La coalition de 1701 contre la France, Volume 1E. Plon, Nourrie et cie, 1886 - Europe |
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Page xvii
... ment injustes , les duchés de Veldentz et des Deux- Ponts , les principautés de Saarbrück et de Saarwerden , celle de Montbéliard , tous les États d'Alsace jadis fiefs immédiats de l'Empire , jusqu'à la Queich , entre autres Strasbourg ...
... ment injustes , les duchés de Veldentz et des Deux- Ponts , les principautés de Saarbrück et de Saarwerden , celle de Montbéliard , tous les États d'Alsace jadis fiefs immédiats de l'Empire , jusqu'à la Queich , entre autres Strasbourg ...
Page xviii
... ment provoquées , convoitait sa couronne et guettait le moment de la lui ravir . Jacques pouvait compter sur l'assistance active et cordiale de Louis . Guillaume le savait , et c'était surtout afin de paralyser cette assis- tance qu'il ...
... ment provoquées , convoitait sa couronne et guettait le moment de la lui ravir . Jacques pouvait compter sur l'assistance active et cordiale de Louis . Guillaume le savait , et c'était surtout afin de paralyser cette assis- tance qu'il ...
Page xx
... , sans la triomphante défaite que Tourville essuya , près du fort de la Hogue , après avoir vaillam- ment soutenu contre les flottes alliées , malgré lui et pour obéir aux ordres formels du Roi , une lutte XI INTRODUCTION .
... , sans la triomphante défaite que Tourville essuya , près du fort de la Hogue , après avoir vaillam- ment soutenu contre les flottes alliées , malgré lui et pour obéir aux ordres formels du Roi , une lutte XI INTRODUCTION .
Page xxxiii
... elle , le plus implacable des ennemis . En suppo- sant , ce qui était peu probable , que l'issue de cette lutte fût heureuse , et qu'elle nous donnât , conformé- ር ment au traité , le royaume de Naples , les I. INTRODUCTION . XXXIII.
... elle , le plus implacable des ennemis . En suppo- sant , ce qui était peu probable , que l'issue de cette lutte fût heureuse , et qu'elle nous donnât , conformé- ር ment au traité , le royaume de Naples , les I. INTRODUCTION . XXXIII.
Page xxxiv
Marie René Roussel marquis de Courcy. ment au traité , le royaume de Naples , les ports de la Toscane , la Lorraine , pouvait - on espérer , d'après les dures instructions des siècles passés , qu'il fût possible de conserver en Italie ...
Marie René Roussel marquis de Courcy. ment au traité , le royaume de Naples , les ports de la Toscane , la Lorraine , pouvait - on espérer , d'après les dures instructions des siècles passés , qu'il fût possible de conserver en Italie ...
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Common terms and phrases
alliés ambassadeur Anglais Annexe armée autrichienne avaient Barcelone bataille Bavière Berwick Boufflers C'était cardinal Castille Catalogne Catinat Chamillard commandait comte conseil couronne d'Espagne d'État d'Utrecht Denain diplomatie duc de Noailles duc de Savoie Dunkerque Dussen ennemis Espagne espagnole États États-Généraux Eugène de Savoie Flandre forces française frontières gouvernement gouverneur guerre habile Hanovre Haye Heinsius Hollande impériale l'Angleterre l'archiduc l'armée l'Autriche l'Électeur de Bavière l'Empereur l'Empire l'ennemi Landau Landrecies Léopold lieues nord lieues nord-ouest lieues sud-est lieutenant général Lille Louis XIV madame de Maintenon madame des Ursins Madrid maison d'Autriche Majesté maréchal Marlborough Mémoires de Saint-Simon Mémoires de Torcy ment militaires mille habitants mille hommes ministre mort mourut n'avait négociations Noailles paix Pays-Bas pendant petit-fils Pettekum Philippe Philippsbourg plénipotentiaires politique Pologne prince Eugène princesse des Ursins reine Anne Rhin Rouillé royaume Ryswyk s'était Saint-John secret sera siége située soldats succession tion Torcy traité troupes Utrecht Vendôme victoire Villars
Popular passages
Page 113 - Par toutes les recherches que j'ai pu faire, depuis plusieurs années que je m'y applique, j'ai fort bien remarqué que dans ces derniers temps, près de la dixième partie du peuple est réduite à la mendicité, et mendie effectivement ; que des neuf autres parties, il y en a cinq qui ne sont pas en état...
Page 113 - ... trois sont fort malaisées et embarrassées de dettes et de procès; et que dans la dixième, où je mets tous les gens d'épée, de robe, ecclésiastiques et laïques, toute la noblesse haute, la noblesse distinguée et les gens en charge militaire et civile, les bons marchands, les bourgeois rentes et les plus accommodés, on ne peut pas compter sur cent mille familles...
Page 257 - ... quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfans, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je...
Page xxxiv - Soyez bon Espagnol, c'est présentement votre premier devoir; mais souvenez-vous que vous êtes né Français, pour entretenir l'union entre les deux nations; c'est le moyen de les rendre heureuses et de conserver la paix de l'Europe.
Page 450 - Ce prélat était un grand homme maigre, bien fait, pâle, avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pouvait oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fois. Elle rassemblait tout, et les contraires ne s'y combattaient point.
Page 139 - Un faux dégel fondit les neiges qui avaient couvert la terre pendant ce temps-là; il fut suivi d'un subit renouvellement de gelée aussi forte que la précédente , trois autres semaines durant. La violence...
Page 141 - Notre père, qui êtes à Versailles, votre nom n'est plus glorifié ; votre royaume n'est plus si grand ; votre volonté n'est plus faite ni sur la terre ni sur l'onde. Donnez-nous notre pain, qui nous manque de tous côtés. Pardonnez à nos ennemis, qui nous ont battus, et non à nos généraux, qui les ont laissés faire.
Page 142 - On ne peut plus faire le service qu'en escroquant de tous côtés ; c'est une vie de bohèmes , et non pas de gens qui gouvernent. Il paraît une banqueroute universelle de la nation. Nonobstant la violence et...
Page 495 - Personne n'avait plus de belles-lettres ; ravissant à mettre les choses les plus abstraites à la portée commune, amusant en récits, et possédant l'écorce de tous les arts, de toutes les fabriques, de tous les métiers. Ce qui appartenait au sien, au savoir et à la profession ecclésiastique, c'était où il était le moins versé.