Principes de droit civil français, Volume 22Bruylant-Christophe & Cie, 1878 - Civil law |
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... propre pour le mari , car le mari ne peut pas se servir des biens de la communauté dans son intérêt , pour se constituer des propres . Tout ce qu'il acquiert devient conquêt ; l'usufruit appartiendra donc à la communauté , c'est - à ...
... propre pour le mari , car le mari ne peut pas se servir des biens de la communauté dans son intérêt , pour se constituer des propres . Tout ce qu'il acquiert devient conquêt ; l'usufruit appartiendra donc à la communauté , c'est - à ...
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... propres aux dépens de la communauté ; c'est donc le cas d'ap- pliquer la restriction de Pothier : le mari ne peut jamais s'avantager aux dépens de la communauté ; la rente via- gère forme le prix d'un conquêt , elle appartient donc à la ...
... propres aux dépens de la communauté ; c'est donc le cas d'ap- pliquer la restriction de Pothier : le mari ne peut jamais s'avantager aux dépens de la communauté ; la rente via- gère forme le prix d'un conquêt , elle appartient donc à la ...
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... propres . Quant aux récompenses dont parle la cour suprême , elles n'ont rien de commun avec notre débat . Le plus souvent la femme les doit sans avoir contracté personnellement , par suite des actes du mari que celui - ci fait comme ...
... propres . Quant aux récompenses dont parle la cour suprême , elles n'ont rien de commun avec notre débat . Le plus souvent la femme les doit sans avoir contracté personnellement , par suite des actes du mari que celui - ci fait comme ...
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... propres ? Le langage est obscur et la forme . n'est guère française . Que signifient ces expressions : prendre des ressources sur ses biens propres ? et deman- der des ressources au fonds commun ? L'on en pourrait induire que la femme ...
... propres ? Le langage est obscur et la forme . n'est guère française . Que signifient ces expressions : prendre des ressources sur ses biens propres ? et deman- der des ressources au fonds commun ? L'on en pourrait induire que la femme ...
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... propres biens ( 3 ) . Nous croyons que c'est faire une fausse applica- tion du principe que l'on invoque . Ce n'est pas le mari qui a demandé la nullité , c'est la femme ; par suite de l'annu- lation , la chose est rentrée dans la masse ...
... propres biens ( 3 ) . Nous croyons que c'est faire une fausse applica- tion du principe que l'on invoque . Ce n'est pas le mari qui a demandé la nullité , c'est la femme ; par suite de l'annu- lation , la chose est rentrée dans la masse ...
Contents
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Common terms and phrases
accepter acte d'administration action administrateur affaires du mari aliéner Aubry et Rau auteurs autorisation bail cause code civil Colmet de Santerre conséquence Contrat de mariage convention cour de cassation créanciers d'option Dalloz débiteur décider délai demander la séparation déroge dettes dire disposition dissolution dissoute divorce doctrine doit récompense donation donne Est-ce femme commune femme doit femme n'a femme séparée fraude héritiers du mari immeubles indemnité intérêts inventaire jouissance jugement jurisprudence l'acceptation l'acte l'aliénation l'autorisation l'égard l'époux l'espèce l'inventaire l'opinion l'un des époux légale législateur Locré mandat maritale mobilier mois et quarante mot Contrat motif munauté nauté nullité obligée Pasicrisie payer péril personnel Pothier prélèvement présomption principe prononce la séparation propres propriétaire prouver quarante jours question raison renon renoncer reprises responsable rétroactivité rétroagit Rodière et Pont s'obliger sens séparation de corps serait seul termes de l'article texte ticle tiers tion titre Toullier Tribunat Troplong veuve viager
Popular passages
Page 214 - La séparation de biens ne peut être poursuivie qu'en justice par la femme dont la dot est mise en péril , et lorsque le désordre des affaires du mari donne lieu de craindre que les biens de celui-ci ne soient point suinsans pour remplir les droits et reprises de la femme. Toute, séparation volontaire est nulle.
Page 452 - La veuve, soit qu'elle accepte, soit qu'elle renonce, a droit pendant les trois mois et quarante jours qui lui sont accordés pour faire inventaire et délibérer, de prendre sa nourriture et celle de ses domestiques sur les provisions existantes, et, à défaut, par emprunt au compte de la masse commune, à la charge d'en user modérément.
Page 547 - Les biens du débiteur sont le gage commun de ses créanciers; et le prix s'en distribue entre eux par contribution, à moins qu'il n'y ait entre les créanciers des causes légitimes de préférence.
Page 425 - La femme divorcée ou séparée de corps, qui n'a point, dans les trois mois et quarante jours après le divorce...
Page 103 - La femme qui s'oblige solidairement avec son mari pour les affaires de la communauté ou du mari, n'est réputée, -à l'égard de celui-ci, s'être obligée que comme caution ; elle doit être indemnisée de l'obligation qu'elle a contractée.
Page 80 - La femme, si elle est marchande publique, peut, sans l'autorisation de son mari, s'obliger pour ce qui concerne son négoce ; et, audit cas, elle oblige aussi son mari, s'il ya communauté entre eux. — Elle n'est pas réputée marchande publique, si elle ne fait que détailler les marchandises du commerce de son mari, mais seulement quand elle fait un commerce séparé.
Page 402 - La femme majeure qui a pris dans un acte la qualité de commune ne peut plus y renoncer ni se faire restituer contre cette qualité, quand même elle l'aurait prise avant d'avoir fait inventaire, s'il n'ya eu dol de la part des héritiers du mari.
Page 519 - Sesbiens personnels qui ne sont point entrés en communauté , s'ils existent en nature, ou ceux qui ont été acquis en remploi; 2° Le prix de ses immeubles qui ont été aliénés pendant la communauté, et dont il n'a point été fait remploi : 3 Les indemnités qui lui sont dues par la communauté.
Page 411 - La femme survivante qui veut conserver la faculté de renoncer à la communauté, doit, dans les trois mois du jour du décès du mari, faire faire un inventaire fidèle et exact de tous les biens de la communauté, contradictoirement avec les héritiers du mari, ou eux dûment appelés. Cet inventaire doit être par elle affirmé sincère et véritable, lors de sa clôture, devant l'officier public qui l'a reçu.
Page 286 - Les époux contractent ensemble, par le fait seul « du mariage, l'obligation de nourrir, entretenir et élever leurs