fuiv. Motifs & fondemens de cette vacance,p. 14 fuiv. Opinion finguliere de Gibert, p. 16 & 17. Obfervations fur une difpofition du Concile de Trente, fur laquelle Gilbert le fonde, p. 17 & fuiv. fage du Royaume, jurisprudence des Arrêts, p. 19 & suiv.

Commandataire, eft-il vrai Bénéfice, tom. I, p. 179 & 180, ne jouit point de la jurifdiction, P. 242 & 243.

Commanda:aires, leur mauvaife adminiftration, fait demander par les Conciles la fuppreffion des commandes, tom. I, p. 132 & 133.

Commande. Sa nature & fa qualité, tom. I, p. 177 & fuiv. & 328. Elle conferve le titre, ibid. tom. II, p. 60 & 61.

Commande. Le Pape seul en poffeffion de conférer les Bénéfices réguliers de cette maniere, tom. I, p. 279, il peur communiquer ce pouvoir, p. 280.

Commande. Quels font les Bénéfices qui peuvent être ainfi conférés ? tom. 1, p. 180 & fuiv. Les Bénéfices féculiers peuvent-ils être ainfi conférés à des Réguliers? ibid Voy. Bénéfices féculiers. Peuvent-ils P'être de cette maniere à des féculiers ? p. 182. Exemples par rapport aux Evêchés, p. 182 & 183. Quels Bénéfices réguliers peuvent être poffédés en commande p. 183 & 184. Les Abbayes & Prieurés conventuels électifs? ibid. Les Prieurés conventuels collatifs, p. 184 & 185. Les Prieurés fimples, p. 185 & 187. Quid à l'égard des Cures? p. 187 & fuiv. Exemple d'un Prieuré-cure ainfi conféré dans le dernier fiécle, p. 188 fuiv. Autre exemple récent & fingulier, p. 191 & fuiv. Aujourd'hui on accorde aifément à Rome des provifions en commande pour les Cures, p. 190 & 191. A la note. Autres exemples, P. 195 & 196. Voy. à la note. Offices clauftraux ne peuvent être conférés en commande, p. 197 & 198. Par quelles raifons? p. 198 & 199. Exemption pour Jes offices clauftraux, qui par l'extinction de la

conventualité, font devenus des Bénéfices fimples; p.100 & 201 Jurifprudence du Grand-Confeil à cet égard, p. 201 juiv. Un office clauftral peut-il être donné en commande in defectum Regularium ? p. 204&fuiv. Arrêts, p 206 & suiv 211 & suiv.

Commande (le pourvuen) par un Prélat indultaire, eft-il obligé d'obtenir une nouvelle commande dans les huit mois tom. II, p. 11. De quel jour commencent à courir les huit mois, p. 12. Doit-il donner' caution pour les réparations des bâtimens ? p. 10. & 11. Commande éteinte par la profeffion religieufe, p. 13 fuiv. Fondement de cette extinction, p. 14 & suiv.

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Commandes anciennes des Evêchés, tom. I, p. 103` Jui. Premiere efpéce. Evêques vifiteurs, ibid. Seconde e péce, p. 106 & 107. Abbayes données en commande aux Evêques chaffés de leurs Siéges, p. 107 & 108, quelquefois confiées à des Clercs, p. 110&fuiv. Difference entre les anciennes commandes & celles qui font préfentement en usage, p. 111 & fuiv.

Commandes laïques, tom. I, p. 145, condamnées par les Conciles, ibid. tolérées à certaines conditions, p. 116 & 117. Evêchés donnés en commande à des Laïcs, p. 117 & 118. Commandes laïques des Abbayes rendues héréditaires, p. 118 & 119 Commandes laïques données par Charlemagne & Louis le Débonnaire, p. 120. Les Rois donnoient en commande même les Abbayes, qui n'étoient pas de leur patronage, p. 121&fuiv. Decrets des Conciles qui réprouvent ces commandes, p 121 & suiv. Moyens employés pour obliger les Laïcs à renoncer à ces commandes, p. 123 & suiv. Abbayes données en commande à des Clercs par les Rois de la feconde Race, p. 125 fuiv. Exemple de commandes accumulées fur la tête de la même perfonne, p. 127 fuiv. Apologie de ces commandes, p. 128 & fuiv. Alors des Clercs féculiers n'étoient pas reputés in

capables de poffeder des Bénéfices réguliers p. 130 & 131. Motifs qui dans tous les tems ont dû mettre obftacle à l'ufage des commandes, p. 130.

Commandes. Les Conciles en demandent la fup preffion, tom. 1, p 132 & 133 à caufe de la inauvaife administration des Commandataires, ibid. Décrets contre les commandes, p. 135 fuiv. Leur fuppreffion dans le dixiéme fiécle, p. 139 & 140. Différence entre les commandes des 8, 9 & dixiémes fiécles, & les commandes modernes, p. 140 & s

Commandes en ufage dans l'Orient, tom. I, p.142. Abus de ces commandes, p 143. Les Evêques s'en plaignent, p. 143 & 144. Loix des Empereurs fur ce fujet, ibid.

Commandes. L'ufage des commandes données par les Princes à des Clercs, avoit lieu dès le neuviéme Gécle, à l'égard des moindres Monaftères que l'on a depuis qualifiés de Prieurés & Prévôtés, tom. I, p. 145. Ces Prieurés n'étoient encore que de fimples commiffions, p. 145 & 146. A peine ont-ils été érigés en titre qu'on les a conférés en commande à des féculiers, p. 146. Dans le treiziéme fécle les Ordinaires les conf roient de cette maniere, p. 147. Les places monacales données quelquefois à des féculiers, p. 148.

