Les femmes célèbres de 1789 à 1795: et leur influence dans la révolution, pour servir de suite et de complément à toutes les histoires de la révolution française, Volume 21840 - France |
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... , qui lui fit donner par ses enfans le nom de maman Melpomène . Le journal de la cour et de la ville , appelé aussi le Petit Gauthier , dans son numéro du 1er janvier 1791 , imprima que cette dame avait II . 1 LUCILE DESMOULINS. ...
... , qui lui fit donner par ses enfans le nom de maman Melpomène . Le journal de la cour et de la ville , appelé aussi le Petit Gauthier , dans son numéro du 1er janvier 1791 , imprima que cette dame avait II . 1 LUCILE DESMOULINS. ...
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... Journal des Révolutions de France et de Brabant , dont le succès fut rapide ; et il s'ouvrit avec sa plume une car- rière quelque peu lucrative . Il alla mettre le tout , gloire et fortune , aux pieds de sa Lucile , dont il avait su ...
... Journal des Révolutions de France et de Brabant , dont le succès fut rapide ; et il s'ouvrit avec sa plume une car- rière quelque peu lucrative . Il alla mettre le tout , gloire et fortune , aux pieds de sa Lucile , dont il avait su ...
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... journal environ huit à neuf mois , et poussa jusqu'au no 86 ; après quoi , dé- goûté de ce travail par la suppression de la liberté de la presse ( septembre 1791 ) et par les infidélités des personnes chargées de la distribution , il ...
... journal environ huit à neuf mois , et poussa jusqu'au no 86 ; après quoi , dé- goûté de ce travail par la suppression de la liberté de la presse ( septembre 1791 ) et par les infidélités des personnes chargées de la distribution , il ...
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... journal . C'était une puissance qui faisait trembler mes ennemis , qui aujourd'hui se jettent lâchement sur moi , me regardant comme le lion à qui Amaryllis a coupé les ongles . ( Ibidem , page 125. ) La naissance d'un fils vint mettre ...
... journal . C'était une puissance qui faisait trembler mes ennemis , qui aujourd'hui se jettent lâchement sur moi , me regardant comme le lion à qui Amaryllis a coupé les ongles . ( Ibidem , page 125. ) La naissance d'un fils vint mettre ...
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... journal de ce qui lui arrivait . Cette nuit lui inspira des craintes mortelles . « Qu'allons - nous devenir , ô mon pauvre Camille ? Je n'ai plus la force de respirer ... Mon Dieu , s'il est vrai que tu existes , sauve donc des hommes ...
... journal de ce qui lui arrivait . Cette nuit lui inspira des craintes mortelles . « Qu'allons - nous devenir , ô mon pauvre Camille ? Je n'ai plus la force de respirer ... Mon Dieu , s'il est vrai que tu existes , sauve donc des hommes ...
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Common terms and phrases
âme Aspasie avaient Babœuf bientôt bonheur brochure c'était Cabarrus Camille Catherine Théot célèbre charmes Chaumette Chimay citoyens club club des Jacobins cœur comité conspiration constitution convention courage crime Danton déclare décret député devait directoire dit-elle écrit enfans ennemis fanatisme femmes fille Fontenay Fouquier-Tinville Gerle gloire gouvernement hommes Ibidem j'ai Jacobins jeter jeune jour journal l'accusateur l'échafaud l'esprit lettre liberté long-temps Louis XVI Lucile LUCILE DESMOULINS madame de Gouges madame de Staël madame Tallien Mademoiselle main malheureux Marat mari ment mère de Dieu mille Mirabeau mort mourir n'avait nation Olympe de Gouges passer patrie patriotes père peuple philosophie pique poignard politique porter prince prison public raison reine représentans républicaine république reste révolution révolutionnaire rien Robespierre rois Rose Lacombe s'était sang sauver séance section semblait sentiment serait seul sexe société Sophie sort tête tion tribunal tribunal révolutionnaire tribune trône trouve tyrans vertus Vieux Cordelier voulait Voyez
Popular passages
Page 96 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 95 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 214 - L'athéisme est aristocratique; l'idée d'un grand être, qui veille sur l'innocence opprimée, et qui punit le crime triomphant, est toute populaire.
Page 130 - Quiconque sera convaincu d'avoir composé ou imprimé des ouvrages ou écrits qui provoquent la dissolution de la représentation nationale, le rétablissement de la royauté ou de tout autre pouvoir attentatoire à la souveraineté du peuple, sera traduit au tribunal extraordinaire et puni de mort.
Page 37 - Tu lui diras, ce qu'il ne peut pas entendre, que je l'aurais bien aimé! Malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu. Mon sang effacera mes fautes, les faiblesses de l'humanité; et ce que j'ai eu de bon, mes vertus, mon amour de la liberté, Dieu le récompensera. Je te reverrai un jour, ô Lucile, ô Annette!
Page 213 - Non, la Convention n'a point fait cette démarche téméraire. La Convention ne la fera jamais. Son intention est de maintenir la liberté des cultes qu'elle a proclamée, et de réprimer en même temps tous ceux qui en abuseraient pour troubler l'ordre public ; elle ne permettra pas qu'on persécute les ministres paisibles du culte...
Page 96 - La loi doit être l'expression de la volonté générale: toutes les citoyennes comme tous les citoyens doivent concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous. Toutes les citoyennes et tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, doivent être également admissibles à toutes les dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents...
Page 34 - ... seront pour moi. Crois-tu que l'on prendra confiance en toi, en te voyant immoler tes amis? Crois-tu que l'on bénira celui qui ne se soucie ni des larmes de la veuve, ni de la mort de l'orphelin? Si j'étais la femme de Saint-Just, je lui dirais : la cause de Camille est la tienne, c'est celle de tous les amis de Robespierre. Le pauvre Camille, dans la...
Page 37 - O ma chère Lucile, j'étais né pour faire des vers, pour défendre les malheureux, pour te rendre heureuse, pour composer, avec ta mère et mon père, et quelques personnes selon notre cœur, un Otaiti.
Page 36 - J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu? (Ici on remarque la trace d'une larme.) Hier au soir j'ai eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les barreaux ; j'ai joint les mains comme implorant sa pitié, elle qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein.