Histoire de la réforme et des réformateurs de Genève, Page 111861 |
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... n'en était pas moins devenue hostile à la papauté . Elle voyait dans les évêques , à l'élection desquels le peuple n'avait pas con- couru , des créatures des ducs , et la protection dont les cou- vraient ces princes , les faisait ...
... n'en était pas moins devenue hostile à la papauté . Elle voyait dans les évêques , à l'élection desquels le peuple n'avait pas con- couru , des créatures des ducs , et la protection dont les cou- vraient ces princes , les faisait ...
Page 6
... n'en étaient pas une dé- pendance . C'étaient ceux de Sion , de Genève et de Lausanne . Berthold , ayant à son tour cédé à Amé II , fils d'Aimon , ses droits de souveraineté sur Genève , le nouveau comte de Gé- nevois s'empara sans ...
... n'en étaient pas une dé- pendance . C'étaient ceux de Sion , de Genève et de Lausanne . Berthold , ayant à son tour cédé à Amé II , fils d'Aimon , ses droits de souveraineté sur Genève , le nouveau comte de Gé- nevois s'empara sans ...
Page 19
... n'en était plus qu'un enclave ; il n'eut garde de la lais- ser échapper ; car l'indépendance de ce peuple , dont il en- serrait de toutes parts le territoire , était une gène pour exer- cer sa domination sur les pays mêmes qui le ...
... n'en était plus qu'un enclave ; il n'eut garde de la lais- ser échapper ; car l'indépendance de ce peuple , dont il en- serrait de toutes parts le territoire , était une gène pour exer- cer sa domination sur les pays mêmes qui le ...
Page 30
... n'en continua pas moins d'admi- nistrer l'évêché de Genève . Son fils Louis , auquel il avait abandonné , après son exaltation à la papauté , son duché de Savoie et toutes ses terres et seigneuries , respecta l'indépen- dance de Genève ...
... n'en continua pas moins d'admi- nistrer l'évêché de Genève . Son fils Louis , auquel il avait abandonné , après son exaltation à la papauté , son duché de Savoie et toutes ses terres et seigneuries , respecta l'indépen- dance de Genève ...
Page 37
... n'en faire plus de » querelles ; et touchant cette cause particulière , je reconnais » et avoue que le jugement en appartient à l'évêque mon » frère , et non pas à moi : ainsi je le remets tout à lui , quand >> il sera venu en åge pour ...
... n'en faire plus de » querelles ; et touchant cette cause particulière , je reconnais » et avoue que le jugement en appartient à l'évêque mon » frère , et non pas à moi : ainsi je le remets tout à lui , quand >> il sera venu en åge pour ...
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Common terms and phrases
avaient ayant Bâle banni Bernois Berthelier Bolsec Bonnivard bourgeois Calvin Cantons cause ceste chanoines choses Chrestien chrétienne Christ cité par Audin citoyens comte de Génevois comte de Savoie condamné confession conseil des Deux-Cents conseil général demande députés Deux-Cents devant diète dispute dispute de Lausanne dit-il doctrine dogmes duc de Savoie églises Eidgnots ennemis envoya épiscopal esprit esté estoit estre États de Savoie évêque Farel François Ier Fribourg Froment Furbity Galiffe Genève Génevois Guillaume Farel HIST hommes Jean de Savoie Jésus-Christ juge justice l'alliance l'Église catholique l'Évangile l'évêque lettres liberté magistrats Magnin maison de Savoie ment mesme ministres mort pape parole de Dieu pasteurs péchés Pécolat Perrin peuple Philibert Berthelier Pierre Pierre Viret prêcher prédicants prédicateur prélat prêtres prince prison quæ raison réformateur religion s'était s'il Sadolet saint salut seigneurs de Berne seigneurs de Fribourg sermons Servet seulement Spon syndics tion toutesfois vidomne Viret voulait
Popular passages
Page 391 - avec vous. Je vous envoie comme mon père m'a « envoyé. » « Après ces paroles, il souffla sur eux et leur « dit : « Recevez le Saint-Esprit. » « Les péchés seront remis à ceux à qui vous « les remettrez, et ils seront retenus à ceux à qui
Page 576 - Non pro eis autem rogo tantum, sed et pro eis, qui credituri sunt per verbum eorum in me, ut omnes unum sint, sicut tu, pater, in me et ego in te, ut et ipsi in nobis unum sint, ut credat mundus, quia tu me misisti.
Page 430 - Et moi, je leur ai donné la gloire que tu m'as donnée, afin qu'ils soient un comme nous sommes un — moi en eux, et toi en moi...
Page 517 - Tous ceux qui l'approchaient avaient à souffrir de sa parole arrogante, de ses emportements et de son intolérable orgueil. Mélanchton lui reproche une morosité que rien ne peut fléchir ; Bucer, une maladie de médisance passée dans le sang, comme la rage dans le chien; Papire Masson, un insatiable appétit de vengeance et de sang sous un masque de modestie et de simplicité.
Page 411 - ... l'enseigne du capitaine et les rappelle et remet en leur ordre. Car tous les tiens, Seigneur, étaient tellement égarés, que non seulement ils ne pouvaient entendre ce qu'on leur commandait, mais aussi il semblait qu'ils eussent mis en oubli et leur capitaine et la bataille et le serment qu'ils y avaient fait.
Page 492 - Cependant il est souftert entre vous, voire jusques ay faire imprimer ses .livres, qui sont si pleins de blasphèmes , qu'il ne fault point que j'en die plus. C'est un espagnol Portugallois nommé Michaè'l Servetus de son propre nom, mais il se nomme Villeneufve à présent, faisant le médecin.
Page 508 - Dieu qui a esté le spectateur et le juge de votre combat et qui en sera le rémunérateur; l'Eglise aussi vous en devra sa gratitude, à maintenant et à la postérité. Je suis entièrement de votre avis, et je tiens pour certain que les choses ayant été dans l'ordre , vos magistrats ont agi selon le droit et la justice en faisant mourir ce blasphémateur.
Page 409 - Seigneur, tu m'as illuminé de la clarté de ton esprit pour y penser ; tu as mis devant moi ta parole comme une torche , pour me donner à connaître combien ces choses sont méchantes et pernicieuses : finalement tu as touché mon cœur, afin que justement et à bon droit je les eusse en abomination.
Page 278 - Jean , je ne crains pas tant son esprit de travers que j'en espère bien : car ce vice est propre à l'avancement de nos affaires pour le rendre un grand défenseur de nos opinions, parce qu'il ne pourra si aisément être pris qu'il ne puisse envelopper ses adversaires en des empêchements plus grands 2).
Page 453 - où les lois étaient si douces , les croyances qui déshonoraient d'autre* pays moins répétées , la torture à peine appliquée, la confiscation des biens abolie ; où vous ne trouverez aucune trace de ces procès monstrueux faits aux opinions, ou de ces supplices affreux infligés à des malheureux soupçonnés d'être en rapport avec le démon.