Mémoires et souvenirs du général Maximien Lamarque: Essai historique sur les cent jours. SouvenirsK. Fournier jeune, 1835 - France |
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... n'avait - il pas envoyé à plusieurs reprises des assassins pour attenter à ses jours ? les ambassadeurs de France et d'Espagne n'intri- guaient - ils pas au congrès pour qu'on le transpor- tât à Sainte - Hélène ? lui avait - on rendu ...
... n'avait - il pas envoyé à plusieurs reprises des assassins pour attenter à ses jours ? les ambassadeurs de France et d'Espagne n'intri- guaient - ils pas au congrès pour qu'on le transpor- tât à Sainte - Hélène ? lui avait - on rendu ...
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... n'avait pas été vaincue ; l'armée même n'avait succombé que sous les mauvaises disposi- tions de son SUR LES CENT JOURS . 9.
... n'avait pas été vaincue ; l'armée même n'avait succombé que sous les mauvaises disposi- tions de son SUR LES CENT JOURS . 9.
Page 10
Jean Maximilien Lamarque. n'avait succombé que sous les mauvaises disposi- tions de son chef , puisqu'au moment où tout fut ... n'avait pas cessé d'être l'armée de la nation . Enivrée de gloire , elle avait suivi aveuglément le char du ...
Jean Maximilien Lamarque. n'avait succombé que sous les mauvaises disposi- tions de son chef , puisqu'au moment où tout fut ... n'avait pas cessé d'être l'armée de la nation . Enivrée de gloire , elle avait suivi aveuglément le char du ...
Page 11
... n'avait pas rougi de proposer l'érec- tion d'un monument consacré aux émigrés qui avaient combattu sous les étendards des Anglais ; et les chouans et M. de Blacas le portèrent au mi- nistère , et le roi le nomma , comme si un homme qui ...
... n'avait pas rougi de proposer l'érec- tion d'un monument consacré aux émigrés qui avaient combattu sous les étendards des Anglais ; et les chouans et M. de Blacas le portèrent au mi- nistère , et le roi le nomma , comme si un homme qui ...
Page 16
... n'avait été joint que par un vieux grenadier nommé Me- lon ; mais partout les habitans des campagnes accouraient sur son passage et le saluaient comme leur libérateur . Le 7 , on rencontra dans un dé- filé , près de Vizille , une avant ...
... n'avait été joint que par un vieux grenadier nommé Me- lon ; mais partout les habitans des campagnes accouraient sur son passage et le saluaient comme leur libérateur . Le 7 , on rencontra dans un dé- filé , près de Vizille , une avant ...
Common terms and phrases
Anglais armée arrivé aurait avaient bataille bataille de Fleurus bataille de Waterloo bataillons Benjamin Constant Blücher Bonaparte Bourbons brave c'était cavalerie chambre des pairs CHAPITRE chef combattre comte corps courage députés devait disait division donner doute drapeaux enfans ennemis espérances eût Fleurus force Fouché garde nationale général gloire gouvernement guerre haine heures intérêts intrigues j'ai jour l'Angleterre l'armée l'assemblée l'Em l'Empereur l'ennemi l'Europe laisser libéraux liberté long-temps Louis XIV Louis XVIII marche maréchal Davoust maréchal Grouchy maréchal Ney mars mée menace ment militaire mille hommes ministres moyens Murat n'avait n'était Napoléon nation nobles officiers ordres parler passé patrie patriotes pereur peuple peut-être place politique porter position pouvait pouvoir premier prince proclamer prouver Prussiens puissance qu'une Quatre-Bras régimens représentans reste réunir révolution Russes s'était sainte alliance sent serait seul soir soldats souverains talens Talleyrand tion tout-à-fait tribune trône troupes trouve ultra victoire voulait Waterloo Wavres Wellington
Popular passages
Page 140 - France : puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne. Ma vie politique est terminée ; et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 81 - Alors, comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux! Nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône ! Aujourd'hui , cependant , coalisés entre eux , ils en veulent à l'indépendance et aux droits les plus sacrés de la France. Ils ont commencé la plus injuste des agressions. Marchons donc à leur rencontre! Eux et nous, ne sommes-nous plus les mêmes hommes?
Page 179 - Les habitans , et en général tous les individus qui se trouvent dans la capitale , continueront à jouir de leurs droits et libertés sans pouvoir être inqwiélés ni recherchés en rien relativement aux fonctions qu'ils occupent ou auraient occupées, à leur conduite et à leurs opinions politiques.
Page 140 - ... j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances me paraissent changées ; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations , et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne!
Page 63 - Empereur, consul , soldat, je tiens tout du peuple. Dans la prospérité, dans l'adversité, sur le champ de bataille, au conseil, sur le trône, dans l'exil , la France a été l'objet unique et constant de mes pensées et de mes actions.
Page 183 - ... et d'écarter tous les dangers ; mais nous devions défendre les intérêts du peuple et de l'armée , également compromis dans la cause d'un prince abandonné par la fortune et la volonté nationale...
Page 192 - ... dans les conférences qu'ils ont eues avec le président de la commission, 'que tous les souverains s'étaient engagés à replacer Louis XVIII sur le trône et qu'il doit faire ce soir ou demain son entrée dans la capitale. « Les troupes étrangères viennent d'occuper les Tuileries où siège le gouvernement.
Page 81 - Soldats ! c'est aujourd'hui l'anniversaire de Marengo et de Friedland, qui décida deux fois du destin de l'Europe. Alors, comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux ! Nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône! Aujourd'hui, cependant, coalisés entre eux, ils en veulent à l'indépendance et aux droits les plus sacrés de la France.
Page 157 - Je connais tous les corps, et aucun d'eux ne remportera un avantage signalé sur l'ennemi, que je ne rende justice au courage qu'il aura déployé. Vous et moi nous avons été calomniés. Des hommes indignes d'apprécier vos travaux ont vu, dans les marques d'attachement que vous m'avez données, un zèle dont j'étais le seul objet. Que vos succès futurs leur apprennent que c'était la patrie...
Page 19 - Soldats, venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef; son existence ne se compose que de la vôtre; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres; son intérêt, son honneur, sa gloire, ne sont autres que votre intérêt, votre honneur et votre gloire.