Principes de droit civil français, Volume 22Bruylant-Christophe & Cie, 1878 - Civil law |
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... que semblaient le dire les cou- tumes en le qualifiant de seigneur et maître . Pothier , après avoir dit que le mari est réputé seul seigneur des biens de la communauté et qu'il peut en disposer à son gré , ajoute une restriction , c'est ...
... que semblaient le dire les cou- tumes en le qualifiant de seigneur et maître . Pothier , après avoir dit que le mari est réputé seul seigneur des biens de la communauté et qu'il peut en disposer à son gré , ajoute une restriction , c'est ...
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... que les choses données ont une valeur pécuniaire , tandis que les portraits de fa- mille n'ont qu'une valeur d'affection . C'est dire que la vo- lonté contraire que la loi exige résulte ici de la nature même de la chose donnée . " " 3 ...
... que les choses données ont une valeur pécuniaire , tandis que les portraits de fa- mille n'ont qu'une valeur d'affection . C'est dire que la vo- lonté contraire que la loi exige résulte ici de la nature même de la chose donnée . " " 3 ...
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... qu'une valeur mobilière de 100,000 francs soit une chose vile , et que la possession d'un immeuble , quelque modique qu'en soit la valeur , est chose plus précieuse . L'article 1422 défend au mari de donner l'universalité ou une quotité ...
... qu'une valeur mobilière de 100,000 francs soit une chose vile , et que la possession d'un immeuble , quelque modique qu'en soit la valeur , est chose plus précieuse . L'article 1422 défend au mari de donner l'universalité ou une quotité ...
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... qu'une libé- ralité par laquelle il se prive actuellement de la chose qu'il donne . Cela est vrai , mais nous doutons que les au- teurs du code l'aient entendu ainsi ; ils n'ont parlé que des donations entre - vifs et ils entendent par ...
... qu'une libé- ralité par laquelle il se prive actuellement de la chose qu'il donne . Cela est vrai , mais nous doutons que les au- teurs du code l'aient entendu ainsi ; ils n'ont parlé que des donations entre - vifs et ils entendent par ...
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... une dette qui est commune à la femme ; il est juste qu'une dette commune aux deux époux soit supportée par la communauté , puis- que la société des biens que forment les époux a pour objet de subvenir aux dépenses communes . C'est dans ...
... une dette qui est commune à la femme ; il est juste qu'une dette commune aux deux époux soit supportée par la communauté , puis- que la société des biens que forment les époux a pour objet de subvenir aux dépenses communes . C'est dans ...
Contents
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Common terms and phrases
accepter acte d'administration action administrateur affaires du mari aliéner Aubry et Rau auteurs autorisation bail cause code civil Colmet de Santerre conséquence Contrat de mariage convention cour de cassation créanciers d'option Dalloz débiteur décider délai demander la séparation déroge dettes dire disposition dissolution dissoute divorce doctrine doit récompense donation donne Est-ce femme commune femme doit femme n'a femme séparée fraude héritiers du mari immeubles indemnité intérêts inventaire jouissance jugement jurisprudence l'acceptation l'acte l'aliénation l'autorisation l'égard l'époux l'espèce l'inventaire l'opinion l'un des époux légale législateur Locré mandat maritale mobilier mois et quarante mot Contrat motif munauté nauté nullité obligée Pasicrisie payer péril personnel Pothier prélèvement présomption principe prononce la séparation propres propriétaire prouver quarante jours question raison renon renoncer reprises responsable rétroactivité rétroagit Rodière et Pont s'obliger sens séparation de corps serait seul termes de l'article texte ticle tiers tion titre Toullier Tribunat Troplong veuve viager
Popular passages
Page 214 - La séparation de biens ne peut être poursuivie qu'en justice par la femme dont la dot est mise en péril , et lorsque le désordre des affaires du mari donne lieu de craindre que les biens de celui-ci ne soient point suinsans pour remplir les droits et reprises de la femme. Toute, séparation volontaire est nulle.
Page 452 - La veuve, soit qu'elle accepte, soit qu'elle renonce, a droit pendant les trois mois et quarante jours qui lui sont accordés pour faire inventaire et délibérer, de prendre sa nourriture et celle de ses domestiques sur les provisions existantes, et, à défaut, par emprunt au compte de la masse commune, à la charge d'en user modérément.
Page 547 - Les biens du débiteur sont le gage commun de ses créanciers; et le prix s'en distribue entre eux par contribution, à moins qu'il n'y ait entre les créanciers des causes légitimes de préférence.
Page 425 - La femme divorcée ou séparée de corps, qui n'a point, dans les trois mois et quarante jours après le divorce...
Page 103 - La femme qui s'oblige solidairement avec son mari pour les affaires de la communauté ou du mari, n'est réputée, -à l'égard de celui-ci, s'être obligée que comme caution ; elle doit être indemnisée de l'obligation qu'elle a contractée.
Page 80 - La femme, si elle est marchande publique, peut, sans l'autorisation de son mari, s'obliger pour ce qui concerne son négoce ; et, audit cas, elle oblige aussi son mari, s'il ya communauté entre eux. — Elle n'est pas réputée marchande publique, si elle ne fait que détailler les marchandises du commerce de son mari, mais seulement quand elle fait un commerce séparé.
Page 402 - La femme majeure qui a pris dans un acte la qualité de commune ne peut plus y renoncer ni se faire restituer contre cette qualité, quand même elle l'aurait prise avant d'avoir fait inventaire, s'il n'ya eu dol de la part des héritiers du mari.
Page 519 - Sesbiens personnels qui ne sont point entrés en communauté , s'ils existent en nature, ou ceux qui ont été acquis en remploi; 2° Le prix de ses immeubles qui ont été aliénés pendant la communauté, et dont il n'a point été fait remploi : 3 Les indemnités qui lui sont dues par la communauté.
Page 411 - La femme survivante qui veut conserver la faculté de renoncer à la communauté, doit, dans les trois mois du jour du décès du mari, faire faire un inventaire fidèle et exact de tous les biens de la communauté, contradictoirement avec les héritiers du mari, ou eux dûment appelés. Cet inventaire doit être par elle affirmé sincère et véritable, lors de sa clôture, devant l'officier public qui l'a reçu.
Page 286 - Les époux contractent ensemble, par le fait seul « du mariage, l'obligation de nourrir, entretenir et élever leurs