Histoire du consulat et de l'empire: faisant suite à l'Histoire de la révolution française, Volume 5Paulin, 1845 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 83
Page 5
... mille ; et enfin , si à la paix les succès de la France avaient été assez grands pour qu'elle pût en dicter les conditions , la Prusse exigeait que le sort du Hanovre fût réglé d'accord avec elle . C'é- tait , d'une façon indirecte ...
... mille ; et enfin , si à la paix les succès de la France avaient été assez grands pour qu'elle pût en dicter les conditions , la Prusse exigeait que le sort du Hanovre fût réglé d'accord avec elle . C'é- tait , d'une façon indirecte ...
Page 14
... mille reproches de sa félonie . Il appréhendait aussi mel d'alliance le caractère entreprenant du Premier Consul , et il craignait , en s'enchaînant trop complétement à lui , d'être entraîné à la guerre , qui était ce qu'il redoutait le ...
... mille reproches de sa félonie . Il appréhendait aussi mel d'alliance le caractère entreprenant du Premier Consul , et il craignait , en s'enchaînant trop complétement à lui , d'être entraîné à la guerre , qui était ce qu'il redoutait le ...
Page 16
... numéraire , plus de cent mille francs en or , qu'il avait livrés sur - le - champ à la police française . Le rapport de cet officier , les lettres autographes de Avril 1804 . générale en Europe contre Spencer Smith . 46 LIVRE XIX .
... numéraire , plus de cent mille francs en or , qu'il avait livrés sur - le - champ à la police française . Le rapport de cet officier , les lettres autographes de Avril 1804 . générale en Europe contre Spencer Smith . 46 LIVRE XIX .
Page 24
... mille hommes dans cette partie de l'Allemagne , les deux cours devaient demeurer in- actives , et s'en tenir au statu quo . Mais , si les troupes françaises étaient augmentées , et si d'autres États allemands étaient envahis , elles se ...
... mille hommes dans cette partie de l'Allemagne , les deux cours devaient demeurer in- actives , et s'en tenir au statu quo . Mais , si les troupes françaises étaient augmentées , et si d'autres États allemands étaient envahis , elles se ...
Page 26
... mille Français n'était dé- pas mes décidé à leur opposer les forces que la Providence a mises entre nos mains . Nous en avons fait à la France la déclaration solennelle , et la France l'a acceptée ; mais c'est surtout envers S. M. l ...
... mille Français n'était dé- pas mes décidé à leur opposer les forces que la Providence a mises entre nos mains . Nous en avons fait à la France la déclaration solennelle , et la France l'a acceptée ; mais c'est surtout envers S. M. l ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
allait amiraux Anglais Août armée aurait avaient Avril bâtiments Bonaparte Boulogne Brest c'était cabinet russe Cadix Calder Cambacérès Caprara cardinal Fesch chaloupes chargé chose coalition Consalvi continent cour couronne débloquer Decrès dépêches devait division empereur escadres Étaples États eût fallait Ferrol flotte flottille force française frégates fût Ganteaume général gleterre gouvernement Gravina guerre Hanovre impériale Italie italienne Joséphine jours Juin l'amiral Decrès l'amiral Villeneuve l'Angleterre l'archichancelier l'armée l'Autriche l'Empereur l'Empire l'ennemi l'escadre l'Espagne l'État l'Europe l'Italie laisser Lauriston Malte Manche marine ment mille hommes millions ministre Missiessy monarchie n'avait n'était Napo Napoléon négociation Nelson nouvelle Nowosiltzoff Octob officiers Pape passer Pétersbourg Pie VII Piémont Pitt poléon Pologne porter pouvait Premier Consul présent prêt prince projet Prusse puissance rendre République résolution reste réunir Rochefort royaume Russie s'était Saint-Siége secret Sénat serait seul sortir sur-le-champ Talleyrand Texel tion Toulon Tribunat troisième coalition trône troupes vaisseaux espagnols vait Villeneuve voulait Wimereux
Popular passages
Page 113 - République ; de respecter et de faire respecter » les lois du concordat et la liberté des cultes ; de » respecter et faire respecter l'égalité des droits , la » liberté politique et civile , l'irrévocabilité des ventes » des biens nationaux ; de ne lever aucun impôt , » de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de » maintenir l'institution de la légion d'honneur; de » gouverner dans la seule vue de l'intérêt , du bonheur » et de la gloire du Peuple français (i) ». Du...
Page 85 - Vous avez jugé l'hérédité de la suprême magistrature nécessaire pour mettre le peuple français à l'abri des complots de nos ennemis et des agitations qui naîtraient d'ambitions rivales.
Page 92 - La liberté fut-elle donc montrée à l'homme pour qu'il ne pût jamais en jouir? fut-elle sans cesse offerte à ses vœux comme un fruit auquel il ne peut porter la main sans être frappé de mort? Ainsi la nature, qui nous fait de cette liberté un besoin si pressant, ' aurait voulu nous traiter en marâtre!
Page 245 - Père, l'heureux effet qu'éprouvent la morale et le caractère de mon peuple par le rétablissement de la religion chrétienne, me porte à prier Votre Sainteté de me donner une nouvelle preuve de l'intérêt qu'elle prend à ma destinée et à celle de cette grande nation, dans une des circonstances les plus importantes qu'offrent les annales du monde.
Page 128 - S'il est dans les principes de notre constitution, et déjà plusieurs exemples semblables ont été donnés, de soumettre à la sanction du peuple la partie du décret qui concerne l'établissement d'un gouvernement héréditaire, le sénat a pensé qu'il devait supplier Votre Majesté Impériale d'agréer que les dispositions organiques reçussent immédiatement leur exécution ; et, pour la gloire comme pour le bonheur de la République, il proclame à l'instant même Napoléon empereur des Français.
Page 129 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 128 - Impériale une puissance que son intérêt lui défend d'exercer par lui-même; il stipule pour les générations à venir, et, par un pacte solennel, il confie le bonheur de ses. neveux à des rejetons de votre race. Ceux-ci imiteront vos vertus ; ceux-là hériteront de notre amour et de notre fidélité.
Page 258 - C'est alors que la France, abjurant de trop graves erreurs, donna les plus utiles leçons au genre humain. Elle sembla reconnaître devant lui que toutes les pensées irréligieuses sont des pensées impolitiques, et que tout attentat contre le christianisme est un attentat contre la société.
Page 126 - La dénomination plus imposante qui vous est décernée n'est* donc qu'un tribut que la nation paie à sa propre dignité , et au besoin qu'elle sent de vous donner chaque jour des témoignages d'un respect et d'un attachement que chaque jour voit augmenter.
Page 266 - Le pape fit sur le front de l'empereur, sur ses bras, sur ses mains, les onctions d'usage , puis bénit l'épée qu'il lui ceignit , le sceptre qu'il remit en sa main , et s'approcha pour prendre la couronne. Napoléon , observant ses mouvements , et comme il l'avait annoncé, terminant la difficulté sur les lieux mêmes, saisit la couronne des mains du pontife , sans brusquerie , mais avec décision , et la plaça lui-même sur sa tête. L'acte fut compris de tous les assistants.