut - Child care - 1878 - 1234 pages
...opérateur pour l'approcher de ses lèvres et la baiser. Il dit à un élève : « J'ai senti sans souffrir ce qu'on m'a fait, et la preuve, c'est que la cuisse a été coupée au moment où vous nie demandiez si j'éprouvais quelque donleur. » C'était vrai. Comme vous le voyez, il ya là un... | |
 | Despine - 1880 - 442 pages
...absolument aucune douleur. «J'ai senti sans souffrir, répondit-il au chirurgien qui l'interrogeait ; et la preuve, c'est que la cuisse a été coupée...vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur. C'était vrai. » Chose curieuse ! dit M. Bouchut. Chose miraculeuse! s'écrie Morel, à l'occasion... | |
 | Eugène Bouchut - Children - 1885 - 1292 pages
...opérateur pour l'approcher de ses lèvres et la baiser. Il dit à un élève : « J'ai senti sans souffrir ce qu'on m'a fait, et la preuve, c'est que la cuisse...vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur. » C'était vrai. Il ya là un ensemble imposant et curieux de faits extraordinaires, longtemps attribués... | |
 | Alexandre Cullerre - Hypnotism - 1887 - 396 pages
...patient n'éprouva aucune douleur, mais eut pleine conscience de l'opération. J'ai senti, dit-il, ce qu'on m'a fait, et la preuve, c'est que la cuisse...vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur (2). Le Dr Esdaile, chirurgien des hôpitaux de Calcutta, écrivait à Braid, vers la même époque,... | |
 | Jules Liégeois - Criminal law - 1889 - 784 pages
...homme, durant l'aneslhésie hypnotique. « Après l'opération, qui dura une minute et demie, dit M. Guérineau, j'adresse la parole au malade pour lui...moment où vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleuri. » M. le Dr Tavernier (de la Nièvre), rédacteur de l'Opinion nationale, a dit à M. le... | |
 | Alexandre Cullere - 1893 - 332 pages
...patient n'éprouva aucune douleur, mais eut pleine conscience de l'opération. « J'ai senti, dit-il, ce qu'on m'a fait, et la preuve, c'est que la cuisse...vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur (1). Le Dr Esdaile, chirurgien des hôpitaux de Calcutta, écrivait à Braid, vers la même époque,... | |
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J'ai senti (sans douleur) ce qu'on m'a fait, et la preuve c'est que la cuisse a été coupée au moment où vous me demandiez si j'éprouvais quelque douleur. 