Commandes modernes contraires au droit commun, tom. I, p. 152 & suiv. Décret des Papes & des Conciles fur ce fujet, p. 154 & 155. Epoque de l'établiffement de ces commandes, p. 156 & 157. Clément V révoque celles qu'il avoit données, ibid. Voy. tom. II, p. 133 & fuiv. Sentiment de Durand Evêque de Mende fur les commandes, p. 158 & 159. Plaintes du Parlement de Paris contre les commandes, p. 159. & suiv. Quel a été l'ufage des commandes depuis le quinziéme fiécle jufqu'à préfent, p. 162. Conftitution de Leon X, p. 163 & 164. Décret du Concile de Trente, p. 165 & 166. Dispo. fitions du Concordat & des Ordonnances fur‍le

commandes, p. 167 & 168. Non-obitant ces difpofitions, les commandes ont continué d'avoir lieu en France & ailleurs, p. 168. & fuiv. Elles s'y font même affermies de plus en plus, p. 170 & 171; mais on a retranché les abus, p.171 & fuiv. On a remedié aux inconvéniens qui en naifloient, p. 173. & fuiv. Motifs qui les ont fait autorifer, p. 174 & suiv.

Commandes des Abbayes & Prieurés conventuels : motifs qui les ont fait autorifer & multiplier dans ces derniers tems, tom. I, p. 220.

Commandes des Prieurés fimples; pourquoi devenues extrémement favorables? tom. I, p. 221 & 222. Commandes régulieres, ou provifion des Bénéfices féculiers à des réguliers. Voy. Bénéfices féculiers. Erreurs & préjugés qui ont fait penser à quelques Auteurs, que le Pape pouvoit conférer en commande à des Religieux, les Bénéfices féculiers, tom. I, p. 230 fuiv. Les Auteurs qui ont traité ex profeffo des commandes, qui en ont développé les régles, fuppofent tous que les feuls Bénéfices réguliers en font fufceptibles, p231 & suiv. Obfervations fur le peu d'égard que méritent les Auteurs qui enfei gnent que le Pape peut donner en commande à des réguliers les Bénéfices féculiers, p. 231, 232 & 233. Les inconvéniens que l'on reprochoit autrefois aux commandes féculieres, font inléparables des commandes régulieres, p. 254.

Commandes régulieres. Les limitations que la néceffité de réformer les abus, a obligé d'appofer aux commandes féculieres, démontrent l'impoffi bilité des commandes régulieres, tom. II, p. 254 & -255. Abus effentiel & inféparable de ces commandes, p. 255 & 256. Ces commandes profcrites par un Arrêt folemnel du Parlement de Dijon, p. 262 fuiv. Les mêmes raifons qui ont fait autorifer les commandes en faveur des féculiers, empêchent que l'on en confére aux réguliers d'autres Bénéfices que ceux de leur Ordre, p. 272 & fuiv, ;

Commandes folitsinfolites tom. I p. 281. Cette diftinction eft aujourd'hui nuifible, tom. II, p. 91 & fuiv. devroit être abrogée, ibid.

Commandes libres & commandes décrétées, tom. I, p. 283 & 284. Introduction du décret de retour en régle, 282. Pourquoi ne s'eft-on pas oppofé à l'introduction du ce décret? p. 285 & suiv. Voy. Décret de retour en régle.

Commandes (trois efpéces de) libre folite, libre infolite, & décrétée, tom. I, p. 327 & 328. Suivant M. Louet lorsqu'un Bénéfice a été donné en commande libre,ce Bénéfice demeure affecté aux Clercs féculiers, p. 329 & 330-353 & suiv. Conditions requifes fuivant l'opinion commune pour rendre une commande folite, p. 330 & 331. Faut-il trois provifions avec une poffeffion de quarante ans ? p. 331 & 332. Différence effentielle entre une commande libre infolite, & une commande folite, p. 332 & 333. Lorsqu'un Bénéfice n'a été poffédé en commande libre, que par deux commandataires, le troifiéme eft obligé d'en avertir le Pape, 333 & 334. Arrêts du Parlement de Touloufe qui l'ont aiafi jugé, p. 334 & fuiv. Motifs de ces Arrêts, p. 337 & 338. La nullité qui en pareil cas réfulte du défaut d'énonciation eft-elle radicale ? ibid. Efpéce finguliere, p. 338 & fuiv. Moyens d'un dévolutaire, p. 344 Juiv. Le pourvu qui dans fa fupplique a fait une faufle énonciation rélativement à la commande libre, peut-il s'aider du décret de pacificis poffefforibus, P. 350 fuiv. Suivant quelques Auteurs, une feule commande libre fuffit pour rendre le Pape collateur forcé, 353 & fuiv. Cas fingulier dans lequel l'opinion de ces Auteurs peut avoir lieu, p. 356 & 357. Analife des principes fur les commandes, p. 358, 359, 360, 361 362. Arrêt qui fur l'efpéce ci-deflus déclare le dévolutaire non-recevable, p. 364. Motifs de ces Arrêts, p. 365 & 366. Cet Arrêt juge que le défaut d'énonciation ci-deflus marquée, n'opére pas