L'Univers: histoire et description de tous les peuples ...F. Didot fréres, 1843 - World history |
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... déclara qu'il ne resterait au ministère que jusqu'à la conclusion de la paix , et qu'ensuite il se retirerait à Rome pour y terminer sa vie au sein de la retraite . Cette promesse trompeuse leur inspira une sécurité entière , et lorsqu ...
... déclara qu'il ne resterait au ministère que jusqu'à la conclusion de la paix , et qu'ensuite il se retirerait à Rome pour y terminer sa vie au sein de la retraite . Cette promesse trompeuse leur inspira une sécurité entière , et lorsqu ...
Page 6
... déclara , dans sa mauvaise prononciation italienne , que cet édit d'oignon était attentatoire . Mais il fut bientôt obligé de faire des concessions qui n'eurent d'autre -ré- sultat que d'enhardir ses ennemis . Les esprits s'échauffèrent ...
... déclara , dans sa mauvaise prononciation italienne , que cet édit d'oignon était attentatoire . Mais il fut bientôt obligé de faire des concessions qui n'eurent d'autre -ré- sultat que d'enhardir ses ennemis . Les esprits s'échauffèrent ...
Page 11
... déclara qu'il combattait pour la délivrance des princes , et prit le titre de lieutenant général du royaume . Tous les autres partisans du prince de Condé se préparèrent à le venger . Sa mère , qui était restée à Paris malgré la cour ...
... déclara qu'il combattait pour la délivrance des princes , et prit le titre de lieutenant général du royaume . Tous les autres partisans du prince de Condé se préparèrent à le venger . Sa mère , qui était restée à Paris malgré la cour ...
Page 15
... déclara transféré à Pontoise . Les présidents et une vingtaine de conseillers obéirent seuls à cet ordre . Les deux parlements de Paris et de Pontoise se contestant mutuellement leur autorité , et donnant des arrêts contraires , s ...
... déclara transféré à Pontoise . Les présidents et une vingtaine de conseillers obéirent seuls à cet ordre . Les deux parlements de Paris et de Pontoise se contestant mutuellement leur autorité , et donnant des arrêts contraires , s ...
Page 21
... déclara que désormais il dirigerait tout lui - même . Il s'imposa la loi de travail- ler deux fois par jour avec ses mi- nistres , et de donner six heures aux affaires du royaume . Il prescrivit aux quatre secrétaires d'Etat de ne plus ...
... déclara que désormais il dirigerait tout lui - même . Il s'imposa la loi de travail- ler deux fois par jour avec ses mi- nistres , et de donner six heures aux affaires du royaume . Il prescrivit aux quatre secrétaires d'Etat de ne plus ...
Common terms and phrases
9 thermidor alliés Anglais armée attaquer Autrichiens avaient Barrère bataille Billaud-Varennes Bonaparte c'était çais cent chef citoyens club des jacobins comité de salut commandement comte Condé conseil conspirateurs constitution Convention Convention nationale Corps législatif Couthon Danton déclara décret demande députés devait Directoire enfin ennemis Espagnols état eût force fran française Gironde girondins gouvernement guerre hébertistes Hollande jacobins jour l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'empereur l'ennemi l'Espagne l'Europe laisser Léonard Bourdon liberté Louis XIV Louis XVI Marat maréchal Mazarin mée membres ment mesures mille hommes ministre monarchie mort n'avait n'était Napoléon nation nationale paix patrie patriotes peuple politique porter pouvait pouvoir prairial prince prit projet Prusse puissance rent république reste révolution révolutionnaire Robespierre royalistes royaume Russie s'était Saint-Just salut public séance serait seul sion soldats Soult succès sûreté générale Tallien terreur thermidoriens tiers état tion toyens traité tribunal troupes vaisseaux vait vention victoire voulait
Popular passages
Page 180 - ... pourvu que je ne parle en mes écrits, ni de l'autorité, ni du culte, ni de la politique, ni de la morale, ni des gens en place, ni des corps en crédit, ni de l'opéra, ni des autres spectacles, ni de personne qui tienne à quelque chose, je puis tout imprimer librement, sous l'inspection de deux ou trois censeurs.
Page 287 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen, de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page 286 - Le but de la société est le bonheur commun. Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.
Page 287 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 287 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 287 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 203 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 286 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 335 - Disons donc qu'il existe une conspiration contre la liberté publique ; qu'elle doit sa force à une coalition criminelle qui intrigue au sein même de la Convention; que cette coalition a des complices dans le Comité de sûreté générale et dans les bureaux de ce Comité...
Page 287 - Un peuple a toujours le droit de revoir, de réformer et de changer sa constitution.