Histoire complète de la Révolution française, Volume 3 |
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... regard mélan- colique était presque éteint , mais il se rallumait tout à coup et jetait de vives étincelles . Vergniaud ne s'élançait pas comme Mirabeau à la tribune : il Ꭹ allait d'un pas lent et indécis , comme un homme qui pourrait ...
... regard mélan- colique était presque éteint , mais il se rallumait tout à coup et jetait de vives étincelles . Vergniaud ne s'élançait pas comme Mirabeau à la tribune : il Ꭹ allait d'un pas lent et indécis , comme un homme qui pourrait ...
Page 98
... regards inquiets sur cette enceinte , sentirez le besoin de reprendre toutes vos forces ; qui ajournerez après la guerre nos bruyantes querelles , nos misérables dissen- sions ! ... « Vous , enfin , à qui chaque jour découvre un im ...
... regards inquiets sur cette enceinte , sentirez le besoin de reprendre toutes vos forces ; qui ajournerez après la guerre nos bruyantes querelles , nos misérables dissen- sions ! ... « Vous , enfin , à qui chaque jour découvre un im ...
Page 114
... regards fixés sur eux , et les empêcher d'exécuter leurs complots . Le gouvernement passe évidemment du roi à la nation ; notre sort est désormais entre nos mains , il ne dépend plus d'un homme incapable , perfide et lâche . Mais que ...
... regards fixés sur eux , et les empêcher d'exécuter leurs complots . Le gouvernement passe évidemment du roi à la nation ; notre sort est désormais entre nos mains , il ne dépend plus d'un homme incapable , perfide et lâche . Mais que ...
Page 120
... ou qui allaient mourir sur la frontière , attirait les regards . On lisait sur un des côtés du monument : Tremblez , tyrans ! nous les vengerons ! A l'extrémité du Champ de Mars , du côté de 120 RÉVOLUTION FRANÇAISE .
... ou qui allaient mourir sur la frontière , attirait les regards . On lisait sur un des côtés du monument : Tremblez , tyrans ! nous les vengerons ! A l'extrémité du Champ de Mars , du côté de 120 RÉVOLUTION FRANÇAISE .
Page 156
... regards ; main- tenant il va mourir ou vaincre avec ses compatriotes . Ce généreux Décius et ses collègues montrent toute l'audace d'une grande résolution ; mais effrayés par des symptômes de divisions , ils se méfient encore d'une ...
... regards ; main- tenant il va mourir ou vaincre avec ses compatriotes . Ce généreux Décius et ses collègues montrent toute l'audace d'une grande résolution ; mais effrayés par des symptômes de divisions , ils se méfient encore d'une ...
Common terms and phrases
10 août accusations applaudissemens armée armes attaque aurait Autrichiens avaient Barbaroux bataillons Beurnonville Brissot Brunswick camp camp de Maulde canon cents Chabot château chef circonstances citoyens Clairfayt cœur comité commandant commissaires Commune conseil conspirateurs constitution Convention nationale coupable cour courage crimes cris d'accusation dangers Danton déclaration décret défenseurs demande départemens députés devant Dumouriez émigrés ennemis événemens fédérés Feuillans force française fureur garde nationale général Gironde Girondins Guadet guerre Jacobins jour journée juger l'armée l'Assemblée nationale l'ennemi l'orateur Lafayette laisser législative liberté Longwy Louis XVI Louvet madame maire malheureux Marat Marie-Antoinette membres menaces mille hommes ministre mort municipalité n'avait nation paroles patrie patriotes Pétion pétitionnaires peuple porter position pouvait pouvoir exécutif prince projet Prusse Prussiens reine représentans république reste révolution révolutionnaire Robespierre Roland royale royauté salut Santerre sauver séance sections sentiment serait seul soldats sort Suisses terrible tête tion tribunal tribune troupes Tuileries vengeance Vergniaud voix voulait
Popular passages
Page 99 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 191 - L'Assemblée nationale , considérant que les dangers de la patrie sont parvenus à leur comble ; « Que c'est pour le Corps législatif le plus saint des devoirs d'employer tous les moyens de la sauver \ qu'il est impossible d'en trouver d'efficaces, tant...
Page 334 - Si j'avais voulu seulement mettre un prix à mon silence je serais gorgé d'or, et je suis pauvre. Pour servir ma patrie j'ai bravé la misère, les dangers, les souffrances; poursuivi sans cesse par des légions d'assassins, j'ai erré trois ans de souterrain en souterrain; j'ai prêché la vérité la tête sur le billot ! Si Lafayette , ou tout autre ennemi de la liberté , s'était emparé de ma personne , le plus ardent défenseur du peuple n'existerait plus ! » Pourvous, daignez ouvrir les...
Page 101 - Constitution et l'empire? Non, non, homme que la générosité des Français n'a pu émouvoir, homme que le seul amour du despotisme a pu rendre sensible, vous n'avez pas rempli le vœu de la Constitution ! Elle est peut-être renversée ; mais vous ne recueillerez pas le fruit de votre parjure!
Page 421 - Un jour peut-être, les hommes, aussi éloignés de nos préjugés que nous le sommes de ceux des Vandales, s'étonneront de la barbarie d'un siècle où ce fut quelque chose...
Page 45 - La fermentation est extrême dans toutes les parties de l'empire ; elle éclatera d'une manière terrible, à moins qu'une confiance raisonnée dans les intentions de Votre Majesté ne puisse enfin la calmer ; mais cette confiance ne s'établira pas sur des protestations : elle ne saurait plus avoir pour base que des faits.
Page 46 - Majesté, par une proclamation vraiment impolitique dans la circonstance; la situation de Paris, sa proximité des frontières, ont fait sentir le besoin d'un camp dans son voisinage. Cette mesure, dont la sagesse et l'urgence ont frappé tous les bons esprits, n'attend encore que la sanction de Votre Majesté. Pourquoi faut-il que des retards lui donnent l'air du regret, lorsque la célérité lui gagnerait tous les cœurs?
Page 455 - Hier, fut un jour sur les événemens duquel il faut peutêtre laisser un voile ; je sais que le peuple, terrible dans sa vengeance , y porte encore une sorte de justice ; il ne prend pas pour victime tout ce qui se présente à sa fureur ; il la dirige sur ceux qu'il croit avoir été trop long-temps épargnés par le glaive de la loi , et que le péril des circonstances lui persuade devoir être immolés sans délais.
Page 318 - Nous venons de renouveler notre serment d'être fidèles à la nation , de maintenir la liberté et l'égalité ou de mourir à notre poste. Nous ne sommes pas des parjures. Signé : André, maire, et Rohart, secrétaire greffier.
Page 46 - Il n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La Révolution est faite dans les esprits : elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par lui, si la sagesse ne prévient pas les malheurs qu'il est encore possible d'éviter.