Le prince Lucien Bonaparte et sa famille: ouvrage accompagné de douze portraitsE. Plon, Nourrit et cie, 1889 - 224 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 8
Page 9
... traité ; je n'eus qu'à me louer de Barras , Rewbel , « La Revellière , Merlin et Treilhard . Aussi je ne cher- < « < chai nullement à m'ériger en censeur . Je n'entrai dans << aucune opposition systématique . Mes premiers votes ...
... traité ; je n'eus qu'à me louer de Barras , Rewbel , « La Revellière , Merlin et Treilhard . Aussi je ne cher- < « < chai nullement à m'ériger en censeur . Je n'entrai dans << aucune opposition systématique . Mes premiers votes ...
Page 40
... traité de paix avec le Portugal , après une entrée en campagne de l'armée espagnole soutenue par une réserve française , selon les desseins du premier Consul , avait été signé à Badajoz . A l'occasion de ce traité , Bona- parte querella ...
... traité de paix avec le Portugal , après une entrée en campagne de l'armée espagnole soutenue par une réserve française , selon les desseins du premier Consul , avait été signé à Badajoz . A l'occasion de ce traité , Bona- parte querella ...
Page 41
... traité de Toscane , j'ai reçu vingt beaux ta- << bleaux de la galerie du Retiro , pour ma galerie , et l'on << fait monter cent mille écus de diamants pour moi . J'en << recevrai autant pour la paix du Portugal . Sans doute , < « < si l ...
... traité de Toscane , j'ai reçu vingt beaux ta- << bleaux de la galerie du Retiro , pour ma galerie , et l'on << fait monter cent mille écus de diamants pour moi . J'en << recevrai autant pour la paix du Portugal . Sans doute , < « < si l ...
Page 45
... traité et que je désirais attacher mon " nom à cette reprise de possession , surtout dans l'inté- rêt de cette République consulaire que , soit dit en " passant , je m'enorgueillissais d'avoir contribué à éta- << blir et dont je ne me ...
... traité et que je désirais attacher mon " nom à cette reprise de possession , surtout dans l'inté- rêt de cette République consulaire que , soit dit en " passant , je m'enorgueillissais d'avoir contribué à éta- << blir et dont je ne me ...
Page 49
... traité , et notre colonie passa aux mains des États - Unis , moyennant le prix de quatre - vingts millions . Bientôt une autre difficulté , plus grave encore , surgit entre les deux frères : celle - ci décida la rupture définitive qui ...
... traité , et notre colonie passa aux mains des États - Unis , moyennant le prix de quatre - vingts millions . Bientôt une autre difficulté , plus grave encore , surgit entre les deux frères : celle - ci décida la rupture définitive qui ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
18 brumaire Alexandrine de Bleschamp armées arriva Bleschamp Cambacérès campagne d'Égypte Canino Chambre des pairs Chambre des représentants Champ de Mai CHARLES BONAPARTE Cinq-Cents Citoyens consuls civile Commission conseil des Anciens Constitution Corps législatif Corse d'Égypte déclare décret demande députés Directoire divorce Empereur enfants ennemis eût famille femme Fouché Frégeville gouvernement heures impériale j'ai Jérôme jour juin l'armée l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'Orangerie Légion d'honneur lettre lieutenant général comte Louisiane Lucien Bonaparte Majesté maréchal mariage marié membres ment message ministres mission mort Napoléon nationale négociations nommé officiers palais de l'Élysée Palais-Royal passé passe-port patrie peuple Pièce nº Pièces justificatives Pierre Bonaparte Pierre-Napoléon Bonaparte politique porte premier Consul prendre président prince archichancelier prince Joseph prince Lucien prince Pierre-Napoléon princesse projet proposition rentrer République retour Roger-Ducos Rome S. A. I. le prince Saint-Cloud séance Sénat sénateur sentiments sera serment Sieyès Signé Sire suivante Talleyrand tion tribune trône troupes
Popular passages
Page 90 - Soldats de la garde nationale de l'empire, « soldats des troupes de terre et de mer, je vous « confie l'aigle impériale aux couleurs nationales ; « vous jurez de la défendre au prix de votre « sang contre les ennemis de la patrie et de ce » trône ! Vous jurez qu'elle sera toujours votre a signe de ralliement ! vous le jurez.
Page iv - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu...
Page 134 - Béranger, privé de ressources, las d'espérances déçues, versifiant sans but et sans encouragement, sans instruction et sans conseils , j'eus l'idée ( et combien d'idées semblables étaient restées sans résultat !), j'eus l'idée de mettre sous enveloppe mes informes poésies et de les adresser par la poste au frère du premier consul, M. Lucien Bonaparte, déjà célèbre par un grand talent oratoire, et par l'amour des arts et des lettres. Mon...
Page iv - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 182 - Mars, 1815. NAPOLÉON, par la Grâce de Dieu et les Constitutions de l'Empire, Empereur des Français, etc., etc., etc.
Page vii - Constitutions ; que la Chambre des Pairs , sans délibération, par un mouvement spontané et unanime , déclare devant le peuple français et les étrangers qu'elle reconnaît Napoléon II comme empereur des Français.
Page 183 - ... donnant aux Bourbons le titre de roi légitime , ce qui était déclarer rebelles le peuple français et les armées , proclamer seuls bons Français les émigrés qui ont déchiré pendant vingt-cinq ans le sein de la patrie , et...
Page vi - Ne mettez pas cette grande nation à la merci de l'étranger, de peur d'être déçus dans vos espérances. Dans quelque position que je me trouve, je serai heureux si la France est libre et indépendante. Si j'ai remis le droit qu'elle m'a donné, à mon fils, de mon vivant, ce grand sacrifice, je ne l'ai fait que pour le bien de la nation et l'intérêt de mon fils, que j'ai, en conséquence, proclamé empereur.
Page 16 - Salm, où s'étaient trouvés des personnages très marquants ; projets qui ne tendaient à rien moins qu'à réaliser le beau rêve nourri par les Jacobins, depuis quelque temps, de convertir les deux conseils en Convention nationale, d'en écarter les hommes qui déplaisent et de confier le gouvernement à un comité de Salut public, etc. On parle du rapport des lois sur l'emprunt forcé et les otages, de la clôture de la liste des émigrés, etc... Toutes les municipalités de Paris sont destituées...