La politique nationale |
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anglais Angleterre armée aujourd'hui Berryer Bismarck budget c'était cabinet candidat candidature officielle Chambre CHAPITRE Châteaubriand choses conscience considérations Corps législatif démocratie dépenses député devant dire discours doit dynastie électeurs électorale emprunter Ernest Picard esprit Est-ce finances force garantie génie gloire gouvernement grandeur guerre hommes d'État impérial intérêts jour journaux Jules Favre justice l'Allemagne l'Angleterre l'Autriche l'avenir l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'histoire l'opinion laisse Lamartine libéral liberté lord Louis-Philippe main ment mexicain Mexique militaire milliards millions ministre monde morale Moscou moyens Napoléon Napoléon III nation nationale noble Odessa orateur paix pareil parlementaire parole passé patriotisme pays pensée péril peuple politique pouvoir préfet presse prince principes Prusse prussienne public publique puissance qu'un question responsabilité reste réunion révolution Rouher Russie Saint-Pétersbourg saurait Séguier sentiment serait seul situation sorte souscription Baudin souvenir souvenirs souverain suffrage universel sujet système Terespol Thiers tion traité traité de Prague tribune Varsovie vérité Voilà voix vote
Popular passages
Page 146 - Monsieur, je m'empresse de vous accuser réception de votre lettre en date de ce jour, et de vous faire connaître que je donne ma complète adhésion aux conditions éventuelles qu'elle renferme.
Page 434 - Considérant que, d'après l'ancien droit public de la France, maintenu par le décret du 21 septembre 1790 et par la loi du 8 novembre 1814, tous les biens qui appartenaient aux princes lors de leur avènement au trône étaient de plein droit et à l'instant même réunis au domaine de la couronne...
Page 166 - ... de voir, disons-nous, cette dispersion applaudie comme le chef-d'œuvre de la philosophie. Et où était donc le crime de nos aïeux, pour traiter ainsi leurs restes, sinon d'avoir mis au jour des fils tels que nous?
Page 434 - IV, applaudissant plus tard à cette fermeté, rendit, au mois de juillet 1601, un édit qui révoquait ses premières lettres patentes ; Considérant que cette règle fondamentale de la monarchie a été appliquée sous les règnes de Louis XVIII et de Charles X, et reproduite dans la loi du 15 janvier 1825; Qu'aucun acte législatif ne l'avait révoquée le 9 août 1830, lorsque Louis-Philippe a accepté la couronne ; qu'ainsi, par le fait seul de...
Page 29 - Bon, reprit-il, la nation sait-elle ce qu'elle veut? On lui fera vouloir et on lui fera dire ce qu'elle n'a jamais pensé ; et si elle en doute, on lui répondra comme Crispin au Légataire : C'est votre léthargie. La nation est un grand troupeau qui ne songe qu'à paître, et qu'avec de bons chiens les bergers mènent à leur gré.
Page 434 - Les biens particuliers du prince qui parvient au trône et ceui qu'il acquiert pendant son règne, à quelque titre que ce soit, sont de plein droit, et à l'instant même, unis au domaine de la Nation, et l'effet de cette union est perpétuel et irrévocable.
Page 434 - ... considérant que la donation universelle sous réserve d'usufruit, consentie par Louis-Philippe au profit de ses enfants, à l'exclusion de l'aîné de ses fils, le 7 août 1830, le jour même où la royauté lui avait été déférée, et avant son acceptation, qui eut lieu le 9 du même mois, a eu uniquement pour but d'empêcher...
Page 488 - Le préfet de police à Paris, les préfets dans les départements peuvent ajourner toute réunion qui leur paraît de nature à troubler l'ordre ou à compromettre la sécurité publique. L'interdiction de la réunion ne peut être prononcée que par décision du ministre de l'Intérieur.
Page 435 - ... comme sous l'ancienne monarchie, une autorité compétente pour réprimer la violation des principes du droit public, dont la garde était anciennement confiée aux parlements; qu'en se réservant l'usufruit des biens compris dans la donation, Louis-Philippe ne se dépouillait de rien et voulait seulement assurer à sa famille un patrimoine devenu celui de l'État...
Page 434 - Le Président de la République, • Considérant que, sans vouloir porter atteinte au droit de propriété dans la personne des princes de la famille d'Orléans, le Président de la République ne justifierait pas...