| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1827 - 528 pages
...cette journée par la « création de nouveaux offices, qui sont une charge « perpétuelle à l'Etat; car lorsqu'ils sont établis il « faut que le peuple...oratoire, considérez quelle peut être la douleur, l'a« mcrtume et la consternation de tous les officiers du « royaume , qui peuvent voir aujourd'hui... | |
| Omer Talon - France - 1827 - 504 pages
...cette journée par la « création de nouveaux offices, qui sont une charge « perpétuelle à l'Etat; car lorsqu'ils sont établis il « faut que le peuple...oratoire, considérez quelle peut être la douleur, l'a« mertume et la consternation de tous les officiers du « royaume, qui peuvent voir aujourd'hui... | |
| Frédéric Schoell - Europe - 1832 - 452 pages
...atteinte dans cettejourné'e par la création de nouveaux offices, qui sont une charge perpétuelle pour l'état ; car lorsqu'ils >sont établis , il faut...considérez quelle peut être la douleur , l'amertume et la consternation de tous les officiers du royaume, qui peuvent voir aujourd'hui confisquer tout leur bien... | |
| Jean Charles L. Simonde de Sismondi - 1840 - 648 pages
...dans cette « journée par la création de nouveaux offices « qui sont une charge perpétuelle à l'État; car « lorsqu'ils sont établis , il faut...peuple « les nourrisse et les défraie. — Faites, Maee dame, s'il vous plaît, quelque sorte de ré« flexion sur cette misère publique , dans la «... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1840 - 648 pages
...dans cette « journée par la création de nouveaux offices « qui sont une charge perpétuelle à l'État; car « lorsqu'ils sont établis , il faut...peuple « les nourrisse et les défraie. — Faites, Ma« dame, s'il vous plaît, quelque sorte de ré« flexion sur cette misère publique , dans la «... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1840 - 648 pages
...cette « journée par la création de nouveaux offices « qui sont une charge perpétuelle à l'Etat; car « lorsqu'ils sont établis , il faut que le peuple « les nourrisse et les défraie. — Faites, Ma« dame, s'il vous plaît, quelque sorte de ré« flexion sur cette misère publique , dans la «... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1840 - 646 pages
...cette « journée par la création de nouveaux offices « qui sont une charge perpétuelle à l'Etat; car « lorsqu'ils sont établis , il faut que le peuple « les nourrisse et les défraie. — Faites, Matl dame, s'il vous plaît, quelque sorte de ré« flexion sur cette misère publique , dans la «... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1844 - 684 pages
...les nour« risse et les défraye. » II s'adressoit ensuite à la régente et terminoit ainsi : « Faites , madame , s'il « vous plaît , quelque sorte...cœur. « Ce soir, dans la solitude de votre oratoire , consi« dérez quelle peut être la douleur, l'amertume et « la consternation de tous les officiers... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - France - 1844 - 678 pages
...les nour« risse et les défraye. » Il s'adressoit ensuite à la régente et terminoit ainsi : « Faites, madame, s'il « vous plaît , quelque sorte...cœur. « Ce soir, dans la solitude de votre oratoire , consiK dérez quelle peut être la douleur, l'amertume et « la consternation de tous les officiers... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1847 - 566 pages
...» dans cette journée par la création de nouveaux offices qui sont une » charge perpétuelle à l'État ; car lorsqu'ils sont établis, il faut que...les défraie. — Faites, Madame, s'il vous plaît, 1 Sainte-Aulaire, c. 3, p. 163. — Méra. du cardinal de Retz , t. XLIV, p. 195 ; — de mad. de Motteville,... | |
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