Journal inédit de Jean-Baptiste Colbert, marquis de Torcy ...: pendant les années 1709, 1710 et 1711 |
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... comptes , des conseillers au Parlement ; chacun des Villacerf a quelqu'une de ces charges . Tout le monde est employé , tout le monde , petit ou grand , concourt à la grandeur de la maison en faisant sa propre fortune . Jean - Baptiste ...
... comptes , des conseillers au Parlement ; chacun des Villacerf a quelqu'une de ces charges . Tout le monde est employé , tout le monde , petit ou grand , concourt à la grandeur de la maison en faisant sa propre fortune . Jean - Baptiste ...
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... compte de ses audiences , et ses premières dépêches sont fort approuvées . De Lisbonne , il doit passer à Madrid ; mais la paix n'est point conclue encore entre la France et l'Espagne . Il reste donc à Lisbonne , admis aux conférences ...
... compte de ses audiences , et ses premières dépêches sont fort approuvées . De Lisbonne , il doit passer à Madrid ; mais la paix n'est point conclue encore entre la France et l'Espagne . Il reste donc à Lisbonne , admis aux conférences ...
Page xiii
... compte à Louis XIV , avec une minutie qui peut paraître extréme , des détails du cérémonial , des pas qu'a faits le Roi 1 Voir à ce sujet une lettre curieuse BIBLIOTHÈQUE NATIONALE , fonds français , marque pour le recevoir , de la ...
... compte à Louis XIV , avec une minutie qui peut paraître extréme , des détails du cérémonial , des pas qu'a faits le Roi 1 Voir à ce sujet une lettre curieuse BIBLIOTHÈQUE NATIONALE , fonds français , marque pour le recevoir , de la ...
Page xv
... compte de tout . Il revient , se rassied à sa table près de son père , dépouille les courriers , reprend le travail interrompu des dépêches à lire et à rédiger . En août 1689 , le Pape Innocent XI meurt . INTRODUCTION . XV.
... compte de tout . Il revient , se rassied à sa table près de son père , dépouille les courriers , reprend le travail interrompu des dépêches à lire et à rédiger . En août 1689 , le Pape Innocent XI meurt . INTRODUCTION . XV.
Page xx
... compte de tout ce qu'il voyait et entendait , cette étude des vieilles dépêches , cette entrée graduelle dans les affaires , cette con- naissance de quatre langues étrangères , c'était bien peut - être de quoi former un diplomate . Et ...
... compte de tout ce qu'il voyait et entendait , cette étude des vieilles dépêches , cette entrée graduelle dans les affaires , cette con- naissance de quatre langues étrangères , c'était bien peut - être de quoi former un diplomate . Et ...
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Common terms and phrases
AFFAIRES ÉTRANGÈRES alliés ambassadeur avaient avis Beauvilliers Bergheick Blécourt c'était cardinal de Bouillon cardinal de Noailles Catholique Cologne commanda comte de Bergheick conférences Conseil courrier croyait d'Angleterre d'Espagne Dangeau décembre demander dépêches donner duc d'Albe duc de Bourgogne duc de Noailles duc de Savoie duc de Vendôme Écosse ennemis envoyé Espagne eût fallait février fût Gaultier guerre Haye Hollande j'avais janvier jour juin l'abbé de Polignac l'Archiduc l'armée l'avait l'Électeur de Bavière l'Électeur de Cologne l'Empereur lettre m'avait madame de Maintenon madame des Ursins madame la duchesse Madrid maître Majesté maréchal de Villars Marlborough Marly matin ministres Monastérol mort n'avait n'était négociation neutralité novembre ordres paix Pape paraissait parler passer Pays-Bas Pensionnaire persuadé petit-fils Pettekum Philippe Plénipotentiaires pouvait préliminaires prince projet propos proposition quatre places raison rendre réponse résolution Rome royaume s'était Saint-Simon Sainteté secrétaire d'État serait seulement soir Torcy Tournay traité troupes trouver Venise Versailles voulait Voysin
Popular passages
Page xxxii - J'aurais accepté, pour le rétablir1, des conditions bien opposées à la sûreté de mes provinces frontières; mais plus j'ai témoigné de facilité et d'envie de dissiper les ombrages que mes ennemis affectent de conserver de ma puissance et de mes desseins, plus ils ont multiplié leurs prétentions ; en sorte qu'ajoutant par degrés de nouvelles demandes aux premières...
Page xxxiii - ... quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfans, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je...
Page xxxii - L'espérance d'une paix prochaine était si généralement répandue dans mon royaume, que je crois devoir à la fidélité que mes peuples m'ont témoignée pendant le cours de mon règne, la consolation de les informer des raisons qui empêchent encore qu'ils ne jouissent du repos que j'avais dessein de leur procurer.
Page xvii - il a fallu que je lui ordonne de se retirer, parce que tout ce « qui passait par lui perdait de la grandeur et de la force qu'on « doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France.
Page xxxiii - ... celui d'une suspension d'armes, dont le terme, borné à l'espace de deux mois, leur procurait des avantages plus considérables qu'ils ne peuvent en espérer de la confiance qu'ils ont en leurs troupes. Comme je mets la mienne en la protection de Dieu...
Page xxxiii - ... à quelques-unes de mes provinces frontières. Je passe sous silence les insinuations qu'ils m'ont faites de joindre mes forces à celles de la ligue, et de contraindre le Roi mon petitfils à descendre du trône, s'il ne consentoit pas volontairement à vivre désormais sans Etats, et à se réduire à la simple condition d'un particulier.
Page lii - L'histoire peut montrer des hommes d'Etat plus heureux, elle en trouvera peu de plus honnêtement habiles; elle n'en rencontrera point qui aient uni à un plus généreux patriotisme, à une fidélité plus complète, un sens plus exact des besoins et des intérêts de la France, une netteté plus grande dans l'exposition des idées, une portée d'esprit plus i.
Page xxxii - Ils refusoient de prendre de leur côté d'autre engagement que de faire cesser tous actes d'hostilités jusqu'au premier du mois d'août, se réservant la liberté d'agir alors par la voie des armes, si le roi d'Espagne mon petit-fils...
Page xxxii - Etats voisins de la France, et de s'ouvrir des voies faciles pour pénétrer dans l'intérieur de mon royaume toutes les fois qu'il conviendroit à leurs intérêts de commencer une nouvelle guerre.