Les femmes célèbres de 1789 à 1795: et leur influence dans la révolution, pour servir de suite et de complément à toutes les histoires de la révolution française, Volume 21840 - France |
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... à retracer avec une naïveté qui ne laisse pas même soupçonner qu'elleen connût ni la cause ni l'effet . Ce manuscrit se trouve en ce moment dans nos mains , " et nous croyons , en le transcrivant , faire LUCILE DESMOULINS . 3.
... à retracer avec une naïveté qui ne laisse pas même soupçonner qu'elleen connût ni la cause ni l'effet . Ce manuscrit se trouve en ce moment dans nos mains , " et nous croyons , en le transcrivant , faire LUCILE DESMOULINS . 3.
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... cause contre Dandré , en répara- tion de calomnie contre la ville de Marseille . ( Ibidem , pages 115 et 116. ) Dans une lettre à son pêre , du 3 avril 1792 , il confirme ce projet : « J'ai repris mon ancien mé- tier d'homme de loi ...
... cause contre Dandré , en répara- tion de calomnie contre la ville de Marseille . ( Ibidem , pages 115 et 116. ) Dans une lettre à son pêre , du 3 avril 1792 , il confirme ce projet : « J'ai repris mon ancien mé- tier d'homme de loi ...
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... causes bourgeoises après avoir traité de si grands intérêts et la cause publique à la face de l'Europe . J'ai tenu la balance des grandeurs ; j'ai élevé ou abaissé les principaux personnages de la révolution . Celui que j'ai abaissé ne ...
... causes bourgeoises après avoir traité de si grands intérêts et la cause publique à la face de l'Europe . J'ai tenu la balance des grandeurs ; j'ai élevé ou abaissé les principaux personnages de la révolution . Celui que j'ai abaissé ne ...
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... cause de tout cela . Nous entendîmes crier et pleurer dans la rue ; nous crûmes que Paris allait être tout en sang ... Cependant on vint nous dire que nous étions vainqueurs . Mais les récits étaient cruels . Camille arriva , et me dit ...
... cause de tout cela . Nous entendîmes crier et pleurer dans la rue ; nous crûmes que Paris allait être tout en sang ... Cependant on vint nous dire que nous étions vainqueurs . Mais les récits étaient cruels . Camille arriva , et me dit ...
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... cause la dénonciation de Camille , sans paraître y attacher une grande importance , puisqu'il conti- nue son badinage , et termine ainsi : « Adieu , Lu- cile ! adieu , méchante diablesse ! Votre serpolet est - il cueilli ? je ne ...
... cause la dénonciation de Camille , sans paraître y attacher une grande importance , puisqu'il conti- nue son badinage , et termine ainsi : « Adieu , Lu- cile ! adieu , méchante diablesse ! Votre serpolet est - il cueilli ? je ne ...
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Common terms and phrases
âme Aspasie avaient Babœuf bientôt bonheur brochure c'était Cabarrus Camille Catherine Théot célèbre charmes Chaumette Chimay citoyens club club des Jacobins cœur comité conspiration constitution convention courage crime Danton déclare décret député devait directoire dit-elle écrit enfans ennemis fanatisme femmes fille Fontenay Fouquier-Tinville Gerle gloire gouvernement hommes Ibidem j'ai Jacobins jeter jeune jour journal l'accusateur l'échafaud l'esprit lettre liberté long-temps Louis XVI Lucile LUCILE DESMOULINS madame de Gouges madame de Staël madame Tallien Mademoiselle main malheureux Marat mari ment mère de Dieu mille Mirabeau mort mourir n'avait nation Olympe de Gouges passer patrie patriotes père peuple philosophie pique poignard politique porter prince prison public raison reine représentans républicaine république reste révolution révolutionnaire rien Robespierre rois Rose Lacombe s'était sang sauver séance section semblait sentiment serait seul sexe société Sophie sort tête tion tribunal tribunal révolutionnaire tribune trône trouve tyrans vertus Vieux Cordelier voulait Voyez
Popular passages
Page 96 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 95 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 214 - L'athéisme est aristocratique; l'idée d'un grand être, qui veille sur l'innocence opprimée, et qui punit le crime triomphant, est toute populaire.
Page 130 - Quiconque sera convaincu d'avoir composé ou imprimé des ouvrages ou écrits qui provoquent la dissolution de la représentation nationale, le rétablissement de la royauté ou de tout autre pouvoir attentatoire à la souveraineté du peuple, sera traduit au tribunal extraordinaire et puni de mort.
Page 37 - Tu lui diras, ce qu'il ne peut pas entendre, que je l'aurais bien aimé! Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon sang effacera mes fautes, les faiblesses de l'humanité; et ce que j'ai eu de bon, mes vertus, mon amour de la liberté, Dieu le récompensera. Je te reverrai un jour, ô Lucile, ô Annette!
Page 213 - Non, la Convention n'a point fait cette démarche téméraire. La Convention ne la fera jamais. Son intention est de maintenir la liberté des cultes qu'elle a proclamée, et de réprimer en même temps tous ceux qui en abuseraient pour troubler l'ordre public ; elle ne permettra pas qu'on persécute les ministres paisibles du culte...
Page 96 - La loi doit être l'expression de la volonté générale: toutes les citoyennes comme tous les citoyens doivent concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous. Toutes les citoyennes et tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, doivent être également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents...
Page 34 - ... seront pour moi. Crois-tu que l'on prendra confiance en toi, en te voyant immoler tes amis? Crois-tu que l'on bénira celui qui ne se soucie ni des larmes de la veuve, ni de la mort de l'orphelin? Si j'étais la femme de Saint-Just, je lui dirais : la cause de Camille est la tienne, c'est celle de tous les amis de Robespierre. Le pauvre Camille, dans la...
Page 37 - O ma chère Lucile, j'étais né pour faire des vers, pour défendre les malheureux, pour te rendre heureuse, pour composer, avec ta mère et mon père, et quelques personnes selon notre cœur, un Otaiti.
Page 36 - J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu? (Ici on remarque la trace d'une larme.) Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant sa pitié, elle qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein.