Recueil périodique de la Société de médecine de Paris, Volume 50

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1814 - Medicine

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Popular passages

Page 207 - ... qu'on ne voit pas d'un seul coup-d'œil par toute l'étendue des verres , mais seulement par une portion de leurs surfaces à peu près égale à l'ouverture de la pupille ; et que, pour voir le mieux possible, il faut que les rayons qui viennent des objets traversent ces verres par leurs centres, à cause du passage oblique de la lumière lorsqu'elle s'en écarte. Ces observations le conduisirent à donner aux verres une forme bombée du côté de l'objet et creuse du côté de l'œil , ce qui...
Page 221 - DE LA VIE HUMAINE , ou Recherches sur la. révolution journalière , et la périodicité de ses phénomènes dans la santé et les maladies ; — Thèse présentée et sou...
Page 296 - Elémens de Physique expérimentale et de Météorologie, ouvrage adopté par le Conseil royal de l'Instruction publique pour l'enseignement dans les établissemens de l'Université, troisième édition, 2 vols. 8vo. 1838 16
Page 220 - Instruction pour traiter , sans attelles ' , les Fractures des extrémités, principalement celles qui sont compliquées, et celles du col du fémur, d'après la méthode inventée par M.
Page 210 - ... les autres. II paroît donc raisonnable de conclure, i° que les verres périscopiques recevant moins obliquement sur toute leur surface la lumière destinée à entrer dans l'œil, la lui transmettent plus régulièrement; 2° que l'œil est plus tranquille en les employant, qu'en faisant usage des autres, toutes les fois qu'il se meut dans son orbite; 3° que si l'on excepte les ouvrages qui exigent une parfaite fixité de la vue, il n'est point de cas où ces verres ne doivent être préférés...
Page 82 - Tantôt le malade croit voir passer la revue à 4° ou 5o,ooo hommes } tantôt il se croit dans un lieu enchanté , destiné aux plus grandes choses , il devient fier et arrogant : il aperçoit souvent , au travers d'un petit trou du plafond de sa chambre , des régions immenses habitées par des êtres extrêmement heureux , qui viennent se ranger autour de ce trou pour lui faire la cour. Il prend son domestique pour le dieu des enfers...
Page 222 - Mémoires et Observations sur la Chirurgie et la Médecine vétérinaires, Ouvrage couronné en grande partie par la Société d'Agriculture du Département de la Seine. — Avec Planches - par JB Gohier, Professeur d'Opérations et de Maladies à...
Page 214 - TARMENTIER , membre de l'Institut , officier de la Légion d'Honneur , premier pharmacien des armées, inspecteur général du service de santé, etc. ; lu à la séance publique de la_Société de 'Pharmacie de Paris , le 16 mai 1814 i 'par G. -L. CADET »E GASSÎCOURT , setrétaire géttërkt dfe cette Société. Paris, -de l'Imprimeria z».
Page 82 - ... lieu enchanté, destiné aux plus grandes choses, il devient alors fier et arrogant ; il aperçoit souvent, au travers d'un petit trou du plafond de sa chambre, des régions immenses, habitées par des êtres extrêmement heureux, qui viennent se ranger autour de ce trou pour lui faire la cour. Il prend son domestique pour le dieu des Enfers ; toutes les fois qu'il lui voit fermer une porte, il pense que les portes de l'Erèbe sont à jamais fermées sur lui. Un autre domestique est son ange...
Page 20 - Une juive âgée de 19 ans, d'un tempérament lymphatique et nerveux, d'une bonne constitution , irrégulièrement mcnstruce, est trompée par son amant, qui l'abandonne : elle sort de la maison où elle est en service , et court les rues, sans trop savoir où elle va. En rentrant, elle se pend; on n'a que le temps de lui donner les premiers secours: elle devient furieuse, et est conduite dès le lendemain à la Salpê trière.

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