Correspondance inédite du prince de Talleyrand et du roi Louis XVIII pendant le Congrès de Vienne |
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... aurait - il donc eu raison dans sa fameuse maxime sur les restaurations ? ... >> ( Déjà en 1810 il disait à M. de Metternich : « Savez- vous pourquoi Louis XVIII n'est point assis ici en face de vous ? Ce n'est que parce que j'y suis ...
... aurait - il donc eu raison dans sa fameuse maxime sur les restaurations ? ... >> ( Déjà en 1810 il disait à M. de Metternich : « Savez- vous pourquoi Louis XVIII n'est point assis ici en face de vous ? Ce n'est que parce que j'y suis ...
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... aurait vingt , et l'Allemagne entière lui serait soumise . Il est donc nécessaire de mettre un frein 1 Une alliance entre la France et la Prusse avait été considérée comme propre à maintenir la paix sur le continent . Mais une alliance ...
... aurait vingt , et l'Allemagne entière lui serait soumise . Il est donc nécessaire de mettre un frein 1 Une alliance entre la France et la Prusse avait été considérée comme propre à maintenir la paix sur le continent . Mais une alliance ...
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... aurait - elle pas été hâtée d'un demi- siècle ? L'existence d'une Saxe autonome garantissait l'in- dépendance d'une Allemagne fédérative , en même temps qu'au point de vue stratégique , elle empêchait le large contact immédiat de la ...
... aurait - elle pas été hâtée d'un demi- siècle ? L'existence d'une Saxe autonome garantissait l'in- dépendance d'une Allemagne fédérative , en même temps qu'au point de vue stratégique , elle empêchait le large contact immédiat de la ...
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... aurait trop l'air d'une Restau- ration , et vous devez vous souvenir d'une chose que « 1 C'est dans cette même lettre qu'il disait : « La France ne doit pas son- ger à faire ce qu'on appelle des alliances , et elle doit être bien avec ...
... aurait trop l'air d'une Restau- ration , et vous devez vous souvenir d'une chose que « 1 C'est dans cette même lettre qu'il disait : « La France ne doit pas son- ger à faire ce qu'on appelle des alliances , et elle doit être bien avec ...
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... a tracée à ses ministres est si noble , qu'elle doit nécessairement , si toute raison n'a pas disparu de dessus la ... aurait dû être la Saxe , qui par le fait était exclue . 4 Sans doute par l'adjonction du grand - duché de Bade . - 1 ...
... a tracée à ses ministres est si noble , qu'elle doit nécessairement , si toute raison n'a pas disparu de dessus la ... aurait dû être la Saxe , qui par le fait était exclue . 4 Sans doute par l'adjonction du grand - duché de Bade . - 1 ...
Contents
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Common terms and phrases
affaires alliés armées arrangements assez aujourd'hui aurait autrichienne avaient avril Bavière Blacas Buonaparte choses comte conférence Congrès de Vienne consentement courrier D'ANGEBERG décembre déclaration demande Département désire dire dispositions donner duc de Wellington duché de Varsovie États février force fùt Gand général Pozzo Gouvernement guerre Hardenberg intérêts j'ai eu l'honneur j'ai l'honneur j'ai reçu j'avais janvier Jaucourt à Talleyrand jours l'affaire de Naples l'Allemagne l'Angleterre l'Archiduchesse l'Autriche l'Empereur Alexandre l'Empereur d'Autriche l'Empereur de Russie l'Europe l'île d'Elbe l'Italie l'opinion laisser légitimité lettre lord Castlereagh Louis XVIII Majesté maréchal mars ment mille hommes ministres Moniteur universel Murat Napoléon nation négociations Nesselrode novembre octobre paix parle plénipotentiaires politique Pologne pourrait pouvait prince de Metternich PRINCE DE TALLEYRAND principes projet Prusse Prussiens puissances question raison reçu votre numéro rendre reste Rhin rien Royaume de Saxe s'est sentiments sera seule SIRE Souverains Suisse Talleyrand à Jaucourt tion traité troupes trouver voulait
Popular passages
Page 340 - Dans le délai de deux mois, toutes les puissances qui ont été engagées de part et d'autre dans la présente guerre, enverront des plénipotentiaires à Vienne, pour régler, dans un congrès général, les arrangements qui doivent compléter les dispositions du présent traité.
Page 77 - J'ai peut-être mis un peu d'expression à cette dernière partie de ma phrase. Après un moment de silence : « Le roi de Prusse, me dit-il, sera roi de Prusse et de Saxe, comme je serai empereur de Russie et roi de Pologne. Les complaisances que la France aura pour moi sur ces deux points seront la mesure de celles que j'aurai moi-même pour elle sur tout ce qui peut l'intéresser.
Page 341 - La disposition à faire des territoires auxquels Sa Majesté Très Chrétienne renonce par l'article 3 du traité patent et les rapports desquels doit résulter un système d'équilibre réel et durable en Europe, seront réglés au congrès, sur les bases arrêtées par les puissances alliées entre elles...
Page 286 - SM l'empereur Napoléon renonce, pour lui et ses successeurs et descendants, ainsi que pour chacun des membres de sa famille, à tout droit de souveraineté et de domination, tant sur l'empire français et le royaume d'Italie que sur tout autre pays.
Page 467 - ... on se demande ce que c'est que la légitimité, d'où elle provient, ce qui la constitue. » Lorsque les sentiments religieux étaient profondément gravés dans les cœurs, et qu'ils étaient tout-puissants sur les esprits, les hommes pouvaient croire que la puissance souveraine était une émanation de la Divinité. Ils pouvaient croire que les familles que la protection du ciel avait placées sur les trônes, et que sa volonté y avait longtemps maintenues, régnaient sur eux de droit divin.
Page 286 - France, produisant un revenu annuel , net , et déduction faite de toutes charges , de deux millions cinq cent mille francs. Ces domaines ou rentes appartiendront en toute propriété , et pour en disposer comme bon leur semblera , aux princes et princesses de sa famille , et seront répartis entre eux , de manière...
Page 46 - L'empereur Alexandre disait il ya peu de jours : « Talley« rand fait ici le ministre de Louis XIV. » M. Humboldt, cherchant à séduire en même temps qu'à intimider M. de SchuIenburg, ministre de Saxe, lui disait : «Le ministre de France « se présente ici avec des paroles assez nobles ; mais ou elles « cachent une arrière-pensée, ou il n'ya rien derrière pour « les soutenir. Malheur donc à ceux qui voudraient y croire ! » Le moyen de faire tomber tous ces propos et de faire cesser...
Page 213 - ... de repousser toute agression à laquelle leurs propres possessions ou celles de l'un d'eux pourraient se trouver exposées, en haine des propositions qu'ils auraient cru de leur devoir de faire et de soutenir d'un commun accord, par principe de justice et d'équité; et n'ayant pas moins à...
Page 21 - Koi passent mes espérances. — A présent parlons de nos affaires; il faut que nous les finissions ici. — — Cela dépend de Votre Majesté : elles finiront promptement et heureusement si Votre Majesté y porte la même noblesse et la même grandeur d'âme que dans celles de la France.