Philosophes et comédiennes |
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Abeilard adieu aimait allait amant Amaranthe amoureux Aspasie avez Bagnolé baiser beau beauté belle bergère bohémiens bonne bras c'était çà chambre chanter charmant château chemin cheval ciel cœur comédie Comédie-Française comédienne Constant d'Aubigné Cornille Schut Coucy d'Aubigné Daniel Seghers Daphné Dieu dire dit-elle Élisabeth enfants Est-ce êtes femme figure Gabrielle Gacé George Arnault Hector homme j'ai Jacques Callot jamais jeta joie jolie jour l'amour Langevy larmes Lignon Louis XIV madame d'Averne madame d'Urtis madame de Parabère MADAME DE POMPADOUR madame Deshoulières Madeleine mademoiselle Clairon mademoiselle de Livry mademoiselle Gaussin mademoiselle Guimard Maillefer main maître marquise Martial monde monsieur Montluzun mort mourir n'avait NINON DE LENCLOS passer passion pauvre Pécoul peintre philosophie Platon pleurer poésie poëte portrait prit Raoul regard régent rêve roses Rouvray s'écria sais Scarron sculpteur seule sire de Fayel soir soleil souper sourire tableau Téniers théâtre triste veux voilà Voltaire voulait voulut voyant yeux
Popular passages
Page 17 - ... ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles; Ces deux lustres de diamants Qui pendent à vos deux oreilles; Ces riches carcans, ces colliers, Et cette pompe enchanteresse, Ne valent pas un des baisers Que tu donnais dans ta jeunesse.
Page 17 - Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie ; Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine ; Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine ; Vos vases japonais et blancs, Toutes ces fragiles merveilles...
Page 47 - Ce n'est pas moi qu'on applaudit, C'est vous qu'on aime et qu'on admire | Et vous damnez , charmante Alzire, Tous ceux que Gusman convertit.
Page 36 - Qui ostera aux muses les imaginations amoureuses, leur desrobera le plus bel entretien qu'elles ayent et la plus noble matière de leur ouvrage ; et qui fera perdre à l'amour la communication et service de la poésie, l'affoiblira de ses meilleures armes...
Page 18 - Que les agréments de ton âge, Un cœur tendre, un esprit volage, Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux, Et, que l'amour me le pardonne, Tu sais que je t'en aimais mieux.
Page 54 - Gaussin avait la plus belle tête, la voix la plus touchante ; son ensemble était noble, tous ses mouvements avaient une grâce enfantine à laquelle il était impossible de résister, et elle ne résistait pas non plus; mais elle était mademoiselle Gaussin dans tout.
Page 9 - De la maîtresse tant jolie Dont j'étais si fort entêté. Il rit de cette perfidie, Et j'aurais pu m'en courroucer : Mais je sais qu'il faut se passer Des bagatelles dans la vie.
Page 18 - Ah ! madame, que votre vie, D'honneurs aujourd'hui si remplie. Diffère de ces doux instants ! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du temps : On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris ; Sous vos magnifiques lambris, Ces enfants tremblent de paraître. Hélas ! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre Et se jouer dans ton taudis.
Page 18 - D'honneurs aujourd'hui si remplie, Diffère de ces doux instants! Ce large suisse à cheveux blancs, Qui ment sans cesse à votre porte, Philis, est l'image du Temps: On dirait qu'il chasse l'escorte Des tendres Amours et des Ris; Sous vos magnifiques lambris Ces enfants tremblent de paraître. Hélas! je les ai vus jadis Entrer chez toi par la fenêtre, Et se jouer dans ton taudis. Non, madame, tous ces tapis Qu'a...
Page 66 - Mademoiselle , je m'étais toujours bien douté que cette petite fille que je vis entrer il ya six mois dans ma chambre avec une robe trop courte , et qui se mit à pleurer je ne sais pas bien pourquoi , était aussi spirituelle qu'elle en avait la mine.