Mémoires sur la reine Hortense et la famille impériale, Volume 3Ladvocat, 1838 - France |
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... enfant qui ressemble à son père . - -- - - - - Me voici à cette époque de 1815 , si grande , si brillante et si désolante à la fois , qui con- fond la pensée par l'immensité des faits et par la rapidité avec laquelle ils s'entassent ...
... enfant qui ressemble à son père . - -- - - - - Me voici à cette époque de 1815 , si grande , si brillante et si désolante à la fois , qui con- fond la pensée par l'immensité des faits et par la rapidité avec laquelle ils s'entassent ...
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... enfant » qu'elle m'a donné ; la guerre seule m'obli- » gerait à quitter une félicité pareille , car la » guerre m'imposerait l'impérieux devoir de >> reprendre du service : or l'Empereur n'en » veut plus , qui oserait en vouloir ...
... enfant » qu'elle m'a donné ; la guerre seule m'obli- » gerait à quitter une félicité pareille , car la » guerre m'imposerait l'impérieux devoir de >> reprendre du service : or l'Empereur n'en » veut plus , qui oserait en vouloir ...
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... 'étaient guère de son goût ; elle n'aimait pas à recevoir le matin , parce que c'était le seul moment qu'elle pût don- ner à ses enfants et à ses occupations accoutu- mées III . 2 DE MADEMOISELLE COCHELET . 17 II. ...
... 'étaient guère de son goût ; elle n'aimait pas à recevoir le matin , parce que c'était le seul moment qu'elle pût don- ner à ses enfants et à ses occupations accoutu- mées III . 2 DE MADEMOISELLE COCHELET . 17 II. ...
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Louise Cochelet. ner à ses enfants et à ses occupations accoutu- mées ; mais elle avait beau faire fermer sa porte , bon gré , mal gré , on parvenait jusqu'à elle . C'était des pétitions à n'en plus finir ; chacun avait quelque chose à ...
Louise Cochelet. ner à ses enfants et à ses occupations accoutu- mées ; mais elle avait beau faire fermer sa porte , bon gré , mal gré , on parvenait jusqu'à elle . C'était des pétitions à n'en plus finir ; chacun avait quelque chose à ...
Page 57
... enfants . La Reine engagea la duchesse à l'accompagner au bois de Boulogne . Toujours délicate et frileuse , la Reine n'aimait rien tant que la chaleur ; nous partîmes donc à une heure , en plein soleil et par un temps admirablement ...
... enfants . La Reine engagea la duchesse à l'accompagner au bois de Boulogne . Toujours délicate et frileuse , la Reine n'aimait rien tant que la chaleur ; nous partîmes donc à une heure , en plein soleil et par un temps admirablement ...
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Common terms and phrases
allait alliés arriver assez autrichien avaient bonheur Bourbons Boutikim c'était Chambre château de Bercy cher chère Louise chose coeur comte d'Arjuzon dame demander départ Devaux dévouement dîner disait duc d'Otrante duc de Vicence duchesse de Bassano enfants ennemis faisait famille faubourg femme Fouché frère Gabriel Delessert garde général gouvernement provisoire guerre heures homme j'ai j'avais j'étais jour l'armée l'avait l'Em l'Empe l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon l'impératrice Labédoyère laisser lendemain lettre Louis XVIII m'en madame de Krüdner madame de Staël Madame-Mère mademoiselle maison malheurs Malmaison maréchal Marmold ment Metternich ministre n'avait n'était Napoléon nation Nicolaï officiers pareil parler passeports passer pensée pereur personne peuple porte position pouvait prince prince de Schwarzenberg quitter réactions politiques reine Hortense rester reur rien Russie s'était Saint-Leu sais salon Sémonville sentiments serait seul soir sort souverains Suisse Talleyrand tion troupes trouvait Tuileries vait venait vint visite Vitrolles voiture voulait Voyna
Popular passages
Page 136 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi.
Page 96 - L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, Pairs et Représentants, donnez à la nation l'exemple de la confiance, de l'énergie et du patriotisme, et, comme le Sénat du grand peuple de l'antiquité, soyez décidés à mourir plutôt que de survivre au déshonneur et à la dégradation de la France. La cause sainte de la patrie triomphera.
Page 95 - J'ambitionne de voir la France jouir de toute la liberté possible; je dis possible, parce que l'anarchie ramène toujours au gouvernement absolu.
Page 136 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 96 - Des mesures législatives sont indispensables : c'est à votre patriotisme , à vos lumières et à votre attachement à ma personne que je me confie sans réserve.' • » La liberté de la presse est inhérente à la Constitution actuelle; on n'y peut rien changer sans altérer tout notre système politique ; mais il faut des lois répressives, surtout dans l'état actuel de la nation.
Page 40 - France , mon intention est que vous donniez des ordres pour que le duc d'Angoulême soit conduit à Cette , où il sera embarqué , et que vous veilliez à sa sûreté et à écarter de lui tout mauvais traitement. Vous aurez soin seulement de retirer les fonds qui ont été enlevés...
Page 103 - ... c'est alors que je trouverais dans la chambre des pairs des preuves d'attachement à la patrie et à moi.
Page 96 - Les finances seraient dans un état satisfaisant sans le surcroît de dépenses que les circonstances actuelles ont exigé. Cependant on pourrait faire face à tout si les recettes comprises dans le budget étaient toutes réalisables dans l'année ; et c'est sur les moyens d'arriver à ce résultat que mon ministre des finances fixera votre attention.
Page 85 - Serronsnous tous autour du trône, où siége le père et le chef du peuple et de l'armée." " Sire, rien n'est impossible, rien ne sera épargné pour nous assurer l'honneur et l'indépendance, ces biens plus chers que la vie. Tout sera tenté, tout sera exécuté pour repousser un joug ignominieux. Nous le disons aux nations: puissent leurs chefs nous entendre! s'ils acceptent vos offres de paix,- le peuple Français attendra de votre administration forte, libérale, paternelle, des motifs de se...
Page 95 - Nos constitutions sont éparses : une de nos plus importantes occupations sera de les réunir dans un seul cadre, et de les coordonner dans une seule pensée. Ce travail recommandera l'époque actuelle aux générations futures.