Histoire du second empire. Tom 1-5; 6, nouv. éd, Volume 11869 |
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... officiers de l'Empire , aux manoeu- vres de l'artillerie et du génie ( 2 ) . » La révolution de juillet éclata . Les princes Bonaparte furent appelés par les patriotes italiens , et ne pouvaient pas rester sourds à leur appel . C'était ...
... officiers de l'Empire , aux manoeu- vres de l'artillerie et du génie ( 2 ) . » La révolution de juillet éclata . Les princes Bonaparte furent appelés par les patriotes italiens , et ne pouvaient pas rester sourds à leur appel . C'était ...
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... officiers de l'armée fran- çaise , à quelques personnages importants , et aux prin- cipaux journalistes , fournissait un excellent prétexte ( 1 ) L'Occident français . Paris , Paul Dupont , PRÉFACE . LA CONSPIRATION DE STRASBOURG . 31 ...
... officiers de l'armée fran- çaise , à quelques personnages importants , et aux prin- cipaux journalistes , fournissait un excellent prétexte ( 1 ) L'Occident français . Paris , Paul Dupont , PRÉFACE . LA CONSPIRATION DE STRASBOURG . 31 ...
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... officiers français avaient trahi leur serment à la voix d'un jeune homme connu seu- lement par son origine , l'indécision des soldats en sa présence , les acclamations de la population sur son pas- sage , la puissance des souvenirs ...
... officiers français avaient trahi leur serment à la voix d'un jeune homme connu seu- lement par son origine , l'indécision des soldats en sa présence , les acclamations de la population sur son pas- sage , la puissance des souvenirs ...
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... officiers , malgré son usurpation de titre , ne tarda pas à être transféré de la citadelle de Doullens à l'hôpital de Versailles , et bientôt il n'eut plus que la ville pour prison . Cette différence de traitement entre les républicains ...
... officiers , malgré son usurpation de titre , ne tarda pas à être transféré de la citadelle de Doullens à l'hôpital de Versailles , et bientôt il n'eut plus que la ville pour prison . Cette différence de traitement entre les républicains ...
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... officiers et les sous - offi- ciers que la propagande avait entraînés pensaient , que le nom d'un Bonaparte entraînerait plus facilement que tout autre . >> Une vive discussion eut lieu à ce sujet ; personne ne voulait du rétablissement ...
... officiers et les sous - offi- ciers que la propagande avait entraînés pensaient , que le nom d'un Bonaparte entraînerait plus facilement que tout autre . >> Une vive discussion eut lieu à ce sujet ; personne ne voulait du rétablissement ...
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Common terms and phrases
affaires amis ancien appel aurait avaient avant baron cause Changarnier chargé chef chercher citoyen colonel commandant commission compte comte conseil côté coup d'État Cour décembre déclare décret demande dernier devant devoir discours discussion donner faisait famille février fils force forme garde garde nationale général gouvernement guerre haute heures hommes j'ai Jérôme Bonaparte jour journaux l'armée l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'ordre l'un laisser législatif légitimistes lettre liberté lieu Louis Bonaparte main majorité membres ment mettre militaire ministre monarchie mort n'avait n'était Napoléon nationale nommé nouveau nouvelle officiers ordres paix parler passé pays peine pendant Persigny personne peuple place police porte pouvait pouvoir premier présent président presse prêt prince pris projet proposition public publique qu'un question refus représentants républicains République reste réunion réunis révolution rien Russie s'était s'il séance semblait sentiments serait seul société soldats sorte suivante tête Thiers tion traité troupes trouvait venait Vive voix vote
Popular passages
Page 338 - Toute mesure par laquelle le Président de la République dissout l'Assemblée nationale, la proroge ou met obstacle à l'exercice de son mandat, est un crime de haute trahison. Par ce seul fait, le Président est déchu de ses fonctions ; les citoyens sont tenus de lui refuser obéissance ; le Pouvoir exécutif passe de plein droit à l'Assemblée nationale. Les juges de la haute cour de justice se réunissent immédiatement, à peine de forfaiture...
Page 305 - République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France : le peuple. Je fais donc un appel loyal à la nation tout entière, et je vous dis: Si vous voulez continuer cet état de malaise qui nous dégrade et compromet notre avenir, choisissez un autre à ma place, car je ne veux plus d'un pouvoir qui est impuissant à faire le bien...
Page 306 - Une seconde Assemblée formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques.
Page 305 - ... de renverser la République, mon devoir est de déjouer leurs perfides projets. de maintenir la République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France, le peuple.
Page 222 - Quels que soient les devoirs que le pays m'impose, il me trouvera décidé à suivre sa volonté; et, croyez-le bien, Messieurs, la France ne périra pas dans mes mains.
Page 216 - Rome pour y étouffer la liberté italienne, mais au contraire pour la régler, en la préservant contre ses propres excès, et pour lui donner une base solide, en remettant sur le trône pontifical le prince qui, le premier, s'était placé hardiment à la tête de toutes les réformes utiles. « J'apprends avec peine que les intentions bienveillantes du SaintPère, comme notre propre action, restent stériles en présence de passions et d'influences hostiles.
Page 307 - ... dans le calme et la réflexion. Soyez prêts à réprimer toute tentative contre le libre exercice de la souveraineté du peuple. Soldats, je ne vous parle pas des souvenirs que mon nom rappelle , ils sont gravés dans vos cœurs. Nous sommes unis par des liens indissolubles. Votre histoire est la mienne. Il ya entre nous, dans le passé, communauté de gloire et de malheur; il y aura, dans l'avenir, communauté de sentiments et de résolutions pour le repos et la grandeur de la France. Fait...
Page 196 - L'incertitude de l'avenir fait naître, je le sais, bien des appréhensions, en réveillant bien des espérances : sachons tous faire à la patrie le sacrifice de ces espérances et ne nous occupons que de ses intérêts. Si, dans cette session, vous votez la révision de la Constitution, une Constituante viendra refaire nos lois fondamentales et régler le sort du pouvoir exécutif. Si vous ne la votez pas, le peuple, en 1852, manifestera solennellement sa volonté nouvelle.
Page 110 - Mais entendez bien mon sentiment; je suis du parti de la révolution, tant en France qu'en Europe ; je souhaite que le gouvernement de la révolution reste dans les mains des hommes modérés...
Page 196 - Ce qui me préoccupe surtout, soyez-en persuadés, ce "n'est pas de savoir qui gouvernera la France en 1852, " c'est d'employer le temps dont je dispose de manière à " ce que la transition, quelle qu'elle soit, se fasse sans " agitation et sans trouble. " Le but le plus noble et le plus digne d'une âme élevée " n'est point de rechercher, quand on est au pouvoir, par " quels expédients on s'y perpétuera, mais de veiller sans " cesse aux moyens de consolider, à l'avantage de tous, les " principes...