Mercure françias, Issue 1861804 |
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... pouvait fixer la croyance publique ? qui pouvait empêcher les peuples de se précipiter d'erreur en erreur , jusqu'aux derniers excès de l'athéisme ? Luther fut - il une autorité pour Carlostad ? em- pêcha - t - il Zuingle et OEcolampade ...
... pouvait fixer la croyance publique ? qui pouvait empêcher les peuples de se précipiter d'erreur en erreur , jusqu'aux derniers excès de l'athéisme ? Luther fut - il une autorité pour Carlostad ? em- pêcha - t - il Zuingle et OEcolampade ...
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... pouvait en- core l'ignorer , qu'il sache qu'elle est toujours accompa- gnée de la philantropie , et que qui que ce soit n'ose plus se dire malheureux avec d'aussi bons renseignemens , tout le monde doit aller tout droit au bonheur . Au ...
... pouvait en- core l'ignorer , qu'il sache qu'elle est toujours accompa- gnée de la philantropie , et que qui que ce soit n'ose plus se dire malheureux avec d'aussi bons renseignemens , tout le monde doit aller tout droit au bonheur . Au ...
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... pouvait commencer sa car- rière par des folies , jamais par des puérilités : cette pensée est applicable à M. de Mirabeau qui , tour- menté par les événemens et par les passions les plus violentes , fut toujours au - dessous de la place ...
... pouvait commencer sa car- rière par des folies , jamais par des puérilités : cette pensée est applicable à M. de Mirabeau qui , tour- menté par les événemens et par les passions les plus violentes , fut toujours au - dessous de la place ...
Page 549
... pouvait lire l'ouvrage qu'on ap- pelle son Esprit , il protesterait que ce n'est là que son esprit de révolution , qu'il en avait un autre beaucoup moins passionné , et qu'il ne lui a man- qué que du temps pour le faire connaître ...
... pouvait lire l'ouvrage qu'on ap- pelle son Esprit , il protesterait que ce n'est là que son esprit de révolution , qu'il en avait un autre beaucoup moins passionné , et qu'il ne lui a man- qué que du temps pour le faire connaître ...
Page 559
... pouvait tirer de la langue française pour la grande éloquence . Cet examen nous con- duira nécessairement à des détails sur cette époque de " notre littérature où nos grands écrivains commencèrent leurs travaux FRUCTIDOR AN XII . 559.
... pouvait tirer de la langue française pour la grande éloquence . Cet examen nous con- duira nécessairement à des détails sur cette époque de " notre littérature où nos grands écrivains commencèrent leurs travaux FRUCTIDOR AN XII . 559.
Contents
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Common terms and phrases
50 cent ALCINDE amant Ambroisine amour anglais auteur Bailly beau beauté Boileau bonheur caractère Champfort chants Charade charme chose cœur comédie Dalidor Dancourt dernier desirs Dieu dit-il donner écrivains enfans esprit fable femme Fénélon fille gens gloire goût grace héros heureux Homère homme idées j'ai jamais jeune jour juger l'amour l'auteur l'empereur l'esprit l'histoire Lachaussée Lafontaine langue lecteur lettres libraire littérature livre Logogriphe long-temps Louis Racine madame madame de Maintenon madame de Sévigné malheureux Marivaux Marmontel ment mérite Millevoye mœurs monde morale morceau Morwen Mulcé Normant ouvrage paraît parle passer passions pensée père Bougeant personne peuple philosophie pièce plaisir Plutarque poëme poésie poète politique poste prince principes prose qu'un quaker raison religion reste révolution rien roman rue des Prêtres Russie Saint-Germain-l'Auxerrois sait Sapho Schiller sentimens sentir serait seul siècle Sophie sort style succès sujet sur-tout talent teur théâtre tion traduction traits trouve vérité Villers Voltaire vrai yeux
Popular passages
Page 401 - Nous avons beau enfler nos conceptions, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est par-tout, la circonférence nulle part.
Page 401 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini , un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 588 - Quand Brutus inspirait au peuple romain un amour immense de la liberté , il ne songeait pas qu'il jetait dans les esprits le principe de cette licence effrénée par laquelle la tyrannie qu'il voulait détruire devait être un jour rétablie plus dure que sous les Tarquins. Quand les Césars flattaient les soldats, ils n'avaient pas dessein de donner des maîtres à leurs successeurs et à l'empire.
Page 401 - ... invinciblement cachés dans un secret impénétrable. Également incapable de voir le néant d'où il est tiré et l'infini où il est englouti...
Page 566 - C'est ce que vous reprochez à l'auteur du Cid, qui, vous avouant qu'il a violé les règles de l'art, vous oblige de lui avouer qu'il a un secret qui a mieux réussi que l'art même; et ne vous niant pas qu'il a trompé toute la cour et tout le peuple, ne vous laisse conclure...
Page 333 - Désirant non seulement que la France conserve la supériorité qu'elle a acquise dans les sciences et dans les arts, mais encore que le siècle qui commence l'emporte sur ceux qui l'ont précédé; « Voulant aussi connaître les hommes qui auront le plus participé à l'éclat des sciences, des lettres et des arts; « Nous avons décrété et décrétons ce qui suit : « Art. \". — II y aura de dix ans en dix ans. le jour anniversaire du 18 brumaire, une distribution de grands prix donnés de...
Page 527 - Je monte au trône où m'ont appelé le vœu unanime du Sénat, du peuple et de l'armée, le cœur plein du sentiment des grandes destinées de ce peuple que, du milieu des camps, j'ai le premier salué du nom de Grand.
Page 359 - Une sorte d'inspiration surnaturelle anime toutes leurs pensées : un mouvement irrésistible est donné à toutes leurs entreprises. La multitude les cherche encore au milieu d'elle, et ne les trouve plus ; elle lève les yeux en haut, et voit, dans une sphère éclatante de lumière et de gloire, celui qui ne semblait qu'un téméraire aux yeux de l'ignorance et de l'envie.
Page 271 - Mais je croirais qu'il seroit à propos de mettre nos poètes un peu plus au large sur les rimes, pour leur donner le moyen d'être plus exacts sur le sens et sur l'harmonie.
Page 502 - C'est ce qu'on demande aujourd'hui : on veut de la nouveauté et de la gaieté. Je n'appelle pas gaieté ce qui excite le rire ; mais un certain charme, un air agréable qu'on peut donner à toutes sortes de sujets, même les plus sérieux.