Revue des deux mondes, Volume 89François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1870 - France |
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... général de l'Aisne ( 1869 ) , et sur laquelle M. Bon- jour , à propos de la dernière exposition universelle , avait appelé déjà l'attention . Depuis vingt ans , la fabrication de la laine s'est accrue chez nous dans des proportions ...
... général de l'Aisne ( 1869 ) , et sur laquelle M. Bon- jour , à propos de la dernière exposition universelle , avait appelé déjà l'attention . Depuis vingt ans , la fabrication de la laine s'est accrue chez nous dans des proportions ...
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... . Wells , secrétaire- général du revenu , qui conclut à un prompt abaissement des tarifs de douanes , partageant en cela l'opinion générale du peuple améri- cain ( 1 ) . M. Wells fait remarquer avec ÉTUDES D'ÉCONOMIE RURALE . 61.
... . Wells , secrétaire- général du revenu , qui conclut à un prompt abaissement des tarifs de douanes , partageant en cela l'opinion générale du peuple améri- cain ( 1 ) . M. Wells fait remarquer avec ÉTUDES D'ÉCONOMIE RURALE . 61.
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... général des hos- pices . Depuis ce temps , et malgré de nombreux procès que les sieurs Gloux et Duchayla intentèrent à l'administration municipale , l'institution fonctionna avec régularité . Elle recueillit bien des exis- tences qui ...
... général des hos- pices . Depuis ce temps , et malgré de nombreux procès que les sieurs Gloux et Duchayla intentèrent à l'administration municipale , l'institution fonctionna avec régularité . Elle recueillit bien des exis- tences qui ...
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... général . Cette mesure équivalait à ce que nous nommons aujourd'hui un décret en reconnaissance d'uti- lité publique . Dès lors l'établissement prospéra , et fut assuré de ne point périr faute de ressources , comme il en avait été si ...
... général . Cette mesure équivalait à ce que nous nommons aujourd'hui un décret en reconnaissance d'uti- lité publique . Dès lors l'établissement prospéra , et fut assuré de ne point périr faute de ressources , comme il en avait été si ...
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... général sans enfans , avait adopté une petite fille trouvée qui devint plus tard Mme de Ville , et à laquelle , après la mort de sa femme , il remit une somme de 100,000 écus provenant de l'héritage de celle - ci . Mme de Ville ...
... général sans enfans , avait adopté une petite fille trouvée qui devint plus tard Mme de Ville , et à laquelle , après la mort de sa femme , il remit une somme de 100,000 écus provenant de l'héritage de celle - ci . Mme de Ville ...
Contents
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Common terms and phrases
agricole allemande anglais armée assez aujourd'hui aurait avaient belligérans Bicêtre Bismarck bonne c'était cabinet campagne cause Césarine chef chevaux chevaux de selle chose cœur confédération crédit crédit agricole défense Denain devant Dietrich dinornis dire donner doute enfans ennemis esprit états Européens eût femme financiers force général gouvernement guerre habitans heures hommes j'ai jamais Jean Giraud jour Jules Favre kilogrammes l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'ennemi l'Europe l'hospice laines laisser Lamartine Landrecies lord Bolingbroke Louis XIV lutte LXXXIX maison malheur Marchiennes maréchal Marguerite marquis marquise ment militaire millions ministre monde moyen n'avait n'était nation nationale navires neveu paix passé patriotisme Paul Paul Gilbert pays pensée personne peuple peut-être politique Pombal population porte pouvait premier presque prince Eugène produit Prusse Prussiens puissance qu'un race ressources reste rien Rivonnière s'est s'il sais Samoa semble sentiment serait sérieux seul siége sorte surtout tion Torcy troupes trouver Turcaret Valbonne vicinaux Villars voilà voulait
Popular passages
Page 105 - La course est et demeure abolie. 2° Le pavillon neutre couvre la marchandise ennemie, à l'exception de la contrebande de guerre. 3" La marchandise neutre, à l'exception dela contrebande de guerre, n'est pas saisissable sous pavillon ennemi. 4°...
Page 79 - Or sus, Mesdames, la compassion et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos enfants. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis que leurs mères selon la nature les ont abandonnés. Voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges : leur vie et leur mort sont entre vos mains.
Page 76 - L'article 8 du règlement spécial est formel : « L'Institution de Sainte-Périne est destinée à venir en aide, sur la fin de leur carrière, à d'anciens fonctionnaires, à des veuves d'employés, à des personnes qui ont connu l'aisance et sont déchues d'une position honorable. On y est admis à partir de l'âge de soixante ans révolus. » La pension est de 850 francs, indépendamment d'une somme annuelle de 100 francs destinée à représenter la valeur du mobilier et du trousseau.
Page 664 - Dieu qui puisse abolir cette loi, sur laquelle le droit de votre succession est fondé ; mais vous nous permettrez aussi de croire, dans la Grande-Bretagne, qu'un prince peut renoncer à ses droits par une cession volontaire ; et que celui en faveur de qui cette renonciation se fait peut être soutenu avec justice dans ses prétentions par les puissances qui ont accepté la garantie du traité.
Page 601 - ... forces, toujours propre au rôle qu'on lui assigne, si ce rôle n'a rien que d'honorable; toujours supérieur au fardeau qu'on lui impose, s'il consent à l'accepter; toujours prêt au dévouement, si la conscience le commande ; l'esprit de cet homme s'élargit, ses talents s'élèvent, ses facultés se multiplient, chaque fardeau lui crée une force, chaque emploi un mérite, chaque dévouement une vertu; il devient supérieur par circonstance , universel par nécessité...
Page 590 - ... mémoire ; je ne suis pas de cette religion napoléonienne , de ce culte de la force que l'on veut depuis quelque temps substituer dans l'esprit de la nation à la religion sérieuse de la liberté. Je ne crois pas qu'il soit bon de déifier ainsi sans cesse la guerre , de surexciter ces...
Page 629 - Kutusoff y aurait attendu les autres corps de l'armée russe , déjà arrivés à Olmutz , et l'armée du prince Charles arrivant d'Italie. En 1809 , le prince Charles , qui avait été battu à...
Page 663 - ... qu'il n'est obligé de sa couronne ni à la volonté de son prédécesseur, ni à aucun édit, ni à aucun décret, ni à la libéralité de qui que ce soit; qu'il ne l'est qu'à la loi : cette loi est estimée l'ouvrage de celui qui a établi les monarchies, et qu'on tient en France qu'il n'ya que Dieu qui puisse l'abolir, par conséquent qu'il n'ya aucune renonciation...
Page 590 - Quoique admirateur de ce grand homme, je n'ai pas un enthousiasme sans souvenir et sans prévoyance. Je ne me prosterne pas devant cette mémoire ; je ne suis pas de cette religion napoléonienne, de ce culte de la force que l'on veut, depuis quelque temps, substituer dans l'esprit de la nation à la religion sérieuse de la liberté.
Page 277 - Il ne faut pas s'y tromper en effet: une France faible et humiliée ne saurait exister. Que la France perde l'Alsace et la Lorraine, et la France n'est plus. L'édifice est si compacte, que l'enlèvement d'une ou deux grosses pierres le ferait crouler.