Histoire de France, Volume 8Lagny, 1867 |
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... guerre , tristes conditions . - Arrivée du roi à Calais ; discours du Corps législatif à Compiégne . - Pre- mière lueur de liberté . Déclaration de Saint - Ouen . Entrée à Paris ; joie universelle . — Contrastes . Organisation de l'ar ...
... guerre , tristes conditions . - Arrivée du roi à Calais ; discours du Corps législatif à Compiégne . - Pre- mière lueur de liberté . Déclaration de Saint - Ouen . Entrée à Paris ; joie universelle . — Contrastes . Organisation de l'ar ...
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... guerre eût été interminable ; c'eût été la guerre civile , et la France n'eût été que plus malheureuse . J'ai sacrifié tous mes intérêts à ceux de la patrie . Je pars . Vous , mes amis , continuez de servir la France . Son bonheur était ...
... guerre eût été interminable ; c'eût été la guerre civile , et la France n'eût été que plus malheureuse . J'ai sacrifié tous mes intérêts à ceux de la patrie . Je pars . Vous , mes amis , continuez de servir la France . Son bonheur était ...
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... guerre avaient d'ailleurs aigri les âmes ; elles se consolaient par l'insulte , au lieu de se venger par la dignité . Et ainsi nul affront ne manqua à l'adversité de Napoléon . Ceux même qu'une convenance vulgaire devait rendre le plus ...
... guerre avaient d'ailleurs aigri les âmes ; elles se consolaient par l'insulte , au lieu de se venger par la dignité . Et ainsi nul affront ne manqua à l'adversité de Napoléon . Ceux même qu'une convenance vulgaire devait rendre le plus ...
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... guerres , en un mot ; mais il était réservé que le sort des arsenaux et des vaisseaux de guerre qui se trouvaient dans les places que la France abandonnait serait réglé par le traité de paix définitif ; c'était comme un droit de dé ...
... guerres , en un mot ; mais il était réservé que le sort des arsenaux et des vaisseaux de guerre qui se trouvaient dans les places que la France abandonnait serait réglé par le traité de paix définitif ; c'était comme un droit de dé ...
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... guerre fut établi près du roi ; il se com- posait des maréchaux Ney , Augereau et Macdonald ; des généraux Dupont , Compans et Curial pour l'infanterie ; des généraux Préval et Latour - Maubourg pour la cavalerie ; du général Léry pour ...
... guerre fut établi près du roi ; il se com- posait des maréchaux Ney , Augereau et Macdonald ; des généraux Dupont , Compans et Curial pour l'infanterie ; des généraux Préval et Latour - Maubourg pour la cavalerie ; du général Léry pour ...
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Common terms and phrases
actes affaires allait armée armes assemblée avaient Bourmont c'était Casimir Perrier Cent-Jours ceste chambre des députés chambre des pairs Charles Charles X Charte Châteaubriand colère comte conseil constitution constitutionnelle couronne déclaration défense délibération désordres desseins devait Dieu dignité disait-il drapeau duc d'Angoulême duc d'Orléans duchesse de Berry éclat Estats esté factions faict Fayette fidélité force française garde général génie gloire gouvernement guerre haine jeter jour justice l'anarchie l'armée l'autorité l'Église l'Empire l'État l'Europe l'histoire laisser libéral liberté lois Louis le Pieux Louis XIV Louis XVIII luttes Majesté maréchal ment millions ministre monarchie monarque n'avait n'était Napoléon nation nationale opinions ordonnance paroles passions pensée péril peuple politique populaire pouvoir presse prince de Polignac proclamation public publique puissance raison religion reste révolution rois royale royauté s'était sédition semblait sentiment sera session seul société soldats sorte système Tiers-État tion toutefois trône troupes Tuileries venait Villèle
Popular passages
Page 271 - Députés des départements , je ne doute point [de votre concours pour opérer le bien que je veux faire. Vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager. Si de coupables manœuvres suscitaient à mon Gouvernement des obstacles , que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique , dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré...
Page 98 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 20 - Nous avons dû, à l'exemple des Rois nos prédécesseurs, apprécier les effets des progrès toujours croissants des lumières, les rapports nouveaux que ces progrès ont introduits dans la société, la direction imprimée aux esprits depuis un demisiècle, et les graves altérations qui en sont résultées : nous avons reconnu que le vœu de nos sujets pour une Charte constitutionnelle était l'expression d'un besoin réel...
Page 39 - Soldats, dans mon exil j'ai entendu votre voix : je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre.
Page 9 - ... le sénat et le corps législatif, nous engageant à mettre sous leurs yeux le travail que nous aurons fait avec une commission choisie dans le sein de ces deux corps , et à donner pour base à cette constitution les garanties suivantes.
Page 74 - L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, Pairs et Représentants, donnez à la nation l'exemple de la confiance, de l'énergie et du patriotisme, et, comme le Sénat du grand peuple de l'antiquité, soyez décidés à mourir plutôt que...
Page 118 - C'est à vous, ma sœur, que j'écris pour la dernière fois. Je viens d'être condamnée, non pas à une mort honteuse, elle ne l'est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère; comme lui innocente, j'espère montrer la même fermeté que lui dans ses derniers moments.
Page 85 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 275 - Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. «Une défiance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration : votre peuple s'en afflige, parce qu'elle est injurieuse pour lui; il s'en inquiète, parce qu'elle est menaçante pour ses libertés.
Page 118 - ... que dans sa propre famille? que mon fils n'oublie jamais les derniers mots de son père, que je lui répète expressément : qu'il ne cherche jamais à venger notre mort.