Collection des mémoires relatifs à l'histoire de France: depuis la fondation de la monarchie française jusqu'au 13e siècle; avec une introduction, des supplémens, des notices et des notes, Volume 1

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François Guizot
J.-L.-J. Brière, 1823 - France
 

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Popular passages

Page 39 - Ne craignez point ceux qui tuent le corps , et qui ne peuvent tuer l'âme ; mais craignez plutôt celui qui peut perdre et l'âme et le corps dans l'enfer.
Page 84 - S'étant joints dans une île de la Loire, située auprès du bourg d'Amboise, sur le territoire de la cité de Tours, ils conversèrent, mangèrent et burent ensemble; après s'être promis amitié, ils se retirèrent en paix.
Page xxii - Trinité dans l'unité, sans confondre les personnes ni diviser la substance. Car autre est la personne du Père, autre celle du Fils, autre celle du Saint-Esprit. Mais la divinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit est une, leur gloire égale, leur majesté co-éternelle.
Page 89 - Ensuite, étant monté acheval, il jeta de sa propre main, avec Une extrême bienveillance, de l'or et de l'argent au peuple assemblé sur le chemin qui est entre la porte du vestibule de la basilique de Saint-Martin et l'église de la ville, et, depuis ce jour, il fut appelé consul ou Auguste.
Page 35 - II est difficile que les hommes accordent aux femmes de telles choses. Cependant, si tu fais en sorte que nous demeurions sans tache dans ce monde, je te donnerai une part de la dot qui m'a été promise par mon époux, mon Seigneur Jésus-Christ, à qui je me suis consacrée comme épouse et servante.
Page 341 - ... accomplissant ce qui a été dit par le prophète Joël : La sauterelle a mangé les restes de la chenille, le ver les restes de la sauterelle, et la nielle les restes du ver '. Ce fut ainsi que les choses se passèrent alors.
Page 112 - Attale étaitàgarder les chevaux , et, se couchant à terre loin de lui et le dos tourné de son côté, afin qu'on ne s'aperçût pas qu'ils parlaient ensemble , il dit au jeune homme : « II « est temps que nous songions à retourner dans notre « patrie ; je t'avertis donc , lorsque cette nuit tu auras « ramené les chevaux dans l'enclos , de ne pas te lais« ser aller au sommeil, mais, dès que je t'appellerai, « de venir, et nous nous mettrons en marche.
Page 264 - Mon père, je vous rends grâce de ce que vous m'avez exaucé. Pour moi, je savais que vous m'exaucez toujours ; mais je dis ceci pour ce peuple qui m'environne, afin qu'il croie enfin que c'est vous qui m'avez envoyé.
Page 120 - Léon et toute sa race du joug de la servitude, lui donna des terres en propre, dans lesquelles il vécut libre le reste de ses jours avec sa femme et ses enfans. Sigewald , qui habitait l'Auvergne , y faisait beaucoup de mal , car il envahissait les biens de plusieurs ; et ses serviteurs ne s'épargnaient pas le vol , l'homicide , et divers crimes qu'ils commettaient par surprise ; et personne n'osait murmurer contre eux.
Page 90 - Ces paroles parvinrent aux oreilles de Clovis, qui crut qu'ils le menaçaient de laisser croître leur chevelure et de le tuer ; il ordonna alors qu'on leur tranchât la tête à tous deux. Après leur mort, il s'empara de leur royaume, de leurs trésors et de leurs sujets.

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