L'Ami de la religion et du roi, Volume 54Le Clere, 1828 - Paris (France) |
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Common terms and phrases
50 cent adressé affaires ames annoncé article auroit avoient avoit baron bâtimens bureau candidat libéral candidat royaliste cardinal catholique Cauchois-Lemaire cérémonie chambre charité chrétienne cimetière du Calvaire clergé collège comte concordat condamné congrégation conseil Constantinople Constitutionnel cour royale croix curé Dauphin décembre députés dernier devoit Dieu dimanche diocèse discours écrit église élections enfans entr'autres étoient étoit évêque fidèles général gouvernement grand-vicaire Grecs habitans hommes janvier Jésuites jour journal l'abbé l'archevêque l'auteur l'église l'évêque l'infant don Miguel l'opposition lettre long-temps Lyon maison ment messe Migné ministre mission missionnaires mois Montlosier mort n'avoit n'étoit Navarin nommé NOUVELLES ECCLÉSIASTIQUES novembre ordonnance paroisse paroît Pays-Bas Père Pie VII piété port pourroit pouvoit préfet prélat premier président prêtres prières prince protestans publié religieux religion rétractation Rigny s'est sacrement saint samedi séminaire sentimens seroit sieur soir Southey sujet teur tion tribunal tribunal correctionnel vaisseau vicaire vient d'être Vincent de Paul zèle
Popular passages
Page 204 - Cour (21 janvier 1871), — directeur des affaires criminelles et des grâces au ministère de la justice (11 février 1879), — conseiller d'Etat en service extraordinaire, — conseiller à la Cour de cassation (21 février 1880).
Page 399 - J'ai appelé mon fils à intervenir dans les promotions militaires. L'armée trouvera dans cette disposition nouvelle le témoignage le plus assuré de ma bienveillance pour elle.
Page 285 - Ce mot désigne une peine que, dans leur juridiction exceptionnelle, le conseil de discipline de l'ordre des avocats aux conseils du roi et à la cour de cassation, et...
Page 159 - J'avais résolu de vous aller voir ce matin, mais vous étiez à Saint-Cyr, ainsi je ne l'ai pas pu faire. Comme je sais, Madame, que je n'ai pas de meilleure amie que vous, et que je vous ai promis de vous parler de toutes mes affaires, je vous écris cette lettre. Je suis persuadé qu'elle vous surprendra fort ; car c'est pour vous dire que je commence à songer à me remarier, étant encore assez jeune pour sentir que je ne serais pas sage, et comme je sais que la chose du monde que le Roi appréhenderait...
Page 399 - ... briller la vérité, premier besoin des princes et des peuples. Messieurs, le bonheur de la France est l'objet de tous mes vœux et de toutes mes pensées. Pour l'assurer, je saurai conserver l'autorité forte et tutélaire qui appartient à ma couronne. Je compte aussi, messieurs, je compte beaucoup sur le concours de vos lumières et sur l'accord de vos sentiments. La parole de votre roi appelant l'union des hommes de bien, ne peut trouver ici que des cœurs disposés à l'entendre et à lui...
Page 160 - ... que nous puissions un peu parler ensemble. Je suis persuadé que vous croyez bien que j'ai examiné tous les inconvénients qu'il peut y avoir , car je vous assure qu'il ya longtemps que je ne pense qu'à cela. Le premier , qui...
Page 399 - Voulant affermir de plus en plus dans mes États la Charte qui fut octroyée par mon frère, et que j'ai juré de maintenir, je veillerai à ce qu'on travaille avec sagesse et maturité à mettre notre législation en harmonie avec elle. « Quelques hautes questions d'administration publique ont été signalées à ma sollicitude. Convaincu que la véritable force des...
Page 398 - Le combat imprévu de Navarin a été à la fois une occasion de gloire pour nos armes , et le gage le plus éclatant de l'union des trois pavillons.
Page 399 - ... d'étouffer dans son sein le déplorable germe des discordes civiles ; tout m'annonce que je pourrai très-incessamment, d'accord avec le roi mon neveu, rendre mes soldats à leur patrie, et soulager mes peuples d'un pénible fardeau. « Un blocus rigoureux, dont le terme est fixé au jour où j'aurai reçu la satisfaction qui m'est due, contient et punit Alger, et protége le commerce français.