nel an traité entre la France el intérieure, il ne lui paraissait Les avis n'ayant pu se régoir sur cet obe jet, on en a ajourné la discussion à une séance prochaine. Séance du 14. Détembre 1814. La question de l'abolition de la traité des nègres a été reprise ; mais la discussion n'ayant pas amené de résultat, elle a été ojournée à une autre séance. Séance du 16. Janvier 1815. Lord Castlereagh a renouvelé sa proposition de s'occuper des moyens de faire cesser universellement la traite des noirs. Son avis a été, qu'il ne fallait pas pommer pour cet effet une Commission proprement dite, mais traiter la question dans l'assemblée des huit puissances, en les invitant à nommer chacune un de leurs plénipotentiaires pour former des séances particulières, exclusivement consacrées à cet objet, sauf à rendre compte du résultat des délibérations à l'as, semblée générale. M. le comte Palmella a combattu cette proposition, en déclarant qu'il ne concevait pas pourquoi la marche généralement observée jusqu'ici, de ne faire intervenir dans les discussions que les puissances plus ou moins intéressées aux objets qui se traitaient, ne, s'appliquerait pas de même à la question de l'abolition de la traite des noirs; question, qui ne regardait absolument que les puissances possédant des colonies, M. le plénipoteuliaire s'est opposé au . projet de délibérer sur celle question dans un comité composé des plénipotentiaires des huit puissances, en ajoutant que les puissances sans de Labrador, plénipotentiaiique, s'est joint à cette prog 1, Lord Castlereagh, premier S. M. Britannique, a obseri de la traite des négres ne sidérée uniquement dans ses u tel iutérêt local; ou apec lière de tel ou tel pays, mais i intéressant essentiellement ne pouvait qu'adhérer à la : oben, 30. I, Heft 1, 6. 29 fr |